Une rencontre inattendu
Un jour, lors de ma dix-septième année, mes parents étaient de sortie. J'en profita alors pour sortir de notre demeure et aller en forêt comme dans mon enfance. J'avais oublié à quel point l'air de la forêt était aussi pur. Je commença alors à cueillir des fleurs, lorsque tout à coup j'entendis des buissons bouger. Je me releva à toute vitesse. Deux hommes sortirent des buissons. Le temps que je comprenne ce qu'il m'arrivait, il était trop tard !
Lorsque je me réveilla j'avais un mal de tête horrible, j'ai cru que ma tête allait exploser. Je n'arrivais même pas à ouvrir les yeux. J’essayai de me lever mais ce fût en vain. J'entendis alors une voix qui dit :
- « Chef ! Chef ! La prisonnière commence à se réveiller !
- Ah bien ! Jetez lui un seau d'eau glacé ! Ah ah ça lui fera du bien.
- Oui chef ! »
J'avais les yeux bandés et je n'étais pas bien réveillée mais je pus sentir l'homme s'approcher de moi avec le seau d'eau. Je me mis alors à hurler de toutes mes forces pensant que quelqu'un aller m'entendre, mais en vain. Tout ce que j'ai pus avoir c'est un seau d'eau glacé sur la tête avec l'ordre de me taire. Mes yeux furent alors débandés et je vis un homme petit et barbu. Il dit alors aux autres hommes de la pièce :
- « Bon, messieurs nous avons ici une jeune fille dont les parents doivent être absolument inquiet. Nous devrions leur lui rendre. Dit le chef des bandits en riant.
- Laissez moi partir ! Ou sinon vous allez le regretter ! Dis-je d'un ton menaçant.
- Oh mais ne t'inquiète pas jeune fille nous te relâcherons. Mais seulement lorsque tes parents auront payés la rançon ! Ah ah !! Dit-il en riant à tue-tête.
- Non vous n'avez pas le droit ! RELACHEZ MOI !!! »
Je me mis alors à hurler de toute mon âme.
Les jours et les jours passèrent. Je les comptais au départ, mais j'ai fini par perdre le fil.
Un matin, un homme entra dans la pièce, me regarda de haut en bas et me dit :
- « C'est bon tu es calmée ?
- O.. Ou... Oui.. Dis-je d'une petite voix
- Très bien. Ton travail commencera demain. »
Mon travail ? Mais quel travail ?
Le lendemain ce même homme était venu me chercher. Il m'emmena à l'extérieur. Et me dit de prendre la bêche qui étais à coté du portillon et de commencer à travailler le champ de pommes de terre. Je passa plusieurs jours à travaillé ce champ. D'autres à couper du bois. Les midis je devais leur faire à manger. Je faisais tout pour eux. Plusieurs fois je refusa de faire un travail car j'étais trop fatiguée ou que j'avais trop faim. Mais je le regretté amèrement.
Un jour lorsque je travaillais le champ, l'un des homme est arrivée en boitant et en saignant. On me prit alors par le bras et on me jeta dans la cave, m’enchaîna et me bâillonna. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait mais j'avais peur. A l'étage j'entendis des bruits assourdissants et des hurlements.
Puis plus rien. Le silence total. Je ne comprenais pas tout, je ne savais pas si cela étais bon pour moi ou non. Quand tout à coup la porte de la cave s'ouvrit et une lumière aveuglante éclaira la sombre cave. Je ne voyais presque rien mais je pus entre apercevoir un homme.
Son armure de diamant brillait tellement qu'elle en faisait mal aux yeux. Son visage étais doux et apaisant, il pouvait mettre n'importe qui en confiance. Ses yeux était d'un marron qui lui donnait un air mystérieux, ses cheveux étaient blond comme les blés. Depuis l'encadrement de la porte on aurai dis un Dieu. Je ne puis détaché mon regard de cet homme. Il s'approcha alors de moi et d'une voix douce et rassurante il me dit :
- « Est-ce que vous allez bien mademoiselle ?
- Ou.. Ou.. Oui je crois. Mais qui êtes-vous ?
- Nous sommes les gardes venus vous sauver. Un large sourire se fit entrevoir sur son visage.
Je vais vous détacher doucement pour ne pas vous faire mal. D'accord ?
- Oui oui. »
Quand il me prit, on aurai dit qu'il portait une plume. Il me regarda et me sourait tout en me déposant doucement sur son fidèle destrier. Tout le long du chemin je ne pu détacher mon regard de cet homme. Quand il me déposa chez moi, je ne savais pas si je le reverrai un jour. Mais j'en avais très envie. Mon cœur ne battait que pour lui.
Si un jour je venais à le revoir, je ferais tout mon possible pour le remercier. Je l'aime et même si un jour je me marie je ne pourrai jamais oublié cet homme qui m'a sauvé la vie.