IRL :
- Kévin
- 23 ans
- France / Paris
- Formation d'aide soignant en hopital
Expérience :
- Je suis rôliste depuis mes douze ans en jouant à des jeux de plateau comme Donjon et dragon. Je suis ensuite passé par du jeu de rôle sur forum et sur MMORPG.
J'ai commencé le Grandeur Nature à mes 15 ans en effectuant des rôles d’écuyer, forgeron, archer etc... Toutefois à mes 19 ans j'ai dut stopper ce petit rêve utopique car ayant eu des soucis sentimentaux je devais faire un choix (Il fut mauvais).
Toutefois en rencontrant des amis rôliste, ils sont parvenus à me faire refaire vivre cette aventure, à mes 21 ans j'étais de retour dans le monde du Grandeur Nature en faisant enfin des rôles plus important.
-Moine
-Guerrier
-Hobbit - Kandorya
-Baron / chevalier - Kandorya
-Prince Lewyn Martell - Trône de fer
-Chef viking/barbare - Norlande
Par le suite j'ai créer avec ma communauté une association dont je suis le président, nous sommes une communauté de rôliste qui réunis par divers moyen légal des fonds pour organiser des Grandeur Nature où qui est également utile pour l'aménagement des camps. L'association est le Consortium de Griffe, faisons un peu de publicité.
- Mes anciens serveurs minecraft sont des communautés d'amis où l'on faisait occasionnellement entre nous du rp ou de la construction.
- Quelles sont les qualités requises pour être un bon rôliste ? => Une bonne imagination c'est ce qui fait la clé du jeu de rôle. Après il faut savoir se modérer car on a toujours le désire d'être le plus fort, le plus influent mais il n'y a pas que ça et c'est les plus petit rôle les meilleurs
- Comment avez-vous connu notre serveur ? Par une communauté d'ami de minecraft "Draktenar" en jeu.
- Avez-vous lu les règles du serveur ? Vous conviennent-elles toutes ? => Oui surtout que j'ai la permission de détruire les habitations des admins.
Rôle-Play :
- Nom et Prénom => Harisson Arkers
- Quelle faction voulez-vous rejoindre ? Pourquoi ? Pour l'aspect de liberté et surtout sauvage qui concorde avec le type de personnage que je veux jouer.
- Quelle ville voulez-vous rejoindre ? Pourquoi ? Morne-Colline pour ses cavernes et son esprit troglodyte qui m'attire plus que les petits village en forêt ou désert.
Les chaînes aux pieds, la lourde odeur des coins moisie et les cris de souffrance proche de soi. Un seul soupirail pour laisser entrer un brin d'air venir désenvelopper dans les narines. Une bouche pâteuse et des yeux sale qui ne se ferme plus sans y laisser d'irritation de fatigue. Un corps maigre, faible, douloureux et remplit de sang. L'heure est proche, le bourdonnement des acclamations de la foule se laisse entendre. Je vais bientôt mourir, si vous existez vraiment grande divinité d'Akatea laissez moi une chance de voir ce qui suivra ma condamnation... Je suis si faible si faible...
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« Maman ! Papa ! Venez voir j'ai trouvé des champignons ! »
Deux parents se tenant la main s'approche du jeune enfant, alors que le soleil éclaire la scène comme un comte de fée leurs sourire s'illumine face à la trouvaille du fils. Le père se baisse et ramasse le champignon tandis que la mère prend son fils dans ses bras pour le cajoler.
Il avance ensuite dans les bois pour arriver proche d'une grande grande cavité où se trouve un village exclue de toute civilisation de l'empire. On nomme l'endroit Morne-Colline, ses habitations troglodyte en font sa merveille. Le bruit des pioches, des marteau et des couteau pour tailler la pierre résonne doucement dans une mélodie des plus reposante. La petite famille rentre dans une des cavités et referme la porte pour enfin être dans le calme.
Le lieu est doux, apaisant sans trop d'humidité autour. L'enfant se couche enfin tandis que dehors la lune commence à se lever pour prendre la place du soleil. La balade fut longue et fatigante pour un jeune enfant donc ce fut normal qu'il soit couché à une heure si peu tard. La mère de l'enfant s’assoit à coté de lui et lui caresse le front en lui chantant une petite chanson.
Le petit finit par s'endormir paisiblement bercé par la douce mélodie de sa mère, petit à petit ses yeux se ferme entièrement et ses pensées s'évadent dans des rêves.
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« La potence est pour bientôt ! Tu vas regretté d'avoir été contre l'empereur. »
Des pleures viennent de retentir dans les prisons de Mont-Brumeux non pas pour cet homme au visage marqué par des jours d'emprisonnement mais pour quelqu'un qui vient de perdre quelqu'un de chère à son cœur. La femme versant ses larmes vient d'apprendre la mort de son mari en publique pour avoir osé voler les richesses d'un convoi royal. L'homme seul dans sa cellule qui attend lui sa sentence se recroqueville sur lui même et met ses mains sur ses tympans pour ne plus entendre le moindre bruit. Sa tête lui fait mal, ses yeux se ferme pour verser une larme de tristesse et de peur.
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« Allez ! Porte donc ça ! Soit fort mon fils ! Tu ne pourra pas combattre l'empire si tu n'es pas plus robuste »
Un père ordonne à son fils de porter un sac de pierre assez lourd et de le mener jusqu'à un autre tas de sac. C'était un jour de collecte et de minage afin de renforcer les roches et les failles des cavernes de Morne-Colline. Le jeune garçon travail dure, depuis que sa mère le berce sa structure à changé, son charisme également. Il est maintenant un homme aidant son père bien trop vieux pour travailler seul. Il arrive à sa destination et pose le sac pour ensuite retirer sa chemise blanche déchirée et sale. Il prend une outre d'eau et en boit quelque gorgée pour ensuite en verser sur son corps développé musculairement. Dessus, on peu y voir quelque cicatrice dût à des combats, des chasses ou des travaux difficiles.
Le jeune homme retourne au près de son père avec l'outre d'eau et la lui donne. Le père remercie son enfant qui sait prendre soin de lui maintenant qu'il commence à n'être plus en mesure de porter des charges lourdes. Le corps du vieille homme commence à s'affaiblir, la nature ne le porte plus comme jadis. Les deux hommes finissent leurs besognes et retourne à leurs habitat où se dégage une douce odeur de soupe confectionné par la femme du foyer. Le jeune homme embrasse sa mère tandis que le mari lui se pose dans un fauteuil. Le vieille homme allume une pipe et laisse la fumée monter en douceur sur le haut de la roche. Il demande à son fils de venir à ses cotés et lui pose alors une question.
« Dis moi mon fils... Comment es tu à l'intérieur et avec les autres? »
Le jeune homme semble ne pas comprendre mais répond.
« Je suis quelqu'un qui aide son prochain père, qui n'attire que peu les ennuis et qui préfère réfléchir avant d'agir comme tu me l'a toujours enseigné. Je sais magner la lame, tailler la roche et la transformer afin de bâtir des bâtiments pour nous faire vivre. Je sais également chassé pour manger et mère m'a enseigné l'art de monter les chevaux. »
Le vieille homme sourit et passe sa main dans les cheveux de son enfant.
« Ta mère et moi, nous nous faisons vieux tu sais. Tu vas devoir te débrouiller seul, protêger ceux du village et les aider à combattre l'empire qui n'hésite pas à nous tuer pour simplement demander un brin de liberté. Dès demain nous partirons dans l'espoir de revoir cet arbre des légendes, celui bâtit par Naranaé l'enfant de Cycléis. J'aimerai le voir afin de voir mon esprit s'éteindre de vieillesse ainsi je m'échapperai de cette malédiction. »
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Une porte grince, des bruits de pas s'approche ainsi que le cliquetis des clés qui servirons à ouvrir la porte de la cellule.
« Harisson... Harisson c'est moi Bram ! Allez debout, on sort d'ici dépêche toi ! Ils vont venir ! »
L'homme recroquevillé sur lui même lève les yeux et voit un ami à lui proche de la porte de la cellule maintenant ouverte. Il esquisse un sourire et se relève avec une difficulté et de forte douleur dans son corps. Il s'approche de son ami qui vient l'aider à avancer, la douleur devient difficile et la lumière vient brûler sa rétine. Le prisonnier ferme les yeux pour ne revoir que les ténèbres.
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« Au secours !!! »
Le jeune homme était en pleine chasse quand les cris de ses enfants retentissent dans la forêt, l'arc tombe au sol et ses pas commence à courir par dessus l'herbe et la mousse. De saut en saut et à allure rapide, la respiration augmente ainsi que les coulées de sueur. Il arrive enfin devant la scène où une unité de soldat impériaux vont s'en prendre à trois enfants. Le jeune homme saute de sa colline et frappe un soldat de sa lame de dépeçage. Il frappa net grâce à la surprise de son attaque face à ces soldats occupés.
« Courrez!!!! »
Le jeune homme se recule face aux soldats face à lui et maintenant concentré sur lui... Tandis que les enfants s'enfuit l'homme ne joue pas le suicidaire et lâche son arme pour finir par se rendre. Il venait d'aider ces enfants comme sa promesse avait toujours été. Il c'était promis de toujours protéger ceux qui en on besoin.
« Emmenez le ! Ligoté moi ce scélérat ! Il répondra de ses crimes à la potence ! »
Le jeune homme fut emmener, bâillonné et assommé par la suite.
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« Harisson réveil toi ! Allez ! Harisson ? »
Le jeune homme ouvre les yeux et voit au dessus de lui le plafond d'une caverne, il était revenus à Morne-Colline. Les enfants qu'ils avaient sauvés quelques jours plus tôt avaient alerté la population et l'un d'eux, Bram était venus sauvé Harisson. Mais cela ne fait pas de lui un héros simplement un homme courageux qui ne recule pas devant ses ennemis et qui sera prêt à donner sa vie pour ceux qu'il c'est juré de protéger.
Depuis toujours Harisson est resté à Morne-Colline, elevé par ses parents. Il fut éduqué à protéger les siens et travailler pour leurs biens. Maintenant la suite de l'histoire reste inconnus et seul les dieux déciderons du sort de l'avenir.
