Serveur Full-RP Francophone

Cycléis était proche d'Akatéa. La pluie allait sûrement accompagner les ouvriers dépêchés pour l'occasion.

Plusieurs fois par an, Dame Préambule Douce-Brise, Reine de Rive-Feuille, chargeait ses plus fidèles soldats de réparer la muraille entourant la cité. Les réparations n'étaient pas ordinaires, contrairement à ce que l'on aurait pu croire, car des milliers de diamants étaient incrustés dans le mur depuis que la magie s'était appropriée la ville. Aussi, tous les habitants devaient réparer le mur, et replacer les diamants fournis par la Reine, surveillés au plus près par de nombreux soldats.

Bien que des diamants disparaissaient rarement, il arrivait qu'on surprenne un habitant ou un Amranéen au pied du mur, un scalpel à la main.



La pause déjeuner avait sonnée. Personne ne rentrait chez soi pour éviter les éventuels larcins que les soldats n'auraient pas vu, aussi toute la population mangeait dans l'herbe, un peu en retrait.
Gaaraiou était là, assis en tailleur, une soupe aux champignons froide dans les mains. Il avait mal aux doigts, le travail était quelque peu éreintant, mais son œil s'agrandit soudainement. Un jeune homme, qu'il ne connaissait pas vraiment, s'était assis, et de sa poche était tombé quelques petits morceaux de diamants.






[HRP : Gaaraiou, ton RP sur ta candidature était passe-partout, il n'y faisait aucune mention d'Akatéa ce qui est en général rédhibitoire ! Mais ta persévérance ma plu, alors j'ai décidé de t'accepter pour la deuxième phase, contre l'avis général.
Si tu as regardé les autres "jeux RP de candidature", tu as pu remarquer que nous ne faisions que 3 ou 4 lignes. Ici, j'ai fait un "jeu RP" extraordinairement long. La raison est simple : j'aimerai que ce jeu RP dure 3, 4 voire 5 posts chacun. Tu sembles avoir des problèmes d'orthographe, et du mal à t'intégrer à notre RP, aussi, je ne verrai tes efforts et les résultats qu'au bout de plusieurs réponses.

Bonne chance !]

Le jeune homme qui s'aperçu que ses diamants étaient tombés de sa poche se hâta de les remettre dans sa poche. On voyait que cette situation l'avait grandement troublé. Son front commençait à perler et ses mains tremblaient. Soudain, il vit que Gaaraiou l'observait. Gaaraiou sentit immédiatement la peur dans le regard du jeune homme. Le jeune homme lança un regard à Gaaraiou qui lui fit comprendre qu'il ferait mieux de garder ce qu'il avait vu pour lui. Alors Gaaraiou se remit à manger péniblement sa soupe aux champignons.

A peine avait-il fini sa soupe qu'un soldat hurla:

- Allez, reprenez le travail immédiatement et pas de flemmard. Le mur doit être fini le plus vite possible.

Les conditions de travaille étaient très dur. Chaque jours que Cycléis faisait étaient pour les ouvriers de plus en plus dur. Certains soldats devenaient horrible car ils prenaient goût à torturer et à user les villageois.

- Toi là bas assis à rien faire lève toi et va travailler avant que je t'y envoi de force! Hurla un soldat qui était assit autours d'une table à manger du porc qu'il avait préalablement soutiré à un villageois.

Gaaraiou ne fut pas sûr que cette annonce était pour lui mais se leva activement et repartit en direction du mur.

La pluie commençait à tomber. Cela faisait déjà quatre heures que les villageois travaillaient depuis leur pause de midi. Alors qu'il travaillait, Gaaraiou vit le jeune homme de midi. Il s'approcha alors de lui et lui demanda:

- Pourquoi prends-tu tant de risques en volant ces diamants?

- J'ai mes raisons! Répondit agressivement le jeune homme.

- Ne t'en fais pas, je ne te dénoncerai pas. Lui dit Gaaraiou avec compassion.

- Tu n'a pas intérêt. Répliqua le jeune homme d'une voix tremblante.

Gaaraiou aperçu que le jeune homme avait une larme à l'oeil.

- Je m'appelle Gaaraiou. Lui dit-il pour changer de sujet.

- Moi c'est Arthur. Répondit le jeune homme.

Les deux jeunes hommes reprirent le travail et discutèrent un peu durant le travail quand les soldats avaient le dos tourné.

Il était huit heures, Cycléis laissait apparaître ses rayons de la nuit. Gaaraiou s'approcha de Arthur et lui demanda:

- Dis moi, pourquoi as-tu pris ces diamants?

- Si je te le dit, tu dois ne jamais le répéter.

- Je te le jure. Répondit Gaaraiou solennellement.

- Ma mère a été kidnappée par des bandits amranéennes qui vivent cachés dans la forêt de haut chêne.

- Et tu dois leurs payer un tribut pour qu'ils la relâchent?

- Exactement.

- Et ton père, il ne peut rien faire pour la sauver?

- Mon père est décédé il y sept ans dans une bataille contre les amranéennes.

- Et les soldats tu leurs en a parlé?

- Ils sont trop occupé à nous surveiller bâtir le mur pour s'occuper de ça.

Les deux jeunes hommes continuèrent leur route en direction de leur logis pour s'y reposer. Ils ne discutèrent plus. Arrivés devant chez Gaaraiou ils se salèrent et Gaaraiou alla pendre ses vêtements trempés par la pluie. Puis, il vêtit sa chemise de nuit et se coucha.

[HRP: j'espère que ce début saura vous laisser une bonne première impression et je vais faire de mon mieux pour ne pas gâcher cette chance que vous m'offrez.]

[HRP : "bannis amranéennes" petit coup de pouce :
> quand est-ce que sont apparus les bannis (fastoche)?
> quand est-ce que sont apparus les Amranéens (à une centaine d'année près) ?]

[HRP: Réponse aux deux question de Nerfav:


- Les bannis sont apparus en l'an 0 avec le Sacrilège qu'a fait Brutus en coupant Amranaé l'arbre ancestral.


- Les Amranéens sont apparus durant le XVème siècle avec l'apparition des explosifs. Ce groupe utilisait la terreur pour propager leur croyance à l'aide de ces explosifs qui sont pourtant proscrit dans l'empire suite à un incident ayant mené à la destruction du mur. Cette destruction aura permit l'invasion de bannis dans la ville

voilà j'espère ne pas m'être trompé ]

[HRP : je prends la suite du RP. Aucun rapport, mais tu voudrais prendre quel métier ?]

Le lendemain, les travaux reprirent. Ce genre d'ouvrage prenait quelques semaines à être remis entièrement en état. Heureusement, cela n'arrivait pas souvent. Les gardes avaient fini par se rendre compte de la disparition de diamants. Ils profitèrent de la pause déjeuner pour mener l'enquête. Tous les ouvriers étaient regroupés autour des quelques marchands venus venre leur nourriture. Des tables avaient été déployées à l'intention des clients. Les gardes, avec des renforts, encerclèrent les ouvriers. Des murmures commencèrent à se répandre. Les soldats n'avaient pas l'air sous pression, il faisaient leur boulot, rien de plus : une fouille en règle de tous les ouvriers. A quelques endroits, les soldats laissaient passer les ouvriers qui s'étaient faits fouiller.

[HRP: Bonjour à tous

Veuillez m'excusez, mais je ne pourrais pas répondre au jeux RP avant vendredi car je pars à Paris aujourd'hui et je rentre vendredi.

Alors je vous souhaite à tous une bonne semaine. ]

[HRP : on attend ton retour avec impatience ]

A ce rassemblement, Arthur qui était au côté de gaaraiou commençait à avoir des sueurs froide. En effet, Arthur volait encore des diamants car il n'avait pas réuni la somme demandé par les bandits amranéennes.
Il dit alors à gaaraiou:

- S'il te plaît, aide moi à trouver une solution, je dois ramener ces diamants. J'ai presque réuni la somme.

- Ok. Reste derrière moi, je vais faire une diversion.

Arthur fit quelques pas en retrait pour se mélanger au ouvrier qui achetaient de la nourriture. Alors, gaaraiou avança en direction d'un groupe d'ouvriers. Ces derniers n'avaient pas la réputation de gentils garçons. Tous le monde dans la ville les craignaient. Leur violence était sans égal, même les gardes redoutaient un affrontement avec eux. Le groupe vers le quel s'approchait gaaraiou était composé de treize personnes. Plus gaaraiou s'approchait plus son coeur battait fort. Il savait qu'en les approchant, il prenait des risques énormes. S'il se mettait ces truands à dos, on retrouverait son corps dans les égouts ou dans le désert qui était un peu plus loin de la ville.

Gaaraiou repéra directement le chef du groupe. Il le connaissait de nom. Les gardes avaient une fois parlé de lui et ce n'était pas pour en faire ses éloges. Ils le soupçonnait d'être coupable de la disparition d'un garde qui avait eut le courage de mettre en prison un membre de leur groupe.

En avançant, gaaraiou remarqua que déjà tout le groupe l'avait repéré. Alors gaaraiou adressa la parole à leur chef:

- Bonjour, j'ai besoin de votre aide.

- A ouais? C'est bête moi pas. répondit le chef.

- Je vous prie de bien vouloir m'écouter. A ses paroles, gaaraiou sortit trois diamant de sa poche qu'il posa sur la table à côté du chef.

- Hmm, vas-y parle tu as 30 secondes. lui dit le chef tout en mettant les diamants dans sa poche.

- J'aimerais que vous dérameriez une mutinerie des ouvriers envers les soldats.

Le chef se leva alors et fixa gaaraiou dans les yeux. Gaaraiou tremblait et se dit que s'en était fini de lui.

- Je m'appel Lester. Dit le chef à gaaraiou.

- Je m'appel gaaraiou.

- Je m'en fiche, tout comme de tes diamants. Mais tu me donne enfin une bonne raison pour régler mes comptes avec ces soldats qui servent de petits chiens à la reine.

Alors, Lester hurla 'Allez les gars!' et soudain, une cinquantaine d'homme sortirent des foules et suivant Lester attaquèrent les soldats. Ceux-ci n'avaient rien vu venir. N'étant qu'une vingtaine face à au moins soixante hommes, ils partirent en direction de la caserne chercher du renfort. Lester et ses hommes les suivirent et on entendait venant de la caserne un branlement de combat et des cris des supérieurs envers les soldats leur disant de se tenir prêt.

Gaaraiou alla alors vers Arthur puis lui attrapa le bras et l'entraîna jusqu’au mur. Gaaraiou prit une poignée de diamant courra alors en direction de la porte.

- On va allé payer la rançon de ta mère! dit gaaraiou à Arthur.

- Merci. lui répondit Arthur en regardant par terre et ne savant que faire face à tous les sacrifices qu'avait fait gaaraiou pour l'aider. Car les actes que venait de commettre gaaraiou n'allaient pas être sans conséquences.

[HRP: comme métier, j'aimerais bien être mineur si c'est possible et si ça ne l'est pas bûcheron me plairait aussi.]

[HRP : je laisse le soin à Sideara de terminer le jeu-RP, étant moi-même absent]

[HRP: Ok, pas de soucis. A la prochaine alors ]