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SUJET : Jencyo Rêva

Jencyo Rêva 29 Oct 2013 18:22 #21203

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Prologue:

Tu n'es pas le centre du monde, on me l'aura dit souvent ça pour m'engueuler comme si ça ne devait absolument pas être une réalité. Mais c'est quoi le monde? Le monde c'est notre planète? Notre galaxie? L'univers? C'est un grand nombre de personnes? Si le monde ce sont eux, je suis fasse au monde, mais si le jeu prend de l'importance ou inversement le monde m'englobe donc le monde c'est nous? Et puis si je t'aime le monde ça devient toi, et moi alors. Hum... tu n'es pas le centre du monde

Attention : Spoiler ! [ Cliquer pour agrandir ]



Le monde c'est le monde, ont fait tous partis du monde et nous en sommes tous intrus, alors qui suis-je dans le monde... je n'en sait rien... enfin si je sais, dans notre monde, celui de la planète Terre, je m'appelle Jencyo Mostinelle j'arrive à l'année de mes 21 ans je suis née le 24 Juillet 2012. Dans un pays qui s'appelait France, quand mes parents avaient mon âge depuis il à beaucoup changé de nom à chaque fois qu'un pouvoir politique en reversé un autre. Tout à l'heure je parlais du monde, mais le monde a une fin non? Comme un début si nous vivons dans un monde qui est rempli d'individus de groupes de sociétés et d'ethnie qui façonne notre réalité alors notre monde nous l'avons construit donc le début de notre monde c'est le début de l'humanité? Si c'est le cas alors la fin du monde n'est pas difficile à envisager, la fin du monde ne peut être que la fin de l'humanité. J'ai grandi dans une banlieue de la capitale qui elle aussi à vu son non changé plusieurs fois. Ma mère était un professeur dans une école élémentaire à deux pas de chez nous. Elle s'appelait Ena et avait un magnifique sourire. C'était une mère aimante toujours là pour sont enfant mais qui porter une grande valeur à son travail elle si invertiser tellement que c'était comme une deuxième vie à tel point quelle y rencontra mon père, c'était le directeur de cette même école. Mon père... un homme plein de compassion et capable de grandes choses s'il n'avait pas été persuadé de le véracité de sa vision du monde. Vous avez remarqué que je parlait d'eux au passé? La fin de l'humanité chose que tout être humain s'est posé sur sa nature. Quand je suis née le monde pensé que sa fin été annoncé à l'avance par une tribu d'Amérique centrale depuis plusieurs centaines d'années. Tout le monde été incapable de dire ce qui arriverait réellement. Enfaîte chaque génération a eu sa fin du monde avant 201, c'était l'an 2000 et toutes les religions de l'histoire humaine ont vécu dans la crainte de l'apocalypse. J'ai donc grandi en fils unique protégé et éduqué par des parents affectueux et soucieux de faire découvrir le monde à leur enfant. Après l'école de mes parents je suis allé au collège qui était à moins d'1 kilomètre de chez moi et ensuite au lycée qui lui été rattaché, enfaîte au final je ne suis jamais sorti de ce paysage entre ma maison et mon école mon monde étais... plutôt réduit. Puis mon monde s'est transformée peu à peu en enfer. Ce monde-là dans lequel je vis depuis maintenant 20 ans est un monde torturé par l'extrémisme, après une courte période de croissance dans la deuxième moitié de 20e siècles. Notre monde à glissé lentement vers sa perte. Une perte qui commenca en 2017 à la chute de ce que l'a appelé République. De nos jours ce monde est en proie à de multiples violences les différent pouvoir qui prirent la tête du pays, annoncé tous au peuple une sorte de félicité après une grande crise. Chacun disait que le mal-être social et économique du pays était que passager et qu'il avait les solutions qui mèneraient le pays au beau temps mais après la pluie. Tout du moins c'était les arguments qu'il utilisé pour placer en fautif les pouvoir qui les précédait, et plus le temps passé, plus c'est gouvernement s'approché d'une dictature.




Mais c'est tous ensemble et avec le sourire que l'ont à détruit notre monde. Je me rappelle quand j'étais un peu plus jeune et que l'argent avait encore de la valeur à l'époque, ont ne tué pas pour manger, mon seul soutien mes compagnons de route de jeunes vagabonds partageant le même sort que moi chacun ayant une histoire qu'il préfère garder pour lui. Pour nous il n'y a aucun espoir d'avenir l'idée et de survie à ce nouveau monde et rien de plus et pendant 4 ans nous y sommes arrivé jusqu'à ce soir. Il doit être 11 heures je suis étendu là sur un trottoir de banlieue, il pleut. Dans mon thorax la brûlure d'une balle que m'a administrée le chef d'une bande qui nous avait prévenu de ne plus piller sur son territoire. Mes compagnons s'enfuit un seul se retourne et se met à pleurer c'était Dan, le seul en qui j'avais confiance, le seul qui était mon ami. Un autre tire retenti et je le vois s'écrouler à 5 mètres de mon corps, triste ou juste sort qui peut donc juger. Le monde est ce qu'il est, nous y sommes adaptés et il nous a rappelé ce soir que nous étions des intrus. La pluie... je ne la sens plus, mes yeux se ferment et le noir qui se forme englouti peu à peu la lumière des lampadaires. Adieux le monde je pars pour un autre et je te laisse le soin d'être aussi cruel avec les autres que tu l'été avec moi. Ce soir ma vie se termine, mon monde avec, plus jamais je ne verrai mon quartier, le souvenir de mes parents, le sourire de ma mère, tout partira avec moi. Bonne chance humanité je te laisse avec le monde. Je bascule, je n'entends plus rien... je me perds. Pour la première fois j'ai le sentiment d'être le centre du monde.


Et j'ouvre les yeux de nouveau....
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Dernière édition: 01 Nov 2013 15:40 par Tith59.
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Jencyo Rêva 02 Nov 2013 21:40 #21311

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- Eh gamin réveilles-toi, vite ils arrivent il nous encercle.
- Maman...
- Mais bouge on va tous crever si tu te lèves pas tout de suite.
- Argh... ma tête. Mais qu'elle est cet endroit.
- Bon retour à la réalité gamin.

J'ai levé les yeux, encore fatigué et excédé par la lumière, j'étais allongé sur un lit dans une grande salle qui semblait être un hall d'hôpital. Je dis semblait car tout étais en ruine, et certains trous dans les murs était assez béant pour distinguer un ciel... rouge sang. Je me relevais brusquement et sentait ma tête tourner. Je ne sais pas combien de temps j'avais dormi mais surement assez pour souffrir au réveil. Quand mes yeux s'habituére au blanc des quelques lampes de la salle je ne puis distinguer l'homme qui s'adressait à moi. Il devait avoir entre 35 et 40 ans. De grande taille et bien portante il était coiffé de cheveux mi-long et muni d'un barbe broussailleux noir comme la nuit. Habillé de vêtement simple mais usé, il les avait recouvert d'une blouse blanche typique d'un médecin d'hôpital.

- Ok retrouve tes fonctions motrices et faites ça le plus rapidement possible, il faut dégager de là. Tu vois la porte que l'on vient de barricader? Derrière se trouve le pire cauchemar de l'humanité alors si tu pouvais te secouer un peu sa nous arrangerai.
- Combien de temps j'ai dormi? Ou son Dan et les autres? Comment j'ai survécu.
- Écoute tout te sera expliqué en temps et en heures, mais tu n'auras jamais la réponse si tu meurs ici, alors bouge.

Quel était cet homme qui me réveillé pour me dire que j'étais encore menacé de mort? Et pourquoi ce bâtiment ressemble à un hôpital était si dépravé. Ok la guerre civile avait fait des ravages mais c'était surtout en banlieue, les bâtiments importants étaient toujours fortement défendus. Et la quelqu'un voulait entrer et nous tuer ! Mais qu'est-ce qui se passait? Ou étais-je? Qui était-il?

- Monsieur Brankford on vient d'en finir avec les bataillons qui nous poursuivé et la porte est solidement fermée. Mais il va falloir dégager au plus vite si on veut avoir une chance de survivre, ils sont beaucoup trop nombreux et d'autres escouades vont venir. Est-ce que le sujet est prêt?
- Un moment, nous y sommes presque.

L'homme qui venait de s'approcher de celui qui venait de me réveiller était lourdement armé et équipé d'un uniforme militaire que je n'avais jamais vu avant. Comme une tenue de combat avec de lourdes protections noires et un casque empêchant de voir son visage. Attendez le «sujet»... moi? Je suis un sujet.
L'homme à la barbe qui semblait se nommer Brankford me prit le bras et me força à me lever. Une fois libre de mes mouvements je put apercevoir la fameuse porte barricadée et un régiment de 5 hommes équipé de la même tenu militaire autour d'elles.

-On va monter sur le toit, là-haut un hélicoptère viendra nous chercher et on te ramèneras... Et merde.

Le bruit sourd que l'on venait d'entendre provenait de derrière la porte il avait fait taire Brankford et fait braquer les armes des soldats en sa direction. Une tension terrible venait de tomber, et même moi qui ne comprenais absolument rien à ce qui se passait je sentis un long frisson parcourir mon dos.

Attention : Spoiler ! [ Cliquer pour agrandir ]

- Merde, merde, merde une Gorgone ce n'était pas prévu ça.
- Mais de quoi à la fin. Est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer.

Le soldat de tout à l'heure se retourna.

- Brankford emmené le jusqu'au toit et ramené le à la maison, s'il meure ça ne sera pas que notre mission qui sera un échec. Nous on reste ici pour tenter de la stopper.
- Je ne sais que trop bien Sergent, vous n'avez aucune chance de survivre face à une Gorgone.
-Là n'est pas la question, le seul ici qui ne doit pas mourir c'est lui.

Il me pointa du doigt son casque m'empêcher de voir son visage, et je ne pouvais pas savoir si la peur pouvait s'y lire. Mais son bras tremblé.

- Aller Brankford tout le monde compte sur vous. Elle sera là d'une minute à l'autre. Prenez cet escalier et trouver un ascenseur pour monter sur le toit. Il devrait avoir assez d'électricité pour qu'il marche. Toutes nos bombes E-O y sont passées. Dégagé !
- D'accord Sergent on vous oubliera pas. Toi tu viens avec moi.

Il se saisit de mon bras fortement et me traina vers lui, nous passâmes le seuil d'une porte qui était au fond de la salle. Brankford mit une carte magnétique dans une fente dans un mur.
Bonne chance soldat.
La porte se ferma et un autre bruit sourd retenti.

- Ok il est clair que tu dois te poser un grand nombre de question, et promis tout te sera expliqué plus tard mais pour l'instant tout ce que je te demande c'est de me suivre et de courir aussi vite que tu peux. On doit rejoindre le toit au plus vite.
- Mais vous rigoler, et eux alors?
- C'est trop tard pour eux, mais c'était leurs volontés, si on veut la respecter tu dois survivre. Aller vient.

Et nous nous élançâmes dans les escaliers laissant derrière nous 5 hommes ayant choisie de mourir pour que moi je vive. Qu'avais-je fait ou plutôt qu'étais-je censé faire pour valoir la vie de ces 5 hommes, parce que je suis un sujet. Pourquoi je me réveille dans un hôpital désaffecté avec comme seul habit une chemise de nuit de patient. Alors que mon dernier souvenir était la froideur du trottoir sur le quelle gisait mon corps. Tout me serait expliqué plus tard me promettait Brankford à condition de survivre. Encore faillit-il y arriver. Qu'elle était le monde dans le qu'elle je venais d'atterrir.

[Pendant ce temps, dans la grande salle de l'hôpital.]

- C'est peine perdu. Il est déjà parti et il va entrer à Némésos. Nous avons trouvé un espoir là où vous avez semé le désespoir.
- Votre race n'aura jamais plus aucun espoir. Votre combat s'est achevé il y a un an. Va petit homme va ou est ta place. Dans l'oubli !
- Non, non non!!

- Ah ah ah.... misérable humanité. Allez mes enfants, réveillez-vous, traquez-les, ramener le moi. Jencyo Rêva ne sera jamais un espoir.

[Hrp: J'ai vraiment besoin de vos avis sur ce RP les gens !!!!]
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Dernière édition: 03 Nov 2013 18:36 par Tith59.
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Jencyo Rêva 03 Nov 2013 11:01 #21316

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J'aime bien! Mais cela fait trop penser à The walking dead! Le texte est agréable à lire hormis les fautes d'innatention et de conjugaison !

En gros j'aime bien, mais cela pourrait être encore meilleur avec une correction :p
Toujours remettre à trop tard ce que l'on peut faire maintenant!
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Jencyo Rêva 03 Nov 2013 11:50 #21318

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[HRP : Tu prends du vocabulaire, et tes écrits s'améliorent ! Les dialogues sont pas mal ^^ Y'a pas photo entre ça et tes premiers RP au début du serveur, tu progresses =)]

"Il faut savoir garder un atout jusqu'à la fin."


"You shoot me down but I won't fall."

Dernière édition: 03 Nov 2013 11:52 par Sideara.
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Jencyo Rêva 03 Nov 2013 18:38 #21342

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[Hrp: Ajout d'une musique au milieu du texte, est ajout d'un dialogue manquant à la fin

Et merci !!!!]
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Dernière édition: 03 Nov 2013 18:40 par Tith59.
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Jencyo Rêva 13 Déc 2013 19:51 #22458

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- Aller dépêches-toi, plus vite.
- J'arrive plus... à respirer.

- Ce n'est pas vrai, bon ok on fait une pause de deux minutes, reprend vite ton souffle.

Il en avait de bonne lui. Je me réveillais dans un hôpital en ruine et le dernier souvenir que j'avais été une balle dans mon thorax et mon corps gisant sur un trottoir de banlieue. Et ce gros lard voulait que je coure un marathon.

- Bon techniquement si on suit ce couloir nous devrions tomber sur l'ascenseur menant au toit ce qui m'inquiète c'est qu'une escouade devait nous attendre dans cette zone. J'espère qu'ils n'ont pas fait de rencontre aussi mauvaise que les nôtres.

Des larmes de sueur coulaient sur le front de Brankford, je pensais dans un premier temps que c'était dû à notre course dans l'hôpital. Mais à la vitesse a laquelle ses yeux changés de direction pour scruter le couloir me firent comprendre que c'était la peur de l'ennemi qui lui causait des sueurs froides.

- Une escouade? Vous voulez dire qu'il y a d'autres soldats en plus de ce que l'ont à laisser derrière nous?

- On est tous arrivés par le même hélico sur le toit nous nous sommes séparé en deux groupes pour assurer un meilleur remonter des étages lorsque nous t'aurions réveillé. On avait prévu de tomber sur les Maras. Mais pas sur une Gorgone, ont à déjà perdu cinq hommes, deux autres devraient être ici.

Les Maras, c'était les noms des gens que nous devions fuir? Une Gorgone? Tout se bousculer dans ma tête et cinq hommes était mort face à eux. Et où étaient les deux autres soldats?

- Bon aller on repars si on traine trop on y passera de toute façon.
- La Gorgone?
- Elle, mais aussi bien pire.

Sur ces mots il se retourna et prit la direction de l'ascenseur. J'avais envie de hurler, de hurler face à cette incompréhension dans laquelle ont me laisser. Mais la peur se lisait sur le visage de Brankford me poussé à le suivre. Sans rien dire je pense que... que je refusais de la partager, mais préféré suivre celui qui me parlé de survie, c'est comme ça, que j'avais vécu pendant quatre ans.

- Bon une fois sur le toit ont attendras que l'hélico vienne nous récupérer. J'espère qu'il sera là à temps voilà l'ascenseur. Aller grimpe.

Nous entrâmes dans la cage et nous nous retournâmes face au couloir, Brankford sorti une carte de la poche de sa blouse.

- Normalement il devrait rester assez de courant pour qu'il fonctionne. Plus qu'à insérer cette carte dans le moniteur et... Quoi !

Au bout du couloir venaient d'apparaitre deux soldats portant le même uniforme que ceux que j'avais vus plus loin. C'était l'autre escouade.

- Un Cerbère, reste bien à l'intérieur de l'ascenseur gamin.

Brankford tenait la carte prés du moniteur comme s'il attendait le dernier moment pour fermer les portes. Les grognements se rapprocher. Les deux soldats arrivés à la moitié du couloir et cet à ce moment précis où je pris conscience de la nature de la peur de Brankford. Une énorme masse noire apparue au bout du couloir, elle se stoppa posa le regard d'une paire d'yeux rouges sur les soldats et elle s'élança à une vitesse effrayante. En deux secondes la bête avait pratiquement rattrapé les soldats cette créature à quatre pattes ressemblant à un chien gigantesque tout droit venue des Enfers aller bondir sur eux et ils nous avait presque rejoint.
Vite vous y êtes presque...
Je nu pas le temps de terminer ma phrase que les portes de l'ascenseur s'étaient renfermées séparant mon visage de celui des soldats terrifie. À ma droite se tenant Brankford il avait inséré la carte dans le moniteur et condamner ses hommes.

- Vous... vous... vous les aver tuer enfoiré !

Je me ruais sur Brankford mais ses puissantes mains avaient déjà recouvert mes poings il me plaqua contre un des murs de la cage et me fixa.

- Si je les avais laissé passé le Cerbère serait passer lui aussi et nous ne serions plus de ce monde. Qu'une chose soit clair fiston le seule ici qui doit survire c'est toi. Dans ce monde Jencyo Mostinelle tu vas devoir faire des sacrifices pour rester en vie. Tu es bien trop important pour mourir ici et ses ma mission de te protéger. Peu importe le prix à payé.

[Hrp: Des avis !!]
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Jencyo Rêva 21 Déc 2013 14:53 #22615

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Il me lâcha, je laissais mon corps glissé le long du mur abasourdi par tous ces événements, je réalisais peu à peu que la mort me poursuivait et quelle s'abattait sur tout le monde autour de moi et que sa représentation était des créatures sortant de mes pires cauchemars. Les battants se rouvrirent nous étions enfin sur le toit Brankford se dirigea vers un des rebords et me dit signe de le rejoindre. Je m'exécutais tel un automate de chair dont l'esprit avait fui la réalité.

- L'hélico devrait plus tarder, je pense que je te dois des explications. Surtout une fois que tu auras vu ça.

Il me pointait du doigt la ville dans laquelle nous nous trouvions. C'était la capitale, ma ville natale, elle était entièrement détruite. J'avais devant moi des champs à perte de vue de bâtiment et de maison en ruine. Dans les rues des carcasses de voitures calcinées et aucune âme qui vive et ce ciel rouge sang agrémenté de nuages noir. Plus rien de correspondais à mes souvenirs. Mon monde n'était plus... J'étais abattu. Je sentis l'envie de vivre s'effacer en moi tout s'écrouler. Brankford posa sa main sur mon épaule.

- Je comprends ce que tu ressens. Crois-moi je l'ai ressenti également. Je vais tenter de tout expliquer. Jencyo Mostinelle tu as été retrouvé au bord de la mort dans une rue de banlieue, ton corps a subi un grand nombre de soins pendant que tu étais dans le coma. Tout ceci a duré un an. Tu as dormi pendant un an, or pendant cette année les guerres civiles se sont amplifié et les nations ont peu à peu perdu le contrôle de leur population. Puis le monde a été frappé par le cataclysme notre ancienne civilisation est détruit et l'humanité est en voie d'extinction. nous sommes en grand parti fautif. Mais les Maras se sont jeté sur l'occasion.

- Les Maras? Le chien que vous avez appelé Cerbère, c'est ça un Mara?

- Oui c'est un Mara, mais ce n'était qu'un animal, un pion dans une armée gigantesque de créature doté d'intelligences qui est apparue après le cataclysme. La Gorgone est une Mara,mais il existe beaucoup d'autres sorte de Mara. Ils veulent la fin de l'humanité, et nous traquent depuis un an.

- Mais c'est quoi, des mutants? Des anciens humains? Des monstres?

- Oh oui. Si une chose est sur ce sont des monstres.

- Mais je ne comprends rien. Vous étend la en train de me dire que l'humanité est détruite. Et qu'une autre race intelligente peut nous achever. C'est quoi ce cataclysme dont vous parler mais bordel, je ne suis qu'un mec qui tentait de survivre à la guerre civile. Qu'est que je viens foutre le dedans. ce n'est pas vrai. Mais c'est un cauchemar. Mon dernier souvenir, c'est moi en train de me vider de mon sang après une fusillade, et la comme ça je me réveille un an après dans un hôpital en ruine, dans ma ville, complètement détruite. Avec des hommes qui me hurlent dessus et qui meurent. On m'explique que je suis important et qu'ils sont prêts à mourir pour moi. Mais bordel c'est quoi ce délire, mais qu'est que je fous ici. Et en quoi suis-je important?

- Eh bien. Jencyo tu es la clé de ce monde. Il ne l'aurait pas retenu bien longtemps.

Je me retournais. Et je vis au niveau de l'ascenseur que nous avions emprunté une créature que je n'arrive pas à décrire. Mon sang s'était gelé dans les veines et mon corps s'était paralysé par la peur. La Gorgone
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