La récente reprise d'activité au sein de la cité de Rive-Feuille obligea l'empire à réhabiliter l'ancienne route joignant celle ci à Mont-Brumeux et Haut-Chêne.
C'est ainsi que Chaegoru, fut envoyer en renfort mixte afin de protéger les travailleurs et d'aider aux travaux. Partant de Haut-Chêne de bon matin avec le contingent envoyer par le Grand Intendant.
L'air été frais et le ciel nuageux, priant pour que la pluie ne les épargnes durant leurs marches, ils partirent d'un bon pas afin de gagner rapidement le chantier. Le chemin fut parcouru relativement rapidement et sans accros s'il on oubli les deux bannis qui rôdait au alentour de la route peu après la sortie de la cité.
Lorsque enfin ils arrivèrent à la bifurcation vers Rive-Feuille, Chaegoru ce rendît compte que même après avoir fait le trajet reliant la capitale à sa ville, il n'avait jamais prêter réellement attention à ce qui ressemblait aujourd'hui d'avantage à un chemin peu fréquenter qu'à une route impériale comme celle sur laquelle il ce tenait.
Cycléis venait tout juste d'achever la moitié de son premier cycle diurne et les hommes affamer avaient pu ce jeter sur le repas fourni par l'empire pour le groupe de travailleurs.
Le repas fini, les larmes de Cycléis commencèrent à choir, le travail ne pouvant être interrompu les esprits s'embrunirent et tombèrent peu à peu dans un rythme monotone dans lequel plus rien n'est ressenti la tâche répétitive obnubilant simplement ceux ci.
Après ce qui paru à la fois très court et une éternité, le sifflet retenti signifiant la fin de la journée, ce dirigeant tous vers le campement de fortune aménager pour la durée des travaux, les hommes ne discuter pas et le silence n'était briser uniquement par le clapotis des gouttes d'eau frappant le sol dans une mélodie assommante finissant d'achever le peu de concentration que pouvait avoir certains membres du groupe. Mangeant tous en silence le temps paru ralentir et beaucoup ce jour la ce couchèrent bien tôt.
Chaegoru nu pas cette chance, assignait à la garde du campement fortifier pour détecter toute menace Amranéenes ou banni, les heures de gardes parurent s'éterniser et ses yeux bien décider à ne pas écouter son cerveau qui leur commander de rester ouvert. Bien que la volonté puisse faire des miracles, il finit par s'endormir...
Rêvant ce sa belle cité à la saison de pré fumant, Cycléis rougissant sa peau de sa lumière chaleureuse la joie doucereuse de ce moment envahi son être lorsque soudain...!
L'illusion presque réel de sa noble ville s'évanouissant lentement laissant place au froid humide s'insinuant dans son corps lui glaça les os. Tirer de son sommeil qu'il avait été par l'homme supposé assurer le tour de garde suivant, Chaegoru mit quelques instants à comprendre la situation avant de ce lever douloureusement tout anchylosé. Il s'aperçut alors que Cycléis avait parcouru plus de chemin qu'elle n'aurait du pendant sa garde. Lançant un regard noir à l'homme qui venait de prendre sa place, il parti en direction du dortoir vers lequel il était presser de retrouver ses rêves.
Le lendemain matin, il ce leva avec difficulté la nuit n'ayant pas été d'un grand repos même si son sommeil avait été lourd. Pourtant déjà l'heure de ce remettre au travail arrivait, avalant rapidement sa ration matinal, il parti reprendre la tâche qu'il avait interrompu le jour précédant.
Cycléis peut être par pitié pour les travailleurs briller aujourd'hui un peu plus fort ce qui gonfla le coeur des hommes. Ainsi remotivé, ils purent avancer grandement dans les travaux du jour.
Néanmoins, au loin la tâche principale pour laquelle ils étaient sur la route commença à pointer de ses quatre grandes tours. Le grand pont de Rive-Feuille crever l'horizon par sa grandeur, il était presque triste de voir une si belle construction abandonnée au aléa du temps et à la sauvage nature des maris peu distant.
Bien que visible, la journée s'acheva sans que le contingent n'aient avancer suffisamment pour l'atteindre. Le campement une fois monter et sécurisé, les hommes ce laissèrent aller leur moral bien meilleur que la veille. En effet à part quelques bannis rencontrer en chemin et rapidement maitriser, ils avaient bien avancer et rejoindraient le pont le lendemain en fin de matinée.
Chaegoru, n'étant pas de garde ce soir la alla rapidement partager son repas et échanger des blagues avec ses camarades avant de rejoindre le dortoir. Le sommeil le conquit rapidement plongeant son esprit dans un maelstrom de penser composant ses rêves.
Réveiller au première lueur de Cycléis, les hommes s'habillèrent rapidement pour rejoindre leurs postes et ainsi atteindre le pont pour manger leur prochain repas. La distance fut couverte sans accros et sans qu'un seul banni ne ce soit montrer. Ce jour n'aurait su démarrer en de meilleur hospice.
Comme prévu, les hommes purent vider leurs gamelles à l'ombre de la porte Sud qui ouvrait l'accès au pont.
L'après midi fut charger, remettre à neuf un ouvrage aussi imposant que celui ci nécessiterait des heures de travail malgré le nombre d'homme présent.
"HRP": Deux suites disponible, la première étant simplement la car j'étais content de mon texte, elle ne c'est pas déroulé.""
"HRP": Première version remplacer par la seconde version suite à une incompatibilité avec l'histoire akatéen.""
Tandis que les groupes ce préparaient à effectuer leurs tâches, Chaegoru et quelques soldat furent envoyer afin d'explorer les tours et ainsi éviter toutes surprises. Ainsi les quatre gardes choisirent chacun une tour, ce retrouvant ainsi dans la tour Nord,Ouest Chaegoru avança prudemment en direction de la porte. Celle ci s'ouvrit sans la moindre résistance comme si ses gonds venaient tout juste d'être huilés.
Se préparant alors à l'ascension de la structure, une étrange aspérité sur le sol attira alors le regarde de Chaegoru. S'approchant afin de voir de plus près ce dont il s'agissait, 'Clic' étouffer ce fit entendre et trop rapidement pour qu'il puisse réagir, une trappe s'ouvrit sous ses pieds.
Ouvrant les yeux avec difficultés, Chaegoru ne voyait rien de net pourtant il ne semblait pas dans le noir, une faible lumière filtré à travers ce qui ressemblait à des étagères. Bien qu'incapable de deviner ce qui ce trouver dans la pièce, il tenta de ce relever cherchant un appui sur lequel ce hisser. C'est alors qu'il bascula de nouveau son esprit s'envolant au loin.
Pour la seconde fois, il ouvrit les yeux avec cette fois une acuité plus grande. Retrouvant peu à peu tous ses sens, une violente douleur déchira alors son crâne sur lequel il posa instinctivement ses mains. Il reconnu alors sans hésitation la texture du sang sous ses doigts, le puzzle ce remit alors en place d'un seul coup.
La dalle piégé, la trappe et sa tête heurtant le sol de la pièce dans laquelle il ce trouvait actuellement.
Cette fois plus alerte, il réussi à ce relever et identifia alors les objets sur les étagères. Une grande collection de livres était conservé en cette pièce et Cycléis seul sait depuis quand personne n'avait foulé cet endroit.
Prenant garde de ne pas mettre les pieds ou les mains n'importe ou, Chaegoru décida d'aller voir d'où cette lumière douce et bleuté pouvait provenir.
Après avoir circulé dans un dédale de bibliothèque, il arriva finalement devant une porte depuis laquelle la lueur bleuté ce diffuser.
Tendant la main afin d'ouvrir la porte, il ce rappela soudain comment il était arrivé la et ce figea dans son mouvement. Après une lutte intérieur qui lui paru durer une éternité, la curiosité l'emporta sur la prudence. Ouvrant avec douceur la porte, celle ci tout comme celle de la tour s'ouvrir coulissant avec grâce et candeur dans ses gonds.
Respirant un grand coup, il avança à tâtons tâchant de marcher sur des oeufs dans l'espoir de ne pas activer un autre piège. Trop occupé à regarder ou il mettait les pieds, la présence proche d'un livre flottant au dessus d'une table le fit sursauté ruinant tous ses efforts de prudence. Le livre voletant au dessus d'une table de laquelle s'échapper un halo bleu plus fort à présent si proche.
Après quelques secondes d'observation, Chaegoru remarqua également des lettrines dorées volant dans l'air et semblant provenir des livres à proximité.
Une envie irrésistible envahi alors son esprit et sans même s'en rendre compte, sa main ce posa sur le papier composant ce livre étrange. Un flash aveuglant envahi alors les pensées de Chaegoru qui tomba une fois de plus, évanoui...
Une odeur d'encre et de vieux papier composaient alors tout ce qu'il était capable de ressentir, après quelque instant ses idées commencèrent à retrouver leurs place. Une nouvelle fois, ses yeux s'ouvrirent cependant cette fois ci, il pu ce relever directement et son esprit lui parut plus clair qu'il ne l'avait jamais été. Tenant à la main le livre qu'il lui était tomber sur le visage insinuant ainsi cet odeur qui lui apparu des plus agréable, il regarda alors rapidement celui ci.
Quel ne fut pas sa surprise lorsqu'il réalisa qu'il était alors capable de lire les écrits de ce vestige d'un temps ancien. Reposant délicatement et respectueusement celui ci sur la table au halo bleu. A sa grande surprise le livre s'éleva dès qu'il l'eut lâcher pour reprendre sa place initial.
Alors les lettrines voletèrent à nouveau dans l'air comme aspirer vers le livre. A nouveau ébaubi, il parvenait également à comprendre ce manège virevoltent. Comme en transe, Chaegoru s'approcha de la table sur laquelle était posé le livre, revenant sur ses pas sans parvenir à comprendre pourquoi. Tendant alors les mains, ses lèvres s'agitèrent et d'un seul coup son esprit fut envahi d'une chaleur inconnu et agréable. Son esprit ce perdit alors dans cet état de béatitude et la torpeur s'empara de lui.
Inerte à présent, son corps tout comme le livre un peu auparavant décolla alors du sol et ce mis à flotter et plus rien ne bougea donnant à nouveau à la pièce une aura d'immortalité inviolable.
"HRP": Seconde version officiel""
Tandis que les groupes ce préparaient à effectuer leurs tâches, Chaegoru et quelques soldat furent envoyer afin d'explorer les tours et ainsi éviter toutes surprises. Ainsi les quatre gardes choisirent chacun une tour, ce retrouvant ainsi dans la tour Nord,Ouest Chaegoru avança prudemment en direction de la porte.
Celle ci, pivota avec grâce et candeur laissant voir une salle poussiéreuse. Une grande échelle ouvrait le chemin vers le sommet de la tour.
Humant l'air de ces lieux rester longtemps fermer et inoccupé, il débuta son ascension. L'effort physique nécessaire pour monter était considérable et l'erreur non permise car longue était la chute. Ayant finalement réussi à ouvrir la trappe permettant d'accéder au toit de ce pont, il pris quelques secondes afin de reprendre son souffle. Ouvrant alors la double porte donnant accès au chemin suspendu loin au dessus du niveau des eaux, l'air frais s'engouffra dans la pièce faisant frissonner brièvement Chaegoru.
Le vent à cette altitude soufflait sans discontinuer obligeant Chaegoru à plisser les yeux, admirant la vue depuis les hauteurs, il put distinguer la ville de Rive-Feuille. Il entendit soudain un cri, un homme en bas du pont lui faisait des grands signes l'invitant à le rejoindre. Ce préparant alors à renouveler l'effort nécessaire à la descente de l'échelle.
Arrivait en bas, l'homme lui dis que la noble Dame les accompagnants l'avait choisi afin de l'escorter dès çà présent vers la ville.
Ce rappelant la présence de Dame Preambule dans le convoi qui avait suivi les travailleurs, Chaegoru parti sur le champs récupérer ses quelques affaires. Rejoignant le lieu indiqué par l'homme, il fut surpris de trouver une femme seule en compagnie de son chef d'escouade. Il lui donner alors ordre d'accompagner Dame Preambule et de veiller sur elle comme il le ferait pour l'Intendant car elle était chère au yeux de l'empereur.
Il partirent alors sur la route.
Merci à ceux qui seront arrivé jusqu'ici après avoir eu le courage de lire l'intégralité de mon récit qui j'espère aura su vous captiver.
Je tiens également à dire que quelques clin d'oeil à certaines parodies douteuses du RP ce sont glissées dans mon texte

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J'ai pour ma part pris grand plaisir à écrire ces lignes puisque je pense avoir commencé je n'en suis pas sur il y a plus de deux heures et voici que sans même m'en rendre compte il est maintenant presque cinq heure du matin.