J'étouffais. Je ne savais plus depuis combien de temps je minais. Peut être 1 semaine, ou plus, je n'avais plus la notion du temps. J'avais complètement oublié ma vie a Mont Brumeux, oublié mes obligations a soutenir la guerre contre ses chiens amranéens avec mes compagnons.
Depuis tout ce temps j'étais resté a miner la pierre a la recherche de ce minerais tant convoité qu'était le Lapis Lazuli pour finir le moulin pour Dame Preambule.
Des jours a miner, sans rien trouver ….
De la roche... toujours de la roche. Je n'ai pas trouvé le moindre minerais depuis des jours.... Soudain ma pioche resta coincé sur une pierre plus dur que les autre. Mais cette pierre je la connaissais très bien. une pierre de cette qualité, pleine de mousse.
Cela ne pouvais qu’être ce que les gardes de Mont Brumeux appelé des donjon de bannis. Mais ceux là étaient différent. Il n'avaient rien de semblable aux bannis que nous connaissions si bien. C'était des squelettes au yeux rouges avide de souffrance et de vengeance. Plus rapide, plus précis, et armé d'un arc et d'une resserve illimités de flèche, ces monstres n'auront aucune pitié pour moi.
Je décidais tant bien que mal de mener a bien cette bataille. Enfourchant dégainant mon épée et prenant mon courage a 2 mains je m'approcha doucement de ces squelettes. Mes mains tremblaient, des gouttes de sueurs coulaient a flot se mélangeant a la crasse et me brûlant les yeux, ma gorge serré je faisais de petit pas. Soudain, un squelette me repéra. Il se retourna d'un coup et commença a me harceler de flèches sans même chercher a réfléchir. Les autres monstres alerté par le bruit des projectiles sur la roche, s'approchèrent de moi.
Je n'avais aucune chance. Je n'étais qu'un simple mineur. Jamais je n'avais suivis la moindre formation aux armes. Cependant par orgueil je me devais de combattre comme un homme.
Les flèches pleuvait sur moi, je tentais d'esquiver la plupart de celle ci tout en donnant des coups d'épées. Mais celle ci n'était pas faites pour ce genre de combat. Ce n'était que deux simple morceaux de bois que j'avais ficelé ensemble pour éloigner les bannis vert que les gens appelé des creepers.
Cette bataille n'était que folie. Je me devais de me replier. Je commença alors a rebrousser chemin. Je courrait. Mes poumons me brûlaient, je ne pouvais plus respirer, mais il fallait que je continu a courir.
Soudain, dans ma fuite je n’eus pas le temps de voir le creeper qui s'était blotti dans l'ombre. Je n'eus que le temps d'entendre un grosse détonation semblable a la TNT des amranéens quand de douleur je perdi connaissance.
- Que Cycleis soit loué il reprend connaissance. Maitre mineur Al vous ne devais pas bouger. Vous avez était grièvement blessé et ...
- Des bannis il y'en avais partout !! Une détonation !! Mes bras, j'ai mal aux bras que m’ait t-il ….
Je n'avais plus de force. Je perdis connaissance mettant un terme aux mille questions que j'avais en tête.
Quand je repris mes esprit, la nuit était tombé. Je reconnu immédiatement le garde Sonno ainsi que ma maison. Je n'aimais pas qu'il surveille de si pres ma demeure, mais sur le moment j'était presque rassuré qu'il m’ait trouvé.
- Maitre Al. Vous devez me calmer. Vous avez été blessé dans votre mine. J'ai entendu la détonation de ce monstre et je vous ai ramené chez vous. Malheureusement le médecin du village étant absent pour encore quelques semaines et malgré les maigres compétence en médecine indispensable a tout guerrier je n'ai pas pu sauver vos jambes. Vous ne serez plus apte a être mineur ….. je suis vraiment désolé.
Je n'en croyais pas mes oreilles. J’étais venu a Mont Brumeux pour prouver aux villageois mais surtout a l'empereur que je pouvais être indispensable, j'avais construit un moulin a Dame Preambule, je n'avais même pas eu le temps de le finir....
La colère s'empara de moi. Me levant d'un trait je jeta tout ce que j'avais a porté de bras contre les murs.
- Que va être ma vie maintenant Sir Sonno ! Répondez moi je vous en conjure !
- Malheureusement avec vos jambes dans cette état, l'empereur refusera de vous laisser continuer a travailler dans les mines. Mais je suis certain qu'il prendra vos bon et loyaux services et vous transférera sur un poste tout aussi important, mais moins difficile par rapport a votre handicape.
Un autre métier. Je ne pouvais pas changer. Dans ma famille nous sommes mineur depuis des générations. Ne plus être mineur était pour moi une honte je me devais de trouver une solution. Une solution qui me permettrait de non seulement rester a Mont Brumeux mais aussi de vivre de ma passion pour les roches.
Suivant maître Sonno ramasser tant bien que mal les affaires brisés au sol, une idée me vint. J'ai réussi a construire un moulin pour Dame Preambule, je doit bien pouvoir faire quelque chose pour mes jambes.
- Maitre Sonno apportez moi mes feuilles et cette plume. Hurlais-je. Allez me quérir le forgeron immédiatement.
Heu … Mais... C'est à dire que …. balbutiât-il
- Je n'ai pas le temps de discuter faites ce que je vous dit ou je vous plante mon reste de jambe dans un orifice pas prévu a cet effet !!
Maitre Sonno tourna les talons.
- Orifice pas prévu ….. quoi il parle.... Marmonna Sonno en ouvrant la porte.
J'attendis qu'il ferme la porte et qu'il se dirige vers la forge, pour commencer a dessiner ce qui allait être mes nouvelles jambes.
Mon dessin terminé, j'entendis Maitre Sonno discuter sur le pas de ma porte avec le forgerons de mon état de santé.
- Maître Sonno allez vous, vous décider a rentrer ? Je n'ai pas le temps. RAMMENEZ VOS FESSES DE POLTRONS ICI !! hurlais-je de mon lit.
Le garde pourtant très bavard d'habitude, ouvra timidement la porte accompagné du forgeron.
- Maitre forgeron, merci à vous d'être venu et excusez moi de ne pas être présentable. J'aimerais que vous preniez ces plans et que vous me fassiez de fausses jambe beaucoup plus solide, pour remplacer celle que j'ai perdu malgré moi. Vous sentez vous capable de faire cela avant le levé du jour ?
Le forgerons ne se laissa pas distraire. Il pris mes plans, me regarda interrogatif et tout en se grattant le bas du dos commença.
- Avec un délais aussi court je ne suis pas certain de pouvoir vous faire cela, il me faudrait au moins 3 jours rien que pour l'achat du fer et encore une matinée pour monter les pièces. Si je peut me permettre, si vous aviez choisis du bois comme matériaux principal vous l'auriez dans l'heure et le prix serais beaucoup plus abordable. Dit il sans me quitter des yeux.
Je n'avais effectivement pas les moyens de me payer des jambes en fer. Je ne vivais que dans une petite maison, et mon manque d'efficacité dans les mines ne me permettrai pas une telle folie. Je devais me soustraire a écouter les conseils du forgerons et accepter des jambes de bois.
- C'est d'accord. Dis-je avec résignation. Ramenez ces plans au bûcherons et dites lui de me ramener le résultat le plus rapidement possible. Maître Sonno, maître forgeron merci à vous. Laissez moi seul je suis fatigué je doit me reposer...
Je ne laissa pas le temps a mes invité de partir que je me tournais déjà pour m'endormir.
Ce fût une mains forte et rugueuse qui me réveilla au petit matin. C'était le bûcheron un paquet sous le bras.
- Maitre Al. J'ai fait aussi vite que possible pour vous construire vos jambes. Commença t-il. J'ai cependant porté quelques modification a vos plans de base pour que vous puissiez marcher plus facilement. L'idée était particulièrement bonne mais avec cette version vous aurez moins de mal prendre l'habitude. Laissez moi vous les installer, cela ne devrait pas être long.
Le bûcherons ne me laissa pas répondre et commença a retirer ma couverture en plume d'oie d'une main, déballant sont paquet de l'autre, sans même me laisser retrouver mes esprits.
Quinze minutes plus tard mes nouvelles jambes étaient installés.
- Je vais vous aider a vous lever. Vous voyez, de chaque coté j'ai mis de petite tiges de vois pour vous permettre de ne pas perdre l'équilibre. Elle sont presque aussi fonctionnels que vos jambe d'origine.
- Merci maître bûcherons. Je savais que je pouvais compter sur vous. Prenez l'argent qui est sur la table. Gardez tout vous le méritez bien.
Le bûcherons esquissa un petit sourire et me dit d'une voix mi moqueuse mi fière.
- Payez moi vous même. Vous pouvez le faire allez y !
Je mis une jambe devant l'autre doucement me tenant a tout ce que je pouvais trouver me dirigeant vers la table, et fut cependant surpris de voir a quel point mes jambes fonctionnais. C'est comme si je n'avais jamais eu d'accident, comme si mes jambes étaient toujours là. J’étais fière de moi. Avec ces jambes je pouvais perpétuer les traditions de ma famille et rester mineur...
Ce sera à mettre dans ta section biographique...et adapter ton skin! ^^ NB: Sideara, est-ce qu'on avait pas un nom plus "akatéen" pour les creepers?) 
).
Si j'oublie pas je vérifierai cela à mon retour du sport 
