Nous sommes le troisième jour de la cinquième décade du pré fumant de l'an 1559, dans la taverne d'Haut-Chêne, deux citoyens discutent :
« Mon cher ami Théobip, déclara Hazael, savez-vous qu'un soldat Montbrumois dénommé Sonno à encore aperçu Atisamus suivit d'un banni à plusieurs heure de marche de Mont-Brumeux ?
-Encore !Mais, pourquoi Atisamus ne revient-il pas chez lui, et pourquoi ce promène-t-il avec des bannis?Peut être qu'il a vraiment pactiser avec eux, mais j'ai beaucoup de mal à croire cela mon ami, vous savez, Atisamus était un fervent serviteur de l'empire.
-Oui, je sais, mais cela fait bientôt un an qu'il n'est pas revenu chez lui et a pour seul contact d'immondes bannis. Et son pauvre père, mort la semaine dernière avec sa femme a cause de la famine. Ils sont morts a cause de lui, il les a laissées mourir de faim dans le froid de Mont-Brumeux. Nous allons détruire leur maison la semaine prochaine. »
Ils discutèrent ainsi durant des heure, lorsque la foudre s’abattit sur la bibliothèque.
Théobip qui tenait tant à cette bibliothèque courra voir les dégâts qu'a causer la foudre, Hazael sur ses tallons. Ils montèrent au dernier étage du bâtiment et virent au milieu de la pièce, un livre. Rien n'avait été abîmé a par peut être un petit trou au plafond. Jamais ils avaient vu un éclair comme celui la, d'une telle puissance! Et pourtant, à la vue de l'absence de dégâts, l'éclair marquait encore plus leurs mémoire. Théobip ramassa le livre pour le remettre sur la bonne étagère. Il ouvrit la première couverture pour en voir le titre et s'immobilisa. Il tendit le livre à hazael, sur la page était écrit, « journal d'un mineur, Atisamus ». Ils se regardèrent un moment puis décidèrent d'emmener le livre dans la demeure de l’empereur Mamorukun. Arrivé là bas, tout fut narrer a l'empereur. Il en resta bouche béé et demanda à Théobip de faire la lecture, le livre n'étant pas très épais.
Troisième jour de la cinquième décade du pré fumant de l'an 1558- Je suis partis avant-hier explorer une immense caverne sous la ville de Mont-Brumeux, après de longues heures passée sous la terre avec une constante peur de croiser d'immondes bannis. Ce matin en voulant rentrer à mont-Brumeux, je me suis perdu dans la caverne, j'ai voyager toute la journée en essayant de remonter à la surface car je commençais a être en manque de nourriture. Au bout de plus de 5heures de marche, j'ai vu la lumière au-dessus de moi. J’étais heureux, voilà deux jours que je n'ai pas revu cette douce Cycléis. Mais ce bonheur ne dura pas, en remontant à la surface, je tomba nez à nez avec de nombreux bannis, chose étrange, aucun n'était de la même race, un squelette, un zombi, un creeper, une araignée. Mais je n'eut pas le temps de réfléchir longuement a cela, je préférait courir pour sauver ma peau, je pris la fuite, mais les bannis était plus rapide que moi et me rattrapèrent en plus de temps qu'il le faut pour le dire. Ils s’arrêtèrent devant moi, me bloquant le passage, ils n'étaient pas comme les autres bannis, on les sentaient doué d'une extrême intelligence et ils paraissaient flotter à deux centimètres du sol, cela leur donnait une étonnante grâce. Ils me fixèrent pendant un long moments, je me croyait perdu. Après un temps qui me parut interminable, la foudre, d'une puissance colossale, s'écrasa dans la masse de bannis, les enveloppant d'une lumière semblable à celle de Cycléis. La lumière cessa et une ombre sortit de la poussière, un personnage de plus de deux mètres de haut, de forme humanoïde, il était captivant, je ne put détacher mon regard de lui, même avec la plus grande volonté que j’étais capable de fournir. Puis il parla, d'une voix forte, qui inspirait le plus grand respect.
« Bonsoir, Atisamus, j’espère que tu a fait bon voyage, (rire sadique) je t'ai préparé une chambre, va et repose toi, je t’appellerait demain matin, tu as de la nourriture et un livre sur une étagère, je te conseil d'écrire ce que tu vit en ce moment car c'est pour toi un grand honneur d’être présent pour la tâche que je t’ordonnerait d'accomplir demain. Repose toi bien ! »
Je ne pus pas bouger, j’étais subjuguer par la présence de ce personnage. Soudain, je m'inclina, jamais je n'avait voulu faire sa et pourtant quelque chose le voulait. Je sentit la volonté de inconnue puissante et autoritaire, je me dirigeait vers la cabane et me mis à écrire. Je ne sais pas ce qui va ce passer demain et je préfère ne pas y penser.
Quatrième jour de la cinquième décade du pré fumant de l'an 1558- « Bonjour Atisamus, j’espère que la nuit c'est bien passée, je t'ai appelé ici pour aider mon maître et ces frères à la construction de la première arène d'Akatéa, elle représentera un défi, lancées par chacun des dieux créateurs, bien sur je t'aiderait dans ta tâche mais tu devra dessiner plans et circuits de minéraux rouges. Je te laisse deux semaine pour cela, nous attaqueront la construction après ce délai. Est-tu apte a accomplir cela ?
-Oui, maître. »
Pourquoi avais-je accepter ? Et surtout, pourquoi l'avais-je appelé maître, jamais je n'avait eu cette impression, mais cette entité me dirigeait, comment je ne sais pas, la seule chose que je sait, c'est que je suis faible, très faible.
(HRP, alors voila si l'idée vous séduit je finirait l’arène en mode solo et la fin du backround.)
(Ps: j'ai surement laissé pas mal de fautes d’orthographes.)
Au pire il est -nettoyeur de latrines de l'Empereur- ^^ Plus sérieusement, avant de donner notre aval pour ton projet, je -veux- savoir quelle est la raison RP de cette arène, pourquoi elle t'a été demandée, et bien sûr par qui. Je propose donc que nous en parlions en privé (avec Sideara) sur Mumble à ta convenance (mais pour moi ce ne sera certainement pas avant samedi soir)) 
