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SUJET : Une invitation vers l'enfer pour un monde meilleur

Une invitation vers l'enfer pour un monde meilleur 24 Fév 2013 13:59 #11232

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[Ce RP se fera en plusieurs parties bien que la plus garnde partie et déjà écrite elle doit recevoir quelques ajustements.]


Une invitation vers l'enfer pour un monde meilleur?
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Une invitation vers l'enfer pour un monde meilleur 26 Fév 2013 20:08 #11314

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SoonSoox, Apothicaire Impérial dernier apprenti du tristement disparu Chad. Celui-ci s’assis, pris une plume à écrire, l’enduit d’encre noir légèrement bleuté et commença à écrire le récit des malheureux événements qui c’étaient produit il y a quelques décades :


Tout commença alors que rompu par une journée de recherches harassantes et d’expériences ratées. Assis dans mon fauteuil qui avait vu trop d’étés et qui était ouverts à de nombreux endroits. Mes yeux commençaient à se fermés sous une fatigue de plomb.

La rue était déserte et aucuns bruits ne trahissaient le silence qui s’était installé et qui avait pris ses quartiers; il était tard. Cycleis s’élevait sous sa forme nocturne et, offrait une lumière argentée au rue Mont-Brumoise.

J’étais toujours dans mes pensées et je n’allais pas tarder à sombrer dans mes songes imbibés de brume. J’y serais plongé volontiers si une ombre n’avait filtré en dessous de ma porte, d’un bon je me levai sans bruit et je me dirigeai vers la porte. Je l’ouvris d’un trait et regarda amusé l’homme qui d’un sursaut avait sauté de deux bon mètres en arrière. L’un des meilleurs espions de l’empire c’était fait avoir par un simple apothicaire. Tout penaud il accepta mon invitation à entrée et à prendre une tasse de tisane.

« Vous savez, c’est toujours le même problème, on a beau être silencieux comme la nuit on reste toujours visibles. »

« Il faut bien que le jeu en valle la chandelle et puis il aurait un peu trop de facilité non ? »

« Je préfère la facilité que voir mes éclaireurs morts, apothicaire »

« Bien sur mais Cycleis ne nous à pas donné le don d’êtres invisibles »

« Et… et bien c’est de ce sujet que je suis venu, enfin que l’empereur ma confié la mission de t’apporter cette lettre »

L’espion me la tendit je l’ouvris.

Cher apothicaire,

Comme vous le savez surement après la victoire Impérial pour la destruction de la ville d’Eau-Changeante. Les Amranéens , se sont regroupés et préparent un mauvais coup… C’est pour que cela que moi, Empereur, je vous demande d’expérimenté et de créer un breuvage, qui ferai de nous des êtres translucides comme l’air.
Nous devons protéger nos frontières ainsi que nos citoyens et la prévention ainsi que l’anticipation sont les meilleures armes face aux plus rusés des adversaires. Vous savez surement que je ne ferai pas appel à vous si cette quête n’était pas importante pour le royaume.

Je compte sur votre discrétion et sur vos compétences pour mener à bien cette requête de la plus haute importance.

Mamorukun, Empereur Impérial.


Je me souviens de la tension qui m’avait saisi quand j’avais une nouvelle fois relu la lettre, des êtres translucides ! Impossible, mais je ne pouvais refuser une requête venu de l’Empereur. Il me fallait essayer et trouver une début de réponse. Je ne savais jusqu’ou cette entreprise allait me mener.

Le lendemain, après mettre couché bien tard et mettre levé bien tôt, alors que je n’avais pas mangé mon bol de gruau, je me dirigeai vers la bibliothèque Impériale. Si un quel quonque parchemin avait des informations ils devaient se trouver écrit dans l’un de ces livres. Après avoir choisi une belle pile d’ouvrages et de parchemins en tout genre, je me mis en quête de paragraphe parlant de la possibilité qu’un corps vivant puisse disparaitre.

Rien, Rien, Rien, Toujours rien. Je cru a cette instant qu’après plus de la moitié des ouvrages parlant de l’invisibilité que je ne trouverais jamais un début de réponse, c’était faux. Dans un vieux parchemin, rongé par les années et la poussière, je trouvai ce que je cherchais. Dans ce parchemin était indiqué que grâce une réfraction totale de la lumière bénite de Cycleis on pouvait passer invisible. Mais pour cela il fallait boire ou manger un ingrédient bien spécial. Qui se trouvait apparemment que sur une ile au large de Falaise-Plongeante. Il me fallait y partir dès maintenant pour trouver une réponse a cette énigme qui me rongeait la tête.

Mais avant de partir il fallait du matériel, des hommes et des vivres. Après avoir envoyés divers garçons coursiers allaient me chercher se dont j’avais besoin, je me dirigeai vers la forteresse Impérial et demandait audience. Elle fut acceptée de suite, ce qui était plutôt rare quand l’on sait que il faut au moins deux décades avant d’espérer voir l’Empereur.

Après mainte formule de politesse et de texte totalement épuisant il me fit congédier dans ces appartements pour discuter loin des oreilles mal avisées.

« Mon seigneur, Grand Empereur, Maitre de cette Terre. J’ai des nouvelles sur la quête que vous m’avez demandé »

« Ah ! Bien apothicaire. Bien qu’elles sont elles ? »

« Empereur, il existe bien un moyen de devenir invisible aux yeux de chacun. Mais il me faudra quelques ingrédients qui se trouvent loin d’ici sur une ile oubliée de tous. Je voudrais monter une expédition pour me rendre là bas et trouver ces ingrédients. »

« C’est une tache bien noble, que de vouloir servir aussi bien que toi son Empereur. Va et voila je crois le but de ta convocation n’est-ce pas ? »

L’Empereur m’avait tendu une coquette bourse de pièces d’or nouvellement forgées.

« Oui, Merci. »

Je me retirai avec la sensation que les choses qui m’attendait se présentées était limpide comme l’eau claire.Le reste des préparatifs se firent dans l’excitation d’un début d’expédition et d’aventure à venir.J’avais recruté des gardes qui voulaient se joindre à moi pour allez explorer cette ile ainsi qu’un cartographe et deux charrettes pleine de vivres.

Nous avions fière allure sur nos montures rose bonbons.Ces fameux cochons dressés qu’Hearalgar paysan Haut-Chênois avait vendu à la Capitale. Nous passèrent la grande porte et nous partîmes en direction de la Passe. Un bateau nous attendait dans un petit port et c’est que nous nous rendîmes ensuite.
Cycleis avait béni ce jour car il faisait chaud et tout était beau, les fleurs, l’herbe. Tout rien ne pouvait entacher notre moral nous nous dirigions d’un pas jovial et plein d’entrain vers notre transport maritime.

C’était un beau bateau avec une coque fait d’un bois lustré qui provenait sans aucun doute des forets Haut-Chênoise, le pont était large pouvant accueillir dix hommes de front, c’était sans aucun doute l’un des plus beaux bateaux qui voguer contre vent et marée en ce moment. A notre arrivé, le bateau fut applaudit a coup de sifflet et de chansons. Tout allait pour le mieux.
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Dernière édition: 26 Fév 2013 20:16 par Soon.
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Une invitation vers l'enfer pour un monde meilleur 26 Fév 2013 20:12 #11315

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La traversée se passait comme le début de l’expédition : sous le signe de la bonne humeur et de la tranquillité.

Rien n’avait pu retarder notre envie de découvrir cette ile. Malgré une petite tempête que nous avons essuyé bravement, il n’y avait aucun autre fait qui sortait de la normal. Et nous touchions au but. Le pont était calme, le bateau voguer paisiblement et les rayons de la bien aimée Cycleis me réchauffé le visage, j’étais heureux. Le bateau laissait une trainée d’écume blanche et je regardais avec amusement de petits poissons sauter au dessus de l’eau comme pour nous saluer. Un cri me fit sortir de ma transe.

« Capitaine ! Capitaine ! Terre en vue ! Terre en vue ! »

Le capitaine sorti de sa chambre, sorti sa longue vue et s’écria en rigolant :

« Tu as raison vigie, Nous sommes bien arrivés a l’ile que nous recherchions : l’ile de la pointe. »

A ces mots, le ciel s’obscurcir et tout devint noir comme nuit. Un épais brouillard se forma et nous nous pouvions plus voir à dix mètres. Tout le monde c’était retrouvé sur le pont et personne n’osa dire le moindre mot avant plusieurs minutes. Le capitaine rompit le silence d’une voix forte :

« Allez moussaillons ! Toutes voiles dehors accostons au plus vite sur cette ile et attendons que le brouillard se dissipe ! »

Mauvais choix. Cinq minutes plus tard non avons frappé une roche sous marine et nous prenions l’eau … Petit à petit le vent se levait et une pluie battante nous cinglai le visage. Le bateau s’échoua enfin contre le sable et sous un des ordres du capitaine de la garde que j’avais embauché. Tous les hommes se hâtèrent de sortir les charrettes de vivres, les cordes, les épées. Plusieurs gardes taillaient dans les planches de la coque du bateau. Tout le monde était paniqué et personnes ne savaient que faire.


D’un bruit sourd, comme attiré vers le fond le bateau reculait inexorablement vers le large emportant avec lui plusieurs matelots et le capitaine du navire regardait avec une certaine fierté les éléments se déchainaient contre son navire sans pour autant le faire plier. Mais la brèche ouverte dans la calle eu raison du beau navire qui se brisa en deux et sombra vers les ténèbres abyssaux.

Nous passâmes une nuit affreusement, battu par la pluie le sable était collant comme de la boue et il emplissait et collait à nos tenues de cuirs. Peux d’entre nous réussirent à s’endormit. Avant l’aube et a l’aide de torches nous avions établis un périmètre éclairé. Je commandais les opérations d’une voix basse mais autoritaire en espérant qu’elle ne défaille et laisse apparaitre ma peur. Bientôt nous entamâmes la construction d’une cabane et du rempart de fortune. Ne sachant pas les dangers qui occupaient cette ile, il valait mieux nous protéger que de périr contre un ennemi nocturne et opportuniste. La pile de planche commençait à s’épuiser de manière alarmante, assez pour que je me munisse d’une hache et ordonna à trois gardes de me suivre, l’un avec une hache les autres avec leurs épées.

La forêt était proche, mais plus j’avançais plus je sentais que je n’aurais jamais du me trouver ici. Tant bien que mal, je m’activais avec mes compagnons pour faire plier ces arbres, ils étaient larges et deux de ces troncs feraient de nombreuses planches solides. J’arrivais enfin à bout de l’antique être vert et gris qui tomba dans un sombre bruit emportant avec lui beaucoup de branches de ses voisins.

« Voila qui est une bonne chose. Wain, Taîm apportaient cela au camp s’il vous plait et commençaient à le découper en planches, merci »

Ces deux soldats bien batis n’eurent pas grandes difficultés avec trainer le large tronc à l’aide de cordes attachées dans un sillon que je leur avais préparé. L’autre soldat avait lui aussi fini de couper son arbre, encore quelques coups de hache et l’arbre plierait.
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Une invitation vers l'enfer pour un monde meilleur 27 Fév 2013 09:46 #11320

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[La suite, la suite! :P
Non plus sérieusement, super RP!

(ce message s'auto-détruira lorsque Soon l'aura vu et qu'un admin pourra passer par là..)]
Parler sans penser, c'est tirer sans viser...
... Je ne vise jamais avant de tirer...

Sans victoire, pas de sacrifices...

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Une invitation vers l'enfer pour un monde meilleur 27 Fév 2013 21:47 #11335

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Deux heures après, les fondations de notre campement commençaient à sortir de terre. J’étais satisfait de l’emplacement choisi par mes compagnons, entre un petit monticule rocheux et à quelques pas de la mer, je ne pouvais espérer mieux.

Tandis que je collais le tronc à la palissade de bois, un vieux soldat vins me faire le compte rendu de ce qui avait était fait pendant mon absence. C’était un homme âgé qui portait fièrement le poids des années, une barbe grisonnante lui donnait une certaine aura de sagesse et apparemment, il était écouté des autres soldats. Il avait les yeux marron foncés et les cheveux noirs luisants détrempés par la pluie. C’était un homme de confiance avec un franc parlé et un air amical. Je pouvais compter sur lui.


A l’intérieur du camp, de nombreux soldats travaillaient pour combler les trous entre les planches de bois à l’aide de paille et de terre humide. Le camp pouvait faire tenir vingt hommes de front et dix jusqu'à la porte d’entrée. Celle-ci donnait sur la mer et donnerait du fil à retordre à tous ennemis voulant y rentrer. Le camp était divisé en trois parties : à gauche de la porte contre la paroi rocheuse se tenait un abri avec un toit de planches et l’intérieur était caché par un tissu autrefois blanc. Cet abri servait de dortoir à cinq hommes.

A quelques pas de là un même abri un peu plus grand servait à entreposer la nourriture, l’eau, les armes et les armures. Ce taudis comparait à l’autre était fait uniquement de bois et avait une porte de fortune pour éviter a toute bête opportuniste de venir ronger notre nourriture et pisser sur les armes des soldats. Au fond collée contre la paroi et à la palissade se tenait le dernier abri. Fait des mêmes matériaux que le premier il avait plus d’allure et, il devrait abriter pour notre séjour sur cette ile, quinze hommes.

Le camp était ordonné et propre. La peur commençait à se dissiper ainsi que l’incertitude. Cycleis était déjà haute dans le ciel nocturne et je me décidais sans grande conviction à aller me coucher. Je ne croyais pas m’endormir mais la fatigue eu raison de ma conviction et bientôt je me suis endormi entre mes compagnons d’infortunes.
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Une invitation vers l'enfer pour un monde meilleur 27 Fév 2013 21:55 #11336

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Une nouvelle journée s’annonçait sous les rayons bienfaisants de Cycleis, je me levai tout en entamant une prière pour moi et mes compagnons envers Cycleis. La pluie avait cessée. Je montais sur le chemin de ronde en construction pour voir les environs. La forêt n’avait plus l’air aussi terrifiante que sous la pluie et dans l’obscurité dû aux nuages noirs.

On avait apparemment organisé un tour de ronde car en montant j’avais croisé un garde me souhaitant bonne nuit avec un air fatigué. J’organisais un conseil avec les hommes pour écouter leurs questions et inquiétudes. Tous s’assirent en tailleurs face à moi les un après les autres attendant que je prenne la parole.

J’étais terrorisé par cette vingtaine de gaillards, sales et excités. Repoussant ma peur et priant pour qu’un miracle ce produise pour améliorer mon élocution.

« Bonjour… Vous.. Vous le savez sans doutes aussi bien que moi nous nous sommes échoués ici hier en pleine journée alors qu’il faisait nuit noire. Nous avons perdu notre capitaine du bateau ainsi que le capitaine de la garde que vous connaissiez sans doutes tous ici. »

A ces mots, plusieurs têtes se baissèrent et quelques larmes coulèrent sur des visages.

« Il n’est sans doute pas besoin de vous dire que nous sommes bloqués ici. Néanmoins, Néanmoins ! Tout n’est pas perdu. Nous avons des vivres de l’eau potable en quantité suffisante pour tenir au moins une vingtaine de jours. »

Une voix me coupa la parole :

« Et après ? Nous mourrons de faim c’est ça ? »

« Non, ne vous inquiétez pour les vivres pour l’instant. Et puis nous sommes sur ile, pas un désert, il doit avoir des cochons sauvages dans les environs ainsi que des fruits. La nourriture et le dernier de nos soucis pour l’instant. Je suis l’organisateur de cette expédition, qui à mal tourné c’est pour quoi je prends les devants pour vous demandez d’élire certains rôles qui sont essentiels dans un camp. Tel qu’un capitaine de la garde, un cuisinier et un tour de garde équitable pour tous. Mais ma première question sera si vous voulez toujours me garder à la tête de l’expédition où si vous voulez élire quelqu’un d’autre ? »

Personne ne leva la main je repris donc :

« Bien de ce cas et dans l’avis de mes compagnons ici présent. Je me nomme a nouveau dirigeant de ce camp et de l’expédition sur cette ile. Bien, ensuite, il y a-t-il des volontaires pour devenir chef de la garde, je le considérais comme mon bras droit et il dirigera ce camp avec moi. Alors qui ? »

Comme avant personne ne se manifesta, mais une rumeur parcourut l’assemblée et bientôt des regards se tournèrent vers un homme au premier rang. Celui-ci paraissait songeur et en proie a un dilemme.

« Croesan ! Fait le toi ! Tu es sage et tu as réussi à organiser le début du camp »

« Tait toi Narran ! Tu ne sais pas ce que tu dis. » Reprit l’intéressé

Plusieurs hommes parlèrent et crièrent pour se faire entendre des autres, comme des enfants qui sont trois pour un bonbon et qu’il essaye de justifier de leur mieux pour avoir la sucrerie. Un bruit sourd les fit turent. Je reposai le marteau avec lequel j’avais frappé sur une tige de métal gris clair.

« Bien ! Bien ! Du calme ! Merci ! Croesan c’est ça ? »

L’intéressé hocha la tête.

« Bien, apparemment nous nous sommes déjà parlé hier et c’est grâce à toi que ce camp est debout et
je t’en remercie grandement. Tes compagnons ont l’air du même avis que moi. Veux-tu devenir Capitaine de la garde et mon bras droit ? »

« Messire, cela serait trop pour mes maigres capacités. »

« Pas de Messire, entre nous s’il te plait, Soon c’est bien mieux. Tu as l’air de te tromper sur tes capacités justement es-tu sur de ton choix ? »

« Mess, Soon la dernière compagnie de soldat que j’ai dirigé, ils sont tous morts ! Je les ai envoyés à la mort ! Aucuns n’ai revenu ! »

« Cela ne peux pas être ta faute, foutu Amranéens… Je te promet que ça n’arrivera plus et puis tu ne sera pas tout seul je serai aussi présent nous ne prendrons pas de mauvaises désistions qui causerai la mort inutile de soldats. »

« … Et bien si tu acceptes de me prendre à tes cotés je me ferais une joie de maintenir l’ordre et la discipline dans ce camp. »

« Bien tu seras alors Capitaine de la Garde ! Bravo »

Des acclamations fusèrent et un garde pris la parole :

« Il faudrait un nom à ce camp »

Sa question était d’une simplicité pour l’événement, dans une célébration officiel ce genre de questions méritées le fouet. Des sourires s’étirèrent sur plusieurs visages et tout le monde aurait éclatés de rire si je n’étais pas intervenu pour sauver la maladresse du jeune homme :

« C’est vrai tu as raison ! Des propositions ? »

« L’échoué»

« Le survivant »

« Le vo.. »

Un énorme éternuement couvrit le reste de la phrase de l’inconnu mais voila ce que je compris :

« Le vo’an »

Tout le monde éclata de rire même le garde à la cause de ce débouchement nasal.

« Et bien j’aime la proposition avec l’éternuement, Le vo’an est-ce que cela vous va ? »

« Oui ! » répondirent en cœur vingt voix.
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