SoonSoox, Apothicaire Impérial dernier apprenti du tristement disparu Chad. Celui-ci s’assis, pris une plume à écrire, l’enduit d’encre noir légèrement bleuté et commença à écrire le récit des malheureux événements qui c’étaient produit il y a quelques décades :
Tout commença alors que rompu par une journée de recherches harassantes et d’expériences ratées. Assis dans mon fauteuil qui avait vu trop d’étés et qui était ouverts à de nombreux endroits. Mes yeux commençaient à se fermés sous une fatigue de plomb.
La rue était déserte et aucuns bruits ne trahissaient le silence qui s’était installé et qui avait pris ses quartiers; il était tard. Cycleis s’élevait sous sa forme nocturne et, offrait une lumière argentée au rue Mont-Brumoise.
J’étais toujours dans mes pensées et je n’allais pas tarder à sombrer dans mes songes imbibés de brume. J’y serais plongé volontiers si une ombre n’avait filtré en dessous de ma porte, d’un bon je me levai sans bruit et je me dirigeai vers la porte. Je l’ouvris d’un trait et regarda amusé l’homme qui d’un sursaut avait sauté de deux bon mètres en arrière. L’un des meilleurs espions de l’empire c’était fait avoir par un simple apothicaire. Tout penaud il accepta mon invitation à entrée et à prendre une tasse de tisane.
« Vous savez, c’est toujours le même problème, on a beau être silencieux comme la nuit on reste toujours visibles. »
« Il faut bien que le jeu en valle la chandelle et puis il aurait un peu trop de facilité non ? »
« Je préfère la facilité que voir mes éclaireurs morts, apothicaire »
« Bien sur mais Cycleis ne nous à pas donné le don d’êtres invisibles »
« Et… et bien c’est de ce sujet que je suis venu, enfin que l’empereur ma confié la mission de t’apporter cette lettre »
L’espion me la tendit je l’ouvris.
Cher apothicaire,
Comme vous le savez surement après la victoire Impérial pour la destruction de la ville d’Eau-Changeante. Les Amranéens , se sont regroupés et préparent un mauvais coup… C’est pour que cela que moi, Empereur, je vous demande d’expérimenté et de créer un breuvage, qui ferai de nous des êtres translucides comme l’air.
Nous devons protéger nos frontières ainsi que nos citoyens et la prévention ainsi que l’anticipation sont les meilleures armes face aux plus rusés des adversaires. Vous savez surement que je ne ferai pas appel à vous si cette quête n’était pas importante pour le royaume.
Je compte sur votre discrétion et sur vos compétences pour mener à bien cette requête de la plus haute importance.
Mamorukun, Empereur Impérial.
Je me souviens de la tension qui m’avait saisi quand j’avais une nouvelle fois relu la lettre, des êtres translucides ! Impossible, mais je ne pouvais refuser une requête venu de l’Empereur. Il me fallait essayer et trouver une début de réponse. Je ne savais jusqu’ou cette entreprise allait me mener.
Le lendemain, après mettre couché bien tard et mettre levé bien tôt, alors que je n’avais pas mangé mon bol de gruau, je me dirigeai vers la bibliothèque Impériale. Si un quel quonque parchemin avait des informations ils devaient se trouver écrit dans l’un de ces livres. Après avoir choisi une belle pile d’ouvrages et de parchemins en tout genre, je me mis en quête de paragraphe parlant de la possibilité qu’un corps vivant puisse disparaitre.
Rien, Rien, Rien, Toujours rien. Je cru a cette instant qu’après plus de la moitié des ouvrages parlant de l’invisibilité que je ne trouverais jamais un début de réponse, c’était faux. Dans un vieux parchemin, rongé par les années et la poussière, je trouvai ce que je cherchais. Dans ce parchemin était indiqué que grâce une réfraction totale de la lumière bénite de Cycleis on pouvait passer invisible. Mais pour cela il fallait boire ou manger un ingrédient bien spécial. Qui se trouvait apparemment que sur une ile au large de Falaise-Plongeante. Il me fallait y partir dès maintenant pour trouver une réponse a cette énigme qui me rongeait la tête.
Mais avant de partir il fallait du matériel, des hommes et des vivres. Après avoir envoyés divers garçons coursiers allaient me chercher se dont j’avais besoin, je me dirigeai vers la forteresse Impérial et demandait audience. Elle fut acceptée de suite, ce qui était plutôt rare quand l’on sait que il faut au moins deux décades avant d’espérer voir l’Empereur.
Après mainte formule de politesse et de texte totalement épuisant il me fit congédier dans ces appartements pour discuter loin des oreilles mal avisées.
« Mon seigneur, Grand Empereur, Maitre de cette Terre. J’ai des nouvelles sur la quête que vous m’avez demandé »
« Ah ! Bien apothicaire. Bien qu’elles sont elles ? »
« Empereur, il existe bien un moyen de devenir invisible aux yeux de chacun. Mais il me faudra quelques ingrédients qui se trouvent loin d’ici sur une ile oubliée de tous. Je voudrais monter une expédition pour me rendre là bas et trouver ces ingrédients. »
« C’est une tache bien noble, que de vouloir servir aussi bien que toi son Empereur. Va et voila je crois le but de ta convocation n’est-ce pas ? »
L’Empereur m’avait tendu une coquette bourse de pièces d’or nouvellement forgées.
« Oui, Merci. »
Je me retirai avec la sensation que les choses qui m’attendait se présentées était limpide comme l’eau claire.Le reste des préparatifs se firent dans l’excitation d’un début d’expédition et d’aventure à venir.J’avais recruté des gardes qui voulaient se joindre à moi pour allez explorer cette ile ainsi qu’un cartographe et deux charrettes pleine de vivres.
Nous avions fière allure sur nos montures rose bonbons.Ces fameux cochons dressés qu’Hearalgar paysan Haut-Chênois avait vendu à la Capitale. Nous passèrent la grande porte et nous partîmes en direction de la Passe. Un bateau nous attendait dans un petit port et c’est que nous nous rendîmes ensuite.
Cycleis avait béni ce jour car il faisait chaud et tout était beau, les fleurs, l’herbe. Tout rien ne pouvait entacher notre moral nous nous dirigions d’un pas jovial et plein d’entrain vers notre transport maritime.
C’était un beau bateau avec une coque fait d’un bois lustré qui provenait sans aucun doute des forets Haut-Chênoise, le pont était large pouvant accueillir dix hommes de front, c’était sans aucun doute l’un des plus beaux bateaux qui voguer contre vent et marée en ce moment. A notre arrivé, le bateau fut applaudit a coup de sifflet et de chansons. Tout allait pour le mieux.