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SUJET : [Biographie] AlcoolGeek maitre mineur
[Biographie] AlcoolGeek maitre mineur 26 Nov 2011 11:16 #2496
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Sommaire:
Chapitre I : Un nouveau départ Chapitre II : Un moulin pour Mont Brumeux Chapitre III : Une bien belle bataille mais a quel prix.... Chapitre IV : Une vocation naissante pour la construction Chapitre V: Dame Preambule je vous aime!
Chapitre I : Un nouveau départ
Il se leva enfin, après plusieurs heures passées à méditer. Ce monde n’étais pas fait pour lui il se devais de partir. La faim et le manque d'eau se fit sentir ainsi que la fatigue. Mais il devait continuer a marcher, et trouver la liberté qu'il cherche depuis si longtemps. Après de nombreux jours de marche dans le froid de la tundra, la chaleur insoutenable du désert, la faim mais surtout la fatigue il tomba nez à nez avec une énorme souche. Sont père lui avais souvent parlé de cette arbre crée par les dieux et qui avait été détruit par Brutus ce qui avait mis les Dieux en colère. son père simple de pensées avait suivis ses propres parents dans l'idée que ni les impérialistes ni les amranéens n'avaient su prendre le bon chemin,de ce fait ils étaient restés caché dans un village abandonné qu'ils avaient aménagé avant les bannis, ce qui leurs donnait un confort précaire mais certain. Après la mort de son père, AlcoolGeek avait décidé qu'il était temps de se considérer akatéen une fois pour toute et de retourner à une vie plus terre à terre. Il y a plus de doute possible, il n'était pas dans la bonne direction son père lui avait expliqué mainte fois qu'un village nommé Mont Brumeux était proche du leur, Amranaée étant dans la direction opposée. Il devait faire demi tour, affronter de nouveau des bannis et trouver cette ville. Il ne pouvais pas trouver mieux comme endroit, et se devais d'aller se présenter à l'Empereur lui demander asile, et la possibilité de se restaurer dans une auberge...
Chapitre II : Un moulin pour Mont Brumeux
Après de nombreux jours enterré dans ma mine, l'appelle du repas se fît sentir. je me mis donc a la recherche de Dame Preambule. - Entrez donc ! que puis-je pour vous mon bon ami? me dit-elle de sa voix douce et enjouée. - Je voudrais...hum.... il me faudrait du pain, cela fait quelques jours que je n'ai pas mangé. répondit-je timidement les yeux baissés. Dame preambule posa sa main douce sur mon dos. - comment un homme de votre carrure peut-il être autant impressionné? je ne suis qu'une paysanne voyons. Une fois mes miches (de pains) sous le bras, je me hâta dans mon humble demeure me restaurer. Mais la vision de dame Preambule me trottait dans la tête. Comment une femme qui dans sa jeunesse, était si belle, pouvais être maintenant, aussi sale, couverte de plaies et fatiguée en si peu de temps? La nuit fût longue. mes pensées était uniquement tourné vers un moyen de rendre la vie de Mont Brumeux plus simple ... non! je voulais rendre la vie de dame Preambule plus simple... La journée suivante, je décidait de ne pas aller travailler, et observer dame Preambule dans sa façons de travailler. Et là, je fût horrifier de ses taches quotidienne! toute la matinée elle récoltait a la main le blé. puis portant sur son dos les sacs elle se rendais chez elle dans sa cave pour moudre avec une grosse pierre le blé pour ensuite mettre la farine dans des petites poches de tissus. - Comment peut-elle subvenir aux besoins des habitants avec des moyens pareil?!?pensais-je Soudain une idée me vains en tête. - finalement il faut juste trouver un moyen de moudre une plus grosse quantités de blé sans pour autant la fatigué plus il lui faut... je n’eus pas besoin de finir ma phrase. je me rendis chez moi en courant, je pris une grande feuille de papier et et me mis au travail. - solide, moudre, énergie, facile d'usage, proximité Ces mots tournaient en boucle dans ma tête. Au petit matin, plans sous le bras, je me rendit chez dame Preambule lui proposer le bâtiment qui allait changer sa vie - Dame Preambule ! dame Preambule! j'ai ici avec moi le moyen de vous faciliter vos tâches! ouvrez moi! hurlais-je tambourinant a la porte. Elle m'ouvra enfin, et je me mis a lui expliquer mon projet. - j'aurais passé la nuit a chercher un moyen de rendre votre travail moins pénible, et je pense que j'ai la solution! voyez vous même - un .... "muline"? - Non !! il s'agit d'un moulin M-O-U-L-I-N. Grâce a lui vous allez pouvoir moudre votre blé a une vitesse folle! il n'utilise que le vent pour fonctionner vous voyez? vous mettez votre blé ici, vous baissez ce levier et hop, avec le vent cette poutre en bois va tourner et écraser votre blé tout seul!! Je senti dans sa façon de me regarder une certaine interrogation mais paradoxalement de la joie et du soulagement. - c'est magnifique. me dit-elle d'une voix douce. Mais construire une telle machine va coûter énormément de ressources, il va vous falloir de la main d’œuvre et surtout l'accord de l'empereur! comment allez vous faire cela, et combien de temps vont durer les travaux? - ne vous inquiétez pas pour les ressources étant mineur, je peut aisément fournir toute la pierre. Quand au bois je connais un bûcheron qui me doit encore une faveur.les travaux dureront 3 ou 4 jours pas plus. Je lui présenta la seconde feuille, avec la liste des ressources nécessaire. Cobblestone: ~3936 unités Stonebrick: ~936 unités Planche de bois: ~300 unités Bois Brut: ~350 unités Glowstone: ~23 unités Escalier en bois: ~58 unités Barriere: ~230 unités Laine Blanche: ~550 unités Lapis Lazuli: ~130 unités - Et pour l'emplacement, qui de mieux que la petite colline qui surplombe votre champs? - Je ne connais pas meilleur endroit pour le construire! le vent et presque tout le temps parmi nous, il serait fonctionnelle même de nuit! imaginez un instant pouvoir mettre le blé a moudre le soir et retrouver au petit matin votre farine prête a l'emploi. Dame Preambule esquissa tant bien que mal un petit sourire. - Merci mille fois Sir AlcoolGeek. Merci d'avoir tant réfléchie a cela pour ... pour moi. je vais jouer de mes relations pour vous avoir un entretien auprès de l'empereur le plus rapidement possible et ainsi construire votre folle machine.
Chapitre III : Une bien belle bataille mais a quel prix....
J'étouffais. Je ne savais plus depuis combien de temps je minais. Peut être 1 semaine, ou plus, je n'avais plus la notion du temps. J'avais complètement oublié ma vie a Mont Brumeux, oublié mes obligations a soutenir la guerre contre ses chiens amranéens avec mes compagnons. Depuis tout ce temps j'étais resté a miner la pierre a la recherche de ce minerais tant convoité qu'était le Lapis Lazuli pour finir le moulin pour Dame Preambule. Des jours a miner, sans rien trouver …. De la roche... toujours de la roche. Je n'ai pas trouvé le moindre minerais depuis des jours.... Soudain ma pioche resta coincé sur une pierre plus dur que les autre. Mais cette pierre je la connaissais très bien. une pierre de cette qualité, pleine de mousse. Cela ne pouvais qu’être ce que les gardes de Mont Brumeux appelé des donjon de bannis. Mais ceux là étaient différent. Il n'avaient rien de semblable aux bannis que nous connaissions si bien. C'était des squelettes au yeux rouges avide de souffrance et de vengeance. Plus rapide, plus précis, et armé d'un arc et d'une resserve illimités de flèche, ces monstres n'auront aucune pitié pour moi. Je décidais tant bien que mal de mener a bien cette bataille. Je n'avais aucune chance. Je n'étais qu'un simple mineur. Jamais je n'avais suivis la moindre formation aux armes. Cependant par orgueil je me devais de combattre comme un homme. Les flèches pleuvait sur moi, je tentais d'esquiver la plupart de celle ci tout en donnant des coups d'épées. Mais celle ci n'était pas faites pour ce genre de combat. Ce n'était que deux simple morceaux de bois que j'avais ficelé ensemble pour éloigner les bannis vert que les gens appelé des creepers. Cette bataille n'était que folie. Je me devais de me replier. Je commença alors a rebrousser chemin. Je courrait. Mes poumons me brûlaient, je ne pouvais plus respirer, mais il fallait que je continu a courir. Soudain, dans ma fuite je n’eus pas le temps de voir le creeper qui s'était blotti dans l'ombre. Je n'eus que le temps d'entendre un grosse détonation semblable a la TNT des amranéens quand de douleur je perdi connaissance. - Que Cycleis soit loué il reprend connaissance. Maitre mineur Al vous ne devais pas bouger. Vous avez était grièvement blessé et ... - Des bannis il y'en avais partout !! Une détonation !! Mes bras, j'ai mal aux bras que m’ait t-il …. Je n'avais plus de force. Je perdis connaissance mettant un terme aux mille questions que j'avais en tête. Quand je repris mes esprit, la nuit était tombé. Je reconnu immédiatement le garde Sonno ainsi que ma maison. Je n'aimais pas qu'il surveille de si pres ma demeure, mais sur le moment j'était presque rassuré qu'il m’ait trouvé. - Maitre Al. Vous devez me calmer. Vous avez été blessé dans votre mine. J'ai entendu la détonation de ce monstre et je vous ai ramené chez vous. Malheureusement le médecin du village étant absent pour encore quelques semaines et malgré les maigres compétence en médecine indispensable a tout guerrier je n'ai pas pu sauver vos jambes. Vous ne serez plus apte a être mineur ….. je suis vraiment désolé. Je n'en croyais pas mes oreilles. J’étais venu a Mont Brumeux pour prouver aux villageois mais surtout a l'empereur que je pouvais être indispensable, j'avais construit un moulin a Dame Preambule, je n'avais même pas eu le temps de le finir.... La colère s'empara de moi. Me levant d'un trait je jeta tout ce que j'avais a porté de bras contre les murs. - Que va être ma vie maintenant Sir Sonno ! Répondez moi je vous en conjure ! - Malheureusement avec vos jambes dans cette état, l'empereur refusera de vous laisser continuer a travailler dans les mines. Mais je suis certain qu'il prendra vos bon et loyaux services et vous transférera sur un poste tout aussi important, mais moins difficile par rapport a votre handicape. Un autre métier. Je ne pouvais pas changer. Dans ma famille nous sommes mineur depuis des générations. Ne plus être mineur était pour moi une honte je me devais de trouver une solution. Une solution qui me permettrait de non seulement rester a Mont Brumeux mais aussi de vivre de ma passion pour les roches. Suivant maître Sonno ramasser tant bien que mal les affaires brisés au sol, une idée me vint. J'ai réussi a construire un moulin pour Dame Preambule, je doit bien pouvoir faire quelque chose pour mes jambes. - Maitre Sonno apportez moi mes feuilles et cette plume. Hurlais-je. Allez me quérir le forgeron immédiatement. Heu … Mais... C'est à dire que …. balbutiât-il - Je n'ai pas le temps de discuter faites ce que je vous dit ou je vous plante mon reste de jambe dans un orifice pas prévu a cet effet !! Maitre Sonno tourna les talons. - Orifice pas prévu ….. quoi il parle.... Marmonna Sonno en ouvrant la porte. J'attendis qu'il ferme la porte et qu'il se dirige vers la forge, pour commencer a dessiner ce qui allait être mes nouvelles jambes. Mon dessin terminé, j'entendis Maitre Sonno discuter sur le pas de ma porte avec le forgerons de mon état de santé. - Maître Sonno allez vous, vous décider a rentrer ? Je n'ai pas le temps. RAMMENEZ VOS FESSES DE POLTRONS ICI !! hurlais-je de mon lit. Le garde pourtant très bavard d'habitude, ouvra timidement la porte accompagné du forgeron. - Maitre forgeron, merci à vous d'être venu et excusez moi de ne pas être présentable. J'aimerais que vous preniez ces plans et que vous me fassiez de fausses jambe beaucoup plus solide, pour remplacer celle que j'ai perdu malgré moi. Vous sentez vous capable de faire cela avant le levé du jour ? Le forgerons ne se laissa pas distraire. Il pris mes plans, me regarda interrogatif et tout en se grattant le bas du dos commença. - Avec un délais aussi court je ne suis pas certain de pouvoir vous faire cela, il me faudrait au moins 3 jours rien que pour l'achat du fer et encore une matinée pour monter les pièces. Si je peut me permettre, si vous aviez choisis du bois comme matériaux principal vous l'auriez dans l'heure et le prix serais beaucoup plus abordable. Dit il sans me quitter des yeux. Je n'avais effectivement pas les moyens de me payer des jambes en fer. Je ne vivais que dans une petite maison, et mon manque d'efficacité dans les mines ne me permettrai pas une telle folie. Je devais me soustraire a écouter les conseils du forgerons et accepter des jambes de bois. - C'est d'accord. Dis-je avec résignation. Ramenez ces plans au bûcherons et dites lui de me ramener le résultat le plus rapidement possible. Maître Sonno, maître forgeron merci à vous. Laissez moi seul je suis fatigué je doit me reposer... Je ne laissa pas le temps a mes invité de partir que je me tournais déjà pour m'endormir. Ce fût une mains forte et rugueuse qui me réveilla au petit matin. C'était le bûcheron un paquet sous le bras. - Maitre Al. J'ai fait aussi vite que possible pour vous construire vos jambes. Commença t-il. J'ai cependant porté quelques modification a vos plans de base pour que vous puissiez marcher plus facilement. L'idée était particulièrement bonne mais avec cette version vous aurez moins de mal prendre l'habitude. Laissez moi vous les installer, cela ne devrait pas être long. Le bûcherons ne me laissa pas répondre et commença a retirer ma couverture en plume d'oie d'une main, déballant sont paquet de l'autre, sans même me laisser retrouver mes esprits. Quinze minutes plus tard mes nouvelles jambes étaient installés. - Je vais vous aider a vous lever. Vous voyez, de chaque coté j'ai mis de petite tiges de vois pour vous permettre de ne pas perdre l'équilibre. Elle sont presque aussi fonctionnels que vos jambe d'origine. - Merci maître bûcherons. Je savais que je pouvais compter sur vous. Prenez l'argent qui est sur la table. Gardez tout vous le méritez bien. Le bûcherons esquissa un petit sourire et me dit d'une voix mi moqueuse mi fière. - Payez moi vous même. Vous pouvez le faire allez y ! Je mis une jambe devant l'autre doucement me tenant a tout ce que je pouvais trouver me dirigeant vers la table, et fut cependant surpris de voir a quel point mes jambes fonctionnais. C'est comme si je n'avais jamais eu d'accident, comme si mes jambes étaient toujours là. J’étais fière de moi. Avec ces jambes je pouvais perpétuer les traditions de ma famille et rester mineur...
Chapitre IV : Une vocation naissante pour la construction
Cela faisait longtemps que maître Al n'avais pas mis les pieds dans sa mine. Après sont accident avec une horde de bannis, il ne s'était pas remis aussi bien qu'il ne l'aurais pensé. Ses jambes de bois commençais doucement a s’abîmer, ses mains tremblais rien qu'a l'idée de tenir une pioche et de s'enfoncer dans les profondeurs sans fin de sa mine. Il passais ses journée assis devant la fenêtre de sa demeure ou couché dans sont lit a se morfondre. Ses sentiments grandissant pour dame Preambule, qui malheureusement était partie dans une autre ville ou l'arrivée de plusieurs nouveaux villageois dans Mont Brumeux, Al ne savais plus quoi faire. Il avait maintenant peur de miner, ne pouvais pas combattre dans cette guerre sans fin contre les amranéens et encore moins nourrir les habitants avec l'agriculture ou la chasse. Il ne pouvais plus rien faire et le sentiment d'être inutile pour l'empereur grandissais chaque jour de plus en plus. Un soir, alors qu'il mangeais le dernier bol de soupe que l'apprenti Kiwi lui avait livré de la part de dame Preambule, Al eu une idée. Le moulin qu'il avait construit pour la ville avait était apprécié de tous et beaucoup pensais qu'il était fait pour la construction ou tout du moins pour ses plans qui mélangeait génie et classe. Mais il ne voulais plus construire pour dame Preambule, ce qu'il voulais a présent c'était construire quelque chose pour son ami maître Soon le seul, mais meilleur forgeron de tout Akatea. Sont magasin était ouvert depuis peu, mais par manque de moyen sa forge était trop petite par rapport aux besoin de l'empire. Maitre Al, décidé a faire ses preuves autrement qu'avec les ressources rare qu'il trouvais, pris sont crayon et une grande feuille de papier, et se mis a dessiner les plans de ce qui allais être la plus belle forge de Mont Brumeux. Il passa toute une semaine a gribouiller des plans tous plus beau les uns que les autres se nourrissant de soupe, buvant la bière infecte que l'empereur lui avait fait parvenir par l'un de ses sujets, jusqu’à ce jour, ce fameux jour, le 2 jours de la 3ème décade de la nuit débordante ou enfin, les plans de la forge était prêt à être présenté non seulement au maître forgeron Soon, mais également a l'empereur pour l'autorisation de lancer le chantier le plus rapidement possible. Le lendemain plans sous le bras il se présenta au maître Soon sont projet. Il raconta également au forgeron qu'il allait lui falloir un grand nombre de ressources comme:
Chapitre V : Dame Preambule je vous aime
Pour la première fois depuis des mois, sir Al arrivais enfin a dormir. Il venais tout juste de quitter dame Preambule avec qui il avais passé la soirée entiere sur la place Theobip assis sur un banc a discuter. Elle lui raconta ses aventures dans Rive Feuille, et lui ses journées depuis sont terrible accident avec les bannis. En fin de soirée ils étaient tous les 2 assis cote a cote a regarder le ciel sans dire un mot, quand soudain il senti la main de dame Preambule frôler la sienne. Depuis sont arrivé a Mont Brumeux sir Al avais eu le coup de foudre pour elle. Sa chevelure d'or sur ces frêles épaules, sont sourire qui s’affichait constamment sur sont visage même lorsque la situation était difficile sa bonne humeur, tout lui plaisait chez elle. Plusieurs fois il a voulu avouer ses sentiments pour elle, mais a chaque fois les événements le contraint a renoncer. L'attaque des amranéens, sont accident dans sa mine, sa cheminée qui avais mis le feu a sa maison. Mais ce soir il était paisible et dormais avec un sourire aux lèvres impossible a cacher. Le lendemain matin la soirée de la veille trônais encore dans sont esprit. « - Aujourd'hui c'est le grand jour » se répétait il tout en se préparant. Il sortit de chez lui et pris la route de Rive Feuille pour lui avouer ses sentiments. Tout a coup il s’arrêta. « - Une femme comme elle mérite ce qu'il y a de mieux pour une déclaration. Je ne peux pas me présenter a elle les mains vide pour lui dire que je l'aime. Je doit absolument mettre mes talents a profit pour faire une déclaration dans les règles de l'art. Non loin de la route, il trouva un terrain qui avais fait l'objet de la guerre quelques années plus tôt et il décida de mettre ses talents de constructeur en marche. Sont idée était fixé tout ce qu'il devais faire était de construire seul ce qui devais être le plus beau jour de sa vie. 3 jours plus tard, sans dormir ni manger sont projet était enfin terminé. Il décida immédiatement de se rendre chez dame Preambule pour l'inviter a faire un pique nique de rêve. Il frappa a sa porte et découvrit dame Preambule dans sa magnifique robe rouge qu'il aimais tant et l'invita a le suivre. « - j'ai pris la liberté de vous préparer un repas. Mais vous me connaissez bien maintenant et vous vous doutez que j'ai perdu le panier en chemin » dit-il. Dame Preambule le suivi toute souriante. En chemin ils discutèrent des événements récent a Mont Brumeux et la découverte d'une tombe mystérieuse. Sir Al s’arrêta et se tourna vers dame Preambule. « -Fermez les yeux, et donnez moi la main miss, j'ai quelque chose a vous montrer. » Dame Preambule, réticente, fini par fermer les yeux et se laissa guider par sir Al. Elle marchais avec hésitation sur les routes de la campagne. « Vous pouvez les ouvrir maintenant dame Preambule. Nous sommes arrivé » dit-il d'une voix timide. Dame Preambule ouvrit les yeux et ne pu s’empêcher de rester bouche grande ouverte devant la surprise de sir Al. Elle n'avais jamais vue une tel chose. Elle semblait en admiration devant ces statuts. Puis enfin, les larmes aux yeux, elle se tourna vers sir Al qui l'a pris par la main. "- Dame Preambule. Je ne suis qu'un simple mineur dans un monde plein de guerre et de bannis qui nous empêche de sortir librement, mais voilà, vous devez savoir que depuis le premier jour je vous aime. Depuis le premier jour mes pensés ne sont que pour vous.Votre sourire ensoleille mes jours chaque fois que je vous croise dans les rues,nos repas en tête a tête, nos longue discutions sur la place Theobip jusqu’au levé du soleil, j'aimerais avoir le droit a tout ça toute ma vie. Je ne suis qu'un mineur avec des jambes de bois qui a perdu l'envie de miner sans doute pour toujours, je ne suis pas bien riche, mais si vous acceptez de rester a mes cotés je vous promet de vous chérir jours et nuits jusqu’à ce que je ne puisse plus respirer. Je vous aime Dame Preambule. Tout ça c'est pour vous et j'accepterais que vous, vous ne m'aimiez pas comme moi je vous aime." Dame Preambule fixa sir Al sans un mot. Al ne savais plus quoi penser. Allait elle se moquer de lui, accepter sa déclaration et lui avouer a son tour ses sentiments? il ne savais pas. il ne savais rien. Tout ce qu'il voulais était de détecter le moindre signe que dame Preambule pourrais lui faire. Un signe capable de lui montrer ce que elle, elle ressentais pour lui .... |
Dernière édition: 11 Déc 2011 08:46 par AlcoolGeek.
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