Serveur Full-RP Francophone

HRP : Je poste enfin un truc que j'ai commencé il y a longtemps

Fiche d'identité

- Nom : Blanc-Regard

- Prénom : Torchou

- Âge : Personne ne le sait vraiment, il ne le divulgue à personne. Ni vieux ni jeune, quoique la vie ai déposé quelques marques sur son visage...

- Faction : Empire

- Fonction/Métier : Ancien bûcheron, Décisionnaire de l'Aménagement et Régent de Falaise-Plongeante

- Physique : Grand, un peu bedonnant sans être gros (la bière mont-brumoise), mais conserve une importante force physique.
Particulièrement attaché à sa barbe bien garnie sans être trop longue, elle lui donne un air un peu bourru.
Des yeux sombres, la plupart du temps inexpressifs, sauf quand il se met en colère.
Il porte ses cheveux assez courts pour ne pas qu'ils le dérangent dans ses mouvements.
Particulièrement endurant, il peut marcher des heures, mais pas trop vite...
Il peut effectuer un effort physique intense, mais sur une courte durée. A cause de son genou droit défectueux (aucune idée d'où ça peut provenir...), il boite s'il l'utilise trop, mais rien de méchant.

- Caractère : Jovial seulement avec ses amis, il préfère rester distant et froid avec les autres. Il ne voit pas l'intérêt de se faire des amis s'ils ne lui servent à rien!
Il déteste qu'on soit trop proche avec lui. Quand il le peut il fait fermer le clapet d'une jeune recrue de l'Armée Impériale, mais reste courtois avec ses supérieurs.
Ses plus grand plaisir : Partir dans la forêt avec son ami Haravie pour couper du bois et abuser de son autorité sur les gardes débutants en les envoyant faire des missions bidons simplement pour les mettre hors de sa vue.
Capable de sacrifier n'importe qui pour sauver sa propre vie ou ses précieuses ressources durement acquises, il n'hésitera pas à fuir les combats s'il voit que la bataille est perdue.

- Idéologie : Fondamentalement impérial, il se battra jusqu'au bout pour protéger son idéal. Même si aujourd'hui l'Empire ne représente pas tout à fait l'idéal, mais ce qui s'en rapproche le plus. Il pense en effet que l'Empire doit être plus dur, que le budget militaire doit être renforcé et la menace amranéene prise plus au sérieux (les récents évènements lui donnent raison).
Paradoxalement il est Akatéen avant tout. Et, si il y est contraint, reconnaît qu'une alliance permanente entre l'Empire et les adorateurs d'Amranaé est parfois nécessaire!

Chapitre 1 : Généralités

Avant l'année 1569

On ne sait pas exactement à quelle date est né Torchou. A vrai dire on ne peut pas vraiment déterminer son âge actuel.
Aujourd'hui décisionnaire de l'aménagement, architecte de renom et maintenant Régent de Falaise-Plongeante, proche des grands dirigeants de l'Empire. A l'époque, un simple bûcheron. C'est un homme respectable et respecté, loyal et fidèle.

Ce dont on est sûr, c'est qu'il est né à Haut-Chêne, y a grandit et s'y est endurcit. Amoureux des livres, il passait beaucoup de temps dans la vieille bibliothèque de la ville. C'est grâce à ses nombreuses lectures qu'il s'éduqua.
Bien lui en a prit. De simple bûcheron, il est devenu un personnage influent dans l'Empire.

C'est en proposant de nombreux plans de constructions qu'il se fit remarquer par le Grand Intendant. Inlassable constructeur, le Grand Intendant lui demandait toujours plus. Jusqu'au jour où il l'appela pour construire une nouvelle ville pour reloger les habitants de Rive-Feuille. Par le plus grand des hasards, la ville devait être construite sur le village d'origine de son père. Le village du clan des Blancs-Regards. Aujourd'hui devenu un hameau miteux dirigé par un chef dont les capacités intellectuelles ne dépassaient pas celles de l'amranéen moyen.
Une fois la ville terminée, il s'y installa.
C'est d'ailleurs à ce moment là qu'il fut nommé Décisionnaire de l'Aménagement. Il était très fière d'accéder à ce poste. Surtout qu'ayant le bras long il pouvait interférer dans de nombreuses affaires qui n'avaient rien à voir avec son travail.
C'est ainsi qu'il s'appliqua dans la vie politique de l'Empire. Il était, de part ses connaissances, au courant de tout ce qui s'y passait. Ou à peut prêt tout...

Malgré sa positon influente, il n'a jamais été très riche.
Sa seule vraie possession : un des deux Dragons Jumeaux de Jade.

Chapitre 2 : Les combats

Années 1569 - 1571

Un véritable sens de l'honneur l'a mené à combattre aux côtés des plus grands.

Il faisait partie de la troupe de soldats qui attaqua Eau-Changeante. Très bon archer, il accompagnait la troupe d'élite du Grand Intendant, mais dans la confusion du combat et très peu habitué aux mouvements rapides, une mauvaise chute lui brisa une cheville et il dû être rapatrié avec les blessés alors que le combats faisait rage. C'est donc de loin qu'il observa l'explosion accidentelle du village rebelle.


Quelques temps plus tard, encore aux côté du Grand Intendant, mais accompagné cette fois par des amranéens, il se rendait à la prison d'Alistair. Cette fois il avait demandé à rester avec les troupes de soutient, progressant plus lentement en arrière et assurant la retraite. Il y était beaucoup plus à l'aise, surtout qu'il pouvait manier son arc avec plus de facilité qu'au corps à corps. Il estimait donc qu'il était plus utile à cette place.

Au retour, pendant le siège de Mont-Brumeux, il n'eu pas le choix. La ville crachait des hordes de bannis par sa porte principale. Et à l'intérieur, on entendait des hurlements, des combats et des explosions.
Il fallait agir vite, mais sans précipitation ou la troupe ne pourrait jamais pénétrer dans la ville.
C'est donc avec un désespoir total qu'il vit le soldat Soon foncer dans la mêlée, seul face à une vague grouillante.
Le Grand Intendant était trop occupé à couvrir le flanc gauche. Et personne ne semblait donner d'ordre au groupe qui faisait face à la porte. A part Soon, un des soldats mont-brumois qu'il connaissait bien, qui avait brisé le rangs, tous les soldats attendaient, en formation serrée, que la nuée de bannis se fracasse sur la première ligne.
Dans un éclair de lucidité et rassemblant tout son courage, il se mit à hurler : "Sortez vos arcs, formez une ligne face à la porte! On va reprendre la ville!"
Il sortit son propre arc, cria à Soon , déjà presque encerclé, de se jeter à terre et décocha rapidement une flèche sur un bannis qui arrivait dans le dos du soldat.
Les autres l'imitèrent. Et petit à petit il avancèrent pour libérer le passage.
Le Grand Intendant pénétra dans la ville avec ses troupes et fit le ménage.

Ce que Torchou vit ce jour là, restera gravé à jamais dans sa mémoire, la ville de Mont-Brumeux, mise à feu et à sang. Des cadavres jonchant les rues, des mares de sang suintantes...
C'est ce jour là qu'il comprit que, malgré la haine qu'il vouait aux amranéens, il était important pour Akatéa, que les deux factions s'allient en certaines circonstances.

HRP : je copie-colle ici le RP de Falaise vu que ça me concerne et que c'est moi qui l'ai fait.

Chapitre 3 : Falaise-Plongeante

Années 1569 - 1571 (suite)

Tout les jeunes nobles qui recevaient un éducation digne de leur rang, apprenaient en priorité l'Histoire impériale. Et cette Histoire comprenait une grand part de géographie territoriale. En effet, les sages enseignaient aux jeunes hobereaux le nom, le blason, la devise et l'emplacement des principales citées impériales.
Soit : Mont-Brumeux la capitale, Haut-chêne la cité blanche du Grand Intendant et la toute jeune apparition dans les encyclopédies, Rive-Feuille.
Les hauts dignitaires de L'Empereur ne prêtaient attention aux autres petits villages de paysans que lors de la levée des impôts.

Mais malheureusement, un fait aussi rare dit-on qu'une apparition divine, Rive-Feuille fut massivement attaquée par une troupe d'amranéens. La citée assiégée sous le joug séparatistes pendant plusieurs jours, ne pût donc pas envoyer de messagers à L'Empereur pour demander de l'aide.

En quelques jours, la citadelle de Rive-Feuille fut complètement détruite et s'ensuivit un exode de survivants vers Mont-Brumeux.

Le Grand Intendant appelé en renfort auprès de L'Empereur, contemplait du haut du balcon impérial les venelles désormais gorgées des rescapés de l'attaque. Il fallait à tout prix trouver un endroit où les reloger.
C'est à ce moment que L'Empire s'intéressa aux villages qui lui avaient juré allégeance. Malheureusement aucun n'était capable d'accueillir une telle quantité de réfugiés, il fallait les répartir dans plusieurs villages et la tâche risquait de prendre des décades. Décades qui manquaient en ce moment avec les attaques amranéennes qui s'intensifiaient.
C'est à ce moment que le regard du Grand Intendant Sir Sideara Aminestas, se posa sur la carte marquée des différentes bourgades. Une en particulier attira sont attention, Falaise-Plongeante. Ce village, déjà assez grand pouvait facilement supporter un agrandissement.
Le Grand Intendant se plongea donc dans les archives pour étudier l'histoire du village.

Après le Grand Sacrilège, bien avant l'émergence des Cités-Etats, au moment où les nomades devinrent sédentaires, le clan unifié des Blancs-Regards s'installa en haut d'un falaise surplombant la mer. Leur chef, Uru le Blanc, avait jugé l'endroit stratégiquement bien placé. Une seule palissade leur permettrai de se protéger de la Grande Malédiction. Le clan prospère s'installa donc à cet endroit et se développa rapidement, mais le village n'atteignît jamais le rang de Cité-Etat.
Et en 1358, lorsque Jirdahad II fut couronné, Comme de nombreux villages, Falaise-Plongeante s'inclina devant la nouvelle autorité.

Aujourd'hui, le village est dirigé par un simple bûcheron, Saska Atha, nommé régent après que l'ancien soit mort lors d'une attaque de bannis. Il n'a d'autorité que sa carrure importante. Il, raconte t'on, dépasse de deux têtes tous autres habitants du village. Mais n'a aucune éducation et résout tous les conflit dans la violence. C'est pourquoi ce village a longtemps éloigné de lui les pillages amranéens.

Sideara y voyait l'opportunité de fonder une nouvelle ville qui pourrait faire face aux amranéens. Mais cependant il fallait éloigner ce sauvage de Saska, quelques pièces d'or devraient y remédier, et le remplacer par quelqu'un de confiance.
Oshydaka, un des plus riches nobles et habile politicien, fut alors appelé en tant que régent pour tenir d'une main de fer la ville et ses environs. L'Empereur avait toute confiance en la servilité du nouveau dirigeant.

Une garnison lui fut donc assignée et il parti avec les rescapés et un bon nombre de maçons et d'architectes, notamment son fidèle conseillé Torchou, dans l'espoir de créer une des plus imposantes cités de l'Empire.

Chapitre 4 : Se lier pour affronter

Années 1580 - 1581

Dix années passèrent, la capitale se reconstruisait petit à petit, plus imposante et plus moderne qu'auparavant. La vie reprenait peu à peu un rythme normal.
Mais à la fin de l'année 1580, d'étranges rumeurs circulaient. On parlait d'étranges personnes qui se réunissaient dans un but sombre. Les badauds évoquaient souvent la magie. Personne n'y prêta attention. Ou tout du moins pas au début.
L'attaque massive de bannis sur Haut-Chêne et la découverte de la repousse d'amranaée, deux évènements simultanés, donnèrent du poids aux théories les plus folles.
Les régents se mirent alors à enquêter sur les différentes pistes qu'ils avaient à disposition. De maigres indices à vrai dire, et l'enquête piétinait.
Jusqu'au jour où un vieux parchemin fut découvert, un document datant de plus de cinquante ans faisant référence à un groupe de personne se réunissant dans les ruines d'Âpre-Roche. Un ancien village impérial abandonné depuis longtemps au nord de Falaise-Plongeante.
L'information circula rapidement et amranéens et impériaux se préparèrent rapidement à partir visiter les lieux.
C'est à quelques kilomètres du village en ruines que les deux troupes se croisèrent. Les amranéens menés par le Chaman Razade, et les impériaux par Sideara et Torchou. Il fut alors convenu que tout le monde se rendrait ensemble au village afin d'être plus efficace. Il faut aussi dire que personne ne savait vraiment ce qui allait les attendre sur place, et même si c'était des ennemis jurés, il valait mieux pouvoir compter sur quelques personnes de plus.
A leur arrivée, le village était désert de toute âme. Cependant un passage régulier marquait les anciens chemin caillouteux du village. Il était évident que des personnes étaient venues ici. Une cachette fut rapidement découverte, à l'intérieur un document en ancien akatéen, traduit par le suite, indiquait l'emplacement d'autres cachettes. Rapidement elles furent visitées. Cette fois ci, des hommes défendaient les lieux. Voulant apparemment à tout prix protéger ce qui y était caché. On découvrit alors qu'un homme, le Père Fladro était au commande d'un groupe se faisant appeler l'Ordre.
S'ensuivit alors une course poursuite entre la découverte de nouveaux indices et les déplacements du Père Fladro. A chaque fois Torchou accompagnait les soldats, de caches en caches, de repères en repères... Jusqu'au jour où ils se retrouvèrent fasse à un important repère de l'Ordre, un monastère situé au nord de la souche d'Amranaé.
L'attaque fut sanglante, les moines affiliés à l'Ordre défendirent ardûment les lieux. Après des heures de combats, le monastère tomba.
On y découvrit alors une immense bibliothèque abritant des centaines de livres, certains vieux de plusieurs décennies et d'une valeur inestimable pour les collectionneurs. On y fit aussi d'importantes découvertes. Le Père Fladro était en fait un descendant de Gardahad Garador et qu'il existait un ultime repère, une île baptisée, Thédalmar, sur laquelle le Père Fladro comptait réussir à ressusciter son ancêtre grâce à de puissants artéfacts.
Les intentions étaient claires!
Torchou s'occupa de faire prépare deux navires de guerre armés des tout derniers modèles de cannons. La flotte prit le large depuis le port de Falaise.
La bataille qui s'ensuivit ne sera pas décrite ici, Torchou n'ayant que très peu participé aux combats, son rôle étant la gestion des troupes, en arrière de la ligne de front.

Suite à cet évènement, le calme normal d'Akatéa retomba. Les amranéens, une fois repartis de leur côté, se remirent à attaquer les caravanes et les voyageurs sur la route impériale. La tension entre les deux factions s'intensifia à nouveau, laissant dans l'oubli leur ancienne complicité.

Chapitre 5 : une nouvelle ère

Année 1581

Torchou prit la Régence de Falaise Plongeante en succédant à Oshydaka Matsuda frappé par une maladie qui lui rongeait l'esprit. Bras droit d'Oshydaka et ami du Grand Intendant, il s'attendait tout naturellement à obtenir le poste. La transmission du trône se fit rapidement et sans éclats.
Et c'est avec une grande satisfaction qu'il signa pour la première fois : "Torchou Blanc-Regard, Décisionnaire de l'Aménagement et Régent de Falaise-Plongeante".

Après l'intrigue de l'ordre, un évènement majeur vint marquer cette année. Le Grand Intendant Sideara Aminestas allait se marier. Et de surcroît, se marier avec une roturière! Ce n'est pas que Torchou méprise les gens du bas peuple, lui même en étant issu, mais un homme digne du Grand Intendant se devait d'un mariage de raison avec une personne de haut rang, afin d'élargir sa domination politique. Au lieu de cela, c'est les sentiments du Roi qui passèrent avant tout. Quelle déception pour Torchou qui voyait déjà son supérieur direct ramolli par la vie de famille. Fini les belles aventures. Le Régent de Falaise voyait déjà l'Empire se transformer avec bonté et bienveillance envers tout le monde... Même les amranéens!
Ces sauvages sans éducation, auxquels il avait si souvent été confronté en tant que bûcheron.
C'était pour Torchou la fin de la domination impériale sur Akatéa.

La première fois qu'il rencontra la future reine, avant le mariage, il la salua à peine, écouta son discours de présentation plein de bonnes manières et la gratifia d'un : "Roturière tu es, roturière tu resteras". Et s'en alla sans demander son reste.

Les préparatifs du marriage battaient leur plein. Plus les jours passèrent, plus Torchou se renfrognait, s'imaginant à la régence d'une Falaise-Plongeante décrépissante sans moyen d'intervenir pour corriger une bonne fois pour toute les nombreux amranéens qui pillaient sauvagement les contrées Akatéennes.
Mais heureusement la stupidité de ces barbares dépassa les espérances du régent. Un groupe de jeunes amranéens fougueux, pensant agir dans le bien de la faction, attaqua directement la future reine de Haut-Chêne, la dépouillant de ses affaires. Mais là où ils ont fait fort, c'est que dans la bourse qu'ils avaient dérobée se trouvait l'anneau de fiançailles de Sideara Aminestas!
Alors lorsqu'il apprit que le Grand Intendant et son armée, furieux s'était rendu aux pieds de la forêt de Racine-Courante menaçant de mettre le feu, il explosa de joie. Courant dans le palais, remerciant Cycléis de la bêtise de ces pauvres mangeurs de boue, il criait aux servants d'aller chercher le forgeron pour qu'il fasse aiguiser son épée et polir son armure.
"On va se sortir d'ici les enfants", répétait-il aux gardes du palais, qui le regardaient les yeux écarquillés sans comprendre.
L'arrivée du faire-part de mariage quelques jours plus tard calma ses ardeurs, il fallait trouver un cadeau et se taper la fête à Haut-Chêne.
Torchou y fut figuration, évitant les regards de la reine. Peut être avait-elle oublié l'insulte qu'il lui avait lancée...
Quoiqu'il en soit, la soirée fut exécrable. A table étaient réuni toute la cour et les hauts dignitaires impériaux. Toutes les personnes que détestait le jeune régent. Des hommes et femmes bien nés qui ne méritaient pas leur place, se gavant grassement des mets servis à table. Pendant cet instant il comprenait presque les dégoûts que les amranéens éprouvaient pour l'Empire. Mais la vue des rares amranéens invités lui remit les idées en place. Ces bâtards, sauvages et sanguinaires invités à la table du Roi... Il reconnu Maxylos, un amranéen soit disant pacifique qui se prenait pour un homme distingué et éclairé. Tout ce qu'il vu c'est un porc qui bavait devant les plats servis, les yeux remplis de désir de chair.
Petit à petit il fit le tour de tous les amranéens de la grande table. Il en tira une conclusion : "Ces bouseux mangent comme ils font la guerre, sans aucune tenue".
La soirée se passa tant bien que mal. Torchou observait, écoutait et participait un minimum aux débats sur l'art, la science et l'histoire, l'assemblée préférant éviter d'aborder des sujets politiques pour ne pas embraser les esprits.
Même le feu d'artifice qui eut lieu en fin de soirée n'enjoua pas Torchou. On dit cependant qu'il était spectaculaire et que les détonations des fusées colorées résonnèrent jusqu'à Rouge-Prés.