IRL :
- Prénom : Valentin
- Âge : 18 ans
- Pays et ville : Lyon, FRANCE
- Activité actuelle (scolaire, travail ...) : Première année de Licence.
Expérience :
Vos références Rôle-Play :
Mon expérience en terme de Rôle-Play n’est pas très étoffée. En effet, je joue à un jeu de simulation médiévale sur une application iPhone (Lord and Knights) dans laquelle j’occupe le rôle de diplomate de mon alliance. J’ai également joué à un RP forum de simulation politique.
Quels sont vos anciens serveurs Minecraft ? Pourquoi êtes-vous parti ?
J’ai participé à quelques serveurs, mais le dernier en date à plus d’un an. Je suis parti car la dimension RP que je cherchais dans un serveur n’était pas totalement assumée par certains, dans le sens où, certains étaient RP les premiers jours et abandonnaient très vite.
Quelles sont les qualités requises pour être un bon rôliste ?
Je pense qu’un bon rôliste doit avoir une très bonne imagination tout en sachant être cohérent avec l’histoire qu’il s’est bâtit.
Comment avez-vous connu notre serveur ?
J’ai énormément regardé de vidéo de présentation de serveur sans pour autant avoir un réel coup de cœur. Je dois dire que la présentation faite dans la vidéo de Biloulette m’a convaincu que votre serveur est sérieux dans le RP.
Avez-vous lu les règles du serveur ? Vous conviennent-elles toutes ?
J’ai tout lu et évidemment rien à redire. Espérons juste que ma maison ne prenne pas feu, au pire je n'aurais qu'à me défouler en brûlant celles des admins.
Rôle-Play :
Nom et Prénom :
Chilpéric Marceau
Quelle faction voulez-vous rejoindre ? Pourquoi ?
L’Empire, leurs exploits, qu’ils soient militaires ou culturels, leur idéologie et leur mode de vie, sont proche de ce que je désire vivre.
Quelle ville voulez-vous rejoindre ? Pourquoi ?
Je désire rejoindre «Falaise Plongeante» qui est pour moi la plus belle des villes.
Introduction RP de votre personnage :
Je naquis il y a de cela soixante-quinze longues années à Mont-Brumeux, la capitale de l’Empire. Très jeune je fus fort bien éduqué par la gouvernante étant en charge de mon éducation. En effet, bien qu’étant de famille modeste, mon père, comme ma mère, mettaient un point d’honneur à ce que mon éducation soit parfaite. Tout l’argent du ménage passait dans le salaire de « Tati Mordanne » comme j’aimais à l’appeler. Je su lire très tôt, je n’avais pas cinq ans révolu lorsque je lisais seul mes premiers contes.
Ma vie se faisait entre mon domicile, une petite maison avec une pièce principale, ou nous dormions, cuisinions et vivions, et la bibliothèque municipale. Que j’aimais la bibliothèque, l’odeur des livres neufs, comme des livres plus anciens, me faisait revenir le lendemain. Avec l’âge, on aurait pu penser que mon amour pour la grande littérature viendrait à se dissiper, et pourtant, mon adolescence je la passa aussi à la bibliothèque. Sont-ce les odeurs qui m’attiraient encore ? Peut-être… Toujours est-il que je commençais à apprécier les fréquentations que l’ont pouvait s’y faire. En effet, j’y ai rencontré des hommes et des femmes, des jeunes femmes et des jeunes hommes qui ont fait l’homme de culture que je suis devenu avec les années…
Ma famille était plongée dans la pauvreté. Mon père avait commencé sa vie professionnelle dans les ruelles de la capitale, au service de gentilshommes, à creuser des sabots dans le bois qu’il parvenait tant bien que mal à acheter, ou chaparder. Ma mère, elle, partait tôt le matin, travailler aux champs.
Bien que miséreux, il mon père a eu lui aussi une éducation qui lui a permis d’apprendre à lire. Il passa des jours et des jours, seul ou en ma compagnie, à la bibliothèque, jusqu’au jour où, il eût entre ses mains la merveilleuse histoire d’un célèbre marchand en quête de routes commerciales. Les rêves étaient en ébullition, l’appât de l’argent faisait briller ses yeux. Il était décidé, nous partîmes, ma mère, mon père et moi, sur les routes du commerce.
Mon père eut très vite du succès, son expérience à vendre des souliers lui a permis d’avoir le charisme et l’éloquence nécessaire pour convaincre un propriétaire de bateau de lui en donner un pour commercer sur la mer. Nous commençâmes nos activités à bord de l’ «Olympe» le bateau baptisé du prénom de ma mère.
Trente années se sont écoulées, j’ai maintenant soixante-sept ans, mon père cent onze ans, et des rats se sont faufilés dans les cales du bateau lors de notre dernier amarrage à Falaise-Plongeante. La peste eut raison de notre équipage, et de mon père.
De grâce, un tiers du bateau parvint à survivre, dont ma mère et moi. Je dus travailler seul, l’envie de reprendre le bateau n’y était pas, car la vision du corps de mon père balancé par-dessus bord me hantait. Nous retournâmes à Mont-Brumeux, où deux ans plus tard ma mère centenaire se laissa mourir de chagrin.
Les réserves d’argent descendaient, il me fallait reprendre une activité pour survivre. Je me décida à reprendre le commerce dans la ville de Falaise-Plongeante afin de retenter de vivre de la seule activité dont je suis capable de vivre : le commerce.
J’ai maintenant soixante-quinze ans. Je ne suis plus le jeune homme fougueux que j’étais mais je ne suis pas le vieillard que je vais être. Ma vie est de nouveau devenu ce qu’elle était durant mon adolescence. Je vis en ville, dans les bibliothèques. Physiquement tout à changer, les cheveux blancs ne vont plus tarder, mon ventre est assez rond. J’ai le physique de quelqu’un de jovial, et pourtant, ma vie de ces dernières années a durci mes traits et mon caractère. Je ne ris que très peu avec les personnes que je ne connais pas. J’ai une tendance à me méfier de certaines personnes que je ne connais pas. Je suis un homme grognon.