Nom MineCraft : Amdalgorn
Nom de famille : Je pense être dans mon droit en le gardant secret, ou au pire le dévoiler quand je connaîtrai un peu mieux la communauté
Prénom : Florian.
Pays : France.
Ville : Evry.
Activité actuelle : Militaire dans l'Armée de l'Air.
Age : 24 ans.
Expérience RP : Serveur Estel[RP] sur LOTRO pendant plus de 4 ans, serveur Tempête[RP] de Rift depuis sa sortie en mars dernier. Dans ces deux MMORPG, j'ai fait ou je fais parti de confréries RP ou semi-RP. Mon propre serveur MineCraft privé et RP où l'on est trois à construire trois grandes villes avec des architectures étudiées et recherchées, mais plus orientées sur un monde moderne avec une ville futuriste, une ville de campagne fournissant les autres en ressources, une capitale pour laquelle nous n'avons encore rien établi.
Ai-je déjà été sur d'autres serveurs RP : A part le mien, aucun car ils sont plutôt TRES rares. D'où la fondation de notre propre serveur RP en juin avec mes deux amis.
Comment j'ai trouvé le serveur : En regardant sa présentation sur
MineCraft.fr
Les qualités d'un joueur RP : Savoir incarner complètement son personnage qu'il a défini et s'adapter continuellement en fonction des autres personnages ou actions qu'ils entreprennent.
Lecture des règles du serveur : Oui, je les ai toutes lu et elles me conviennent parfaitement, sauf la dernière

Pauvres admin... Je ne les envie pas sinon !
Lecture des règles du forum : Oui. Dommage pour l'avant dernière règle ! Moi qui rêvais de vous insulter de fiante de creeper :helleyes:
Quelle faction rejoindre : J'aimerai rejoindre les Impérialistes, car ils n'obligent pas les citoyens à partir obligatoirement au combat à chaque bataille. Et il y a plus de possibilités d'architecture médiévale chez eux que chez les Amranéens, terrés dans leurs trous ou leurs repères.
Quelle ville intégrer : Haut-Chêne, pour son architecture recherchée et les possibilités qu'elle offre d'après ce que j'ai pu voir sur les screens.
Introduction RP :
Un homme, d'apparence pauvre, s'approche de la muraille blanche de Haut-chêne. Il n'est pas rasé, a les cheveux en bataille. Vêtu de loques trouées et crasseuses, il ne possède pas de chaussures à ses pieds.
Dans un ultime effort, il lève son bras gauche vers le garde qui l'observe du haut des remparts puis s'écroule, le bras toujours tendu.
Amdalgorn : Ayez pitié ! Seigneur en belle armure scintillante, je vous en conjure, ne me tuez pas !
Le garde interpelé pose une main sur le fourreau de son épée et l'autre sur le pommeau de cette dernière.
Le garde : Qu'est ce que tu veux l'bouseux ? Dégage d'ici avant que je ne descende prendre ta bourse, et ta vie ! Tu salis le pavé de la grande porte.
L'homme pauvre quant à lui, fermant les yeux, pose ses mains sur sa tête comme s'il voulait protéger la seule chose qui lui reste, son esprit, essence de sa vie.
Amdalgorn : Ne vous donnez pas cette peine Messire, je ne possède pas un sou.
Bien que rassuré, le garde ne se trouve pas moins embarrassé par cette personne, ne sachant quoi faire pour qu'elle disparaisse de sa vue.
Le garde : Qui es-tu ? Je n'ai jamais vu ton visage. Si tu es un mendiant de Mont-Brumeux accablé par le froid, passe ton chemin ! Nous n'avons pas de pain pour toi.
L'homme pauvre, réunissant les quelques forces que cette pause, là sur les dalles de la grande porte, lui a permis de réunir, se lève et regarde le garde.
Amdalgorn : Je ne viens pas de Mont-Brumeux, et la froideur qu'il peut y avoir là-bas me paraitrait douce à côté de ce que j'ai enduré. Je me nomme Amdalgorn, Amdalgorn l'exilé.
L'homme en armure s'interroge, réfélchit quelques secondes et comprend qu'il a affaire à un étranger, un inconnu que l'on a chassé et qui pourrait porter atteinte à la sécurité de la cité. Il dégaine alors son épée.
Le garde : L'exilé... Exilé dis-tu ? Mais tu es un de ces mécréants de voleur de veuves et de violeur d'enfants alors ! Je vais t'ouvrir en deux chien galeux ! Comment oses-tu venir ici !
Le pauvre tombe à genoux, joignant les mains.
Amdalgorn : De grâce Messire ! Par pitié ! Je suis loin d'être une menace pour vous. Je n'ai ni arme ni armure, je ne possède plus rien, j'ai été dépouillé, humilié, torturé et jeté en pâture aux bêtes sauvages. Je viens à vous pour demander protection et hospitalité. Je travaillerai dur en retour pour les Seigneurs de cette cité. Je ne réclame aucune rémunération, simplement le toit, le pain et la protection contre mon travail soigné et appliqué.
L'épée toujours en l'air, le garde commence à ressentir une légère pitié pour cet homme crasseux. Mais c'est surtout sa curiosité qui l'arrête.
Le garde : Mais qu'as-tu fais pour mériter tout ça l'bou... Ehm... L'ami ?
Amdalgorn a un moment d'absence puis, revenu de ses pensées, s'explique alors.
Amdalgorn : J'étais un architecte, un grand architecte. Méprisé par les renégats et autres couards, reconnu par les hommes de pouvoir et nobles en tout genre. J'ai bâti ma réputation en construisant des habitations, de plus en plus luxueuses à chaque nouveau chantier. Ils se passaient le mot, jusqu'au jour où mon nom arriva à certains hauts placés qui me confièrent la construction d'édifices publics, puis les travaux de rénovation de leur citadelle.
L'homme armé, l'interrompt tout en rangeant son épée.
Le garde : C'est ben beau tout ça ! Mais t'm'as toujours pas dit pourquoi tu t'es retrouvé miteux, sans le sou et puant la bile d'enderdragon. Et pourtant j'suis ben haut sur ma muraille pour arriver à l'sentir !
Amdalgorn : Je suis dans la pierre, pas dans la bataille. J'aime le fracas du burin sur le roc et non celui de l'épée sur le crâne d'un malheureux. Alors qu'une attaque par des mercenaires était lancée sur nous pour intercepter notre convoi transportant de la pierre pour alimenter la rénovation de la citadelle, j'ai refusé de participer à la défense. Je pensais qu'ils comprendraient, qu'ils admettraient que le chantier sur lequel je travaillais était plus important qu'un homme armé de plus pour une sournoise embuscade contre notre convoi lourdement armé et bien escorté. Comment suis-je arrivé à ce que je suis désormais ? En voulant en quelques sortes protéger les plans de leur citadelle existants uniquement dans mon esprit Messire ! En refusant de porter l'épée, j'ai été victime d'une accusation de haute trahison alors que je ne cherchais qu'à protéger ce qui était plus précieux pour eux que ces vulgaires rocs de pierre ! Et c'est en me tuant que vous confirmeriez cette infamie ! La vie est pour moi bien injuste mais elle est de toute façon finit pour moi. Alors allez-y, j'aurai au moins essayé.
Le garde, gêné, reste silencieux de longues minutes.
Le garde : Bon bon bon... Ehm, écoutes l'ami, c'pas moi qui décide ici ! J'vais quand même t'emmener voir les dirigeants de se fief. Eux décideront de t'accepter ou non dans cette cité. J'suis pas ben gradé mais... On m'fait confiance. Allez attends moi là, j'descends d'mon chemin d'ronde, j'appelle l'Barnabé pour qu'il me remplace et j't'escorte. Personne te fera de mal va, j'suis respecté ici.
Amdalgorn, prit d'une énergie soudaine se relève à nouveau, les yeux illuminés et brillants.
Amdalgorn : Oh merci ! Merci grand Homme pour cette chance que vous m'accordez ! Je vous serai éternellement reconnaissant pour ce geste de bonté ! Graĉe à vous, peut être que la chance va me sourire à nouveau, et que je vais redevenir respectable aux yeux de tous. Merci !
/* La suite s'écrira en fonction de vous, dirigeants du monde d'Akatéa... */