bonjour a tous.
je me nomme simon caillard, j'habite en Charente, prés de Cognac, mais je n'en ai jamais bu.
j'ai 15 ans et je suis en première S.
je dessine et je fais de l’athlétisme.
Je joue à minecraft depuis la mise à jour où la barre de faim est apparue.
Je ne peux jouer malheureusement que le week end, mais j'aime être actif sur les forum en dehors de mes connections.
Expériences
j'ai déjà joué sur le serveur Irowa, mais celui a fermé par manque d'activité.
Et je suis très imaginatif, poète certains jours.
J'ai trouvé le serveur en cherchant du RP par le biai de WTcraft.
Je l'ai visité en compagnie de Ollin et j'y ai trouvé un magnifique paysage. j'ai surtout accroché quand j'ai appris que l'on pouvait brûler, détruire, et manger les maisons des admins.
Pour êtres un bon rôliste ?
il faut avoir de l'imagination, être investi, et avoir un vocabulaire propre au RP du serveur.
RP
mon personnage s'appel Olimos Croatis, alchimiste de Falaise-Plongeante. C'est un grand blond, qui ne pense jamais à se peigner, d'où ses épis, ni a se raser.
Il porte un lourd manteau en cuir et en fourrure, avec un drôle d'écussons dans le dos, en forme de lune.
Mon personnage est complètement givrés, créant des potions farfelues, inutiles ou incontrôlables.
Il est aussi surexcité, s'émerveillant devant tout, quite à gober des mouches au passage.
j'aime bien l'Empire car c'est une organisation qui me plais, et je décide de vivre dans cette ville car elle est belle, a une bonne histoire, et est qu'il reste encore énormément d'institutions à construire et à organiser.
Introduction RP
vous ouvrez un livre rongé par les mites et couvert de poussière. Sur la première page, vous lisez :
bienvenue à toi qui lis ces lignes. je suis Olimos Croatis.
je suis né dans une famille qui étaient, comment dire... illuminés.
Ils habitaient à Falaise-Plongeante, une ville de l'empire.
ils étaient tous deux alchimistes et je l'avoue j’étais souvent un sujet de test pour leurs nouvelles potions. Un jour ils m'ont cherchés pendant une trois heures avant de se rendre compte que j’étais invisible et que je dormais dans le lit. un autre jour je suis tombé malade, vomissant mes tripes dans toute la masure.
Peu de temps après, mes géniteurs découvrirent une potion de poison vide dans la cave à potions.
La vie du petit Olimos a continuée ainsi, paisible, selon les critères de la famille.
À ses vingt ans mon père trouvant que je ne faisais rien de ma vie décidât de m'appendre son métier.
S'ensuivit une longue période d'études, de potion ratées, d'explosions, d'empoisonnement, mais au final, J'acquis tous le savoir nécessaire à un bon alchimiste.
Peu après, après s'être fâché avec mes parents, à cause d'une vulgaire dispute ayant pour sujet l'embauche de cobailles humains,je pense encore que les tests sur bannis sont trop difficiles à faire, pour un résultat pas toujours fiable.enfin voilà, là n'est pas le sujet.
Donc Je partis de chez moi emportant tous le matériel d'alchimiede mes parents, mettant ainsi fin à leur carrière et pour un temps à tous ce qui se passait entre mes parents et moi.
Suite à cet incident, je me suis retrouvé seul, sans les précieux conseils de mes pare et, sans leur toit et sans la délicieuse tarte à la citrouille de ma mere.... J'en rêve encore, mais bon !
Donc suite à cela, j'ai fondé ma propre échoppe, "l'éprouvette d'or". Les affaires marchais bien, les clients étaient contents, et finalement ma bourse se remplissait vite. Tout allait bien, j'étais dans ce que je déteste dire une "bonne situations".
Et puis un beau jour, un étrange individu est rentré dans ma boutique. Il était couvert de boue, trempé jusqu'aux os et blessé.
Je l'ai tout de suite alongé près du feu et je suis partis chercher une fiole de soin.
Après six long jours de convalescence, notre homme s'est enfin réveillé.
Le premier mot qu'il dit fut "suis je à falaise plongeante ?"
- vous y êtes ! Repondis je
- où se trouve la fameuse "l'éprouvette d'or" ?
- vous y êtes mon brave.
- Aaaah enfin mon périple prend fin.... Dit il tout en fermant les yeux.
- Wowowo ! Vous allez pas vous recoucher ! Ça fait six jour que j'attends ! Vous m'expliquer Maintenant qui vous êtes, Et pourquoi vous venez au péril de votre vie chez moi !
- hé bien c'est une histoire très longue, je ne me sens pas la force de la raconter.
Tout ce que je peux vous dire, c'est que j'ai besion de votre aide.
Sur ces mots il tombât dans un profond sommeil.
Peu de temps après, mon hôte réussi a se lever et je pût enfin comprendre la raison de sa venue.
Il faisait partie d'un groupe envoyé aux quatres coins de l'empire pour trouver un moyen de transformer le plomb en or.
En effet les caisse de l'empire étaient au plus bas, les soldats non rémunérés ne pouvaient plus s'acheter de quoi défendre les villes.
Tous les alchimistes devaient chercher un moyen, une formule, ou encore un artéfact oublié permettant de faire de l'or à base de plomb.
- C'est une blague ?! Mais c'est impossible ! Répondis je
- c'est un scribe de la bibliothèque qui m'a dit de venir tenter ma chance ici. Vous devez le faire ! Si vous le faites, vous ouvrez devenir noble ou même conseiller du roi !
Sur ces mots, le soldat inconnu partis, me laissant seul avec des questions plein la tête.
Puis me vint une idée, falaise plongeante, je l'avais déjà explorée dans ma jeunesse, si il existait une solution à qui on faisait référence dans des archives de la grande bibliothèque, ce devait être dans la ville abandonnée, Rive-Feuille.
J'ai donc pris un bateau, une épée et mon courage et je suis parti vers cette ville fantôme.
Puis je m'en approchais, plus la brume était épaisse, oppressante, pleinde de bruts suspects.
Et enfin je suis arrivé à la ville aux murs de pierre bleue, celle qui avait chu sous la puissance du dieu Sinrir.
Je suis sortis de ma barque doucement pour ne pas alerter les bannis, oui j'ai plongé sous le regard blanc de la lune.
Pendant trois longues heures j'ai cherché, fouillant chaque habitation, allant même jusque qu'à plonger dans l'eau croupie du marais.
Et puis je l'ai vu, une étrange éprouvette posée entre trois gigantesques grifes d'or.
Elle contenait un liquide tantôt gris tantôt doré.
Enfin je touchait au but, la gloire et la richesse m'ouvraient les bras.
Tout excité je suis partis, ramant de toutes les forces vers ma ville natale.
Je bénissait Sinrir, et sa grande bonté.
Arrivé en ville, je suis partis comme une flèche, monter à mon père ma trouvaille.
Quant il la vit, mon père devint tout blanc, il me claquât la porte au nez, en me disant détruit cette chose !
- mais qu'est-ce que c'est père ?!
- c'est ce qui a provoqué la colère des dieu sur nous !
- Pourquoi ?!
- entre mon fils, il vaut mieux en parler à l'intérieur.
Je lui ai raconté l'histoire, et au fur et à mesur de mes paroles, son visage devint de plus en plus blanc.
- c'est donc à ça qu'il ressemble, l'élixir d'or.
- qu'a t'il de spécial ?
- c'est une objet volé aux dieux. Quiconque l'utilise provoqué la colère des dieux.
Dans le passé on l'a utilisé à Rive-Feuille, c'est pour ça que la ville était si riche et si réputée pour ses potions. Mais peu à peu les vapeurs de cet élixir ont tué les personnes qui l'utilisaient. Cette potion a même failli tuer toute la population de la ville, quant un jour un gigantesque tas de plomb a été transformé en or. Une gigantesque bouffée toxique en est sortie, rendant malade toute la ville et tuant les expérimentateurs. C'est pour ça qu'elle était caché, pour ne pas tuer encore.
Su tu ne veux pas que cela ce reproduise, tu dois le détruire.
C'est sur ces mots que mon père me laissât dans la rue.
À la nuit tombé, un orage est brusquement tombé sur la ville.
Je suis resté terrorisé, serrant l'eprouvette, avant de finalement le décider.
Pour le bien de mes parents, de mes amis, et pour mon bien mental, je devais rendre aux dieux ce qui leur appartenait.
J'ai grimpé au beau milieu de la nuit sur les muraille, et face a l'océan, j'ai jetté la fiole aux flots.
Au même moment, un éclair a traversé le ciel, tranchèrent au passage la fiole maudite.
Depuis ce jour, je me dis que j'ai fait le bon choix, et que cela devait se finir comme ça. Au mions j'espère que à l'heure de ma mort, les dieux tiendront compte de ce geste, avant de me juger.