- Eh gamin réveilles-toi, vite ils arrivent il nous encercle.
- Maman...
- Mais bouge on va tous crever si tu te lèves pas tout de suite.
- Argh... ma tête. Mais qu'elle est cet endroit.
- Bon retour à la réalité gamin.
J'ai levé les yeux, encore fatigué et excédé par la lumière, j'étais allongé sur un lit dans une grande salle qui semblait être un hall d'hôpital. Je dis semblait car tout étais en ruine, et certains trous dans les murs était assez béant pour distinguer un ciel... rouge sang. Je me relevais brusquement et sentait ma tête tourner. Je ne sais pas combien de temps j'avais dormi mais surement assez pour souffrir au réveil. Quand mes yeux s'habituére au blanc des quelques lampes de la salle je ne puis distinguer l'homme qui s'adressait à moi. Il devait avoir entre 35 et 40 ans. De grande taille et bien portante il était coiffé de cheveux mi-long et muni d'un barbe broussailleux noir comme la nuit. Habillé de vêtement simple mais usé, il les avait recouvert d'une blouse blanche typique d'un médecin d'hôpital.
- Ok retrouve tes fonctions motrices et faites ça le plus rapidement possible, il faut dégager de là. Tu vois la porte que l'on vient de barricader? Derrière se trouve le pire cauchemar de l'humanité alors si tu pouvais te secouer un peu sa nous arrangerai.
- Combien de temps j'ai dormi? Ou son Dan et les autres? Comment j'ai survécu.
- Écoute tout te sera expliqué en temps et en heures, mais tu n'auras jamais la réponse si tu meurs ici, alors bouge.
Quel était cet homme qui me réveillé pour me dire que j'étais encore menacé de mort? Et pourquoi ce bâtiment ressemble à un hôpital était si dépravé. Ok la guerre civile avait fait des ravages mais c'était surtout en banlieue, les bâtiments importants étaient toujours fortement défendus. Et la quelqu'un voulait entrer et nous tuer ! Mais qu'est-ce qui se passait? Ou étais-je? Qui était-il?
- Monsieur Brankford on vient d'en finir avec les bataillons qui nous poursuivé et la porte est solidement fermée. Mais il va falloir dégager au plus vite si on veut avoir une chance de survivre, ils sont beaucoup trop nombreux et d'autres escouades vont venir. Est-ce que le sujet est prêt?
- Un moment, nous y sommes presque.
L'homme qui venait de s'approcher de celui qui venait de me réveiller était lourdement armé et équipé d'un uniforme militaire que je n'avais jamais vu avant. Comme une tenue de combat avec de lourdes protections noires et un casque empêchant de voir son visage. Attendez le «sujet»... moi? Je suis un sujet.
L'homme à la barbe qui semblait se nommer Brankford me prit le bras et me força à me lever. Une fois libre de mes mouvements je put apercevoir la fameuse porte barricadée et un régiment de 5 hommes équipé de la même tenu militaire autour d'elles.
-On va monter sur le toit, là-haut un hélicoptère viendra nous chercher et on te ramèneras... Et merde.
Le bruit sourd que l'on venait d'entendre provenait de derrière la porte il avait fait taire Brankford et fait braquer les armes des soldats en sa direction. Une tension terrible venait de tomber, et même moi qui ne comprenais absolument rien à ce qui se passait je sentis un long frisson parcourir mon dos.
- Merde, merde, merde une Gorgone ce n'était pas prévu ça.
- Mais de quoi à la fin. Est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer.
Le soldat de tout à l'heure se retourna.
- Brankford emmené le jusqu'au toit et ramené le à la maison, s'il meure ça ne sera pas que notre mission qui sera un échec. Nous on reste ici pour tenter de la stopper.
- Je ne sais que trop bien Sergent, vous n'avez aucune chance de survivre face à une Gorgone.
-Là n'est pas la question, le seul ici qui ne doit pas mourir c'est lui.
Il me pointa du doigt son casque m'empêcher de voir son visage, et je ne pouvais pas savoir si la peur pouvait s'y lire. Mais son bras tremblé.
- Aller Brankford tout le monde compte sur vous. Elle sera là d'une minute à l'autre. Prenez cet escalier et trouver un ascenseur pour monter sur le toit. Il devrait avoir assez d'électricité pour qu'il marche. Toutes nos bombes E-O y sont passées. Dégagé !
- D'accord Sergent on vous oubliera pas. Toi tu viens avec moi.
Il se saisit de mon bras fortement et me traina vers lui, nous passâmes le seuil d'une porte qui était au fond de la salle. Brankford mit une carte magnétique dans une fente dans un mur.
Bonne chance soldat.
La porte se ferma et un autre bruit sourd retenti.
- Ok il est clair que tu dois te poser un grand nombre de question, et promis tout te sera expliqué plus tard mais pour l'instant tout ce que je te demande c'est de me suivre et de courir aussi vite que tu peux. On doit rejoindre le toit au plus vite.
- Mais vous rigoler, et eux alors?
- C'est trop tard pour eux, mais c'était leurs volontés, si on veut la respecter tu dois survivre. Aller vient.
Et nous nous élançâmes dans les escaliers laissant derrière nous 5 hommes ayant choisie de mourir pour que moi je vive. Qu'avais-je fait ou plutôt qu'étais-je censé faire pour valoir la vie de ces 5 hommes, parce que je suis un sujet. Pourquoi je me réveille dans un hôpital désaffecté avec comme seul habit une chemise de nuit de patient. Alors que mon dernier souvenir était la froideur du trottoir sur le quelle gisait mon corps. Tout me serait expliqué plus tard me promettait Brankford à condition de survivre. Encore faillit-il y arriver. Qu'elle était le monde dans le qu'elle je venais d'atterrir.
[Pendant ce temps, dans la grande salle de l'hôpital.]
- C'est peine perdu. Il est déjà parti et il va entrer à Némésos. Nous avons trouvé un espoir là où vous avez semé le désespoir.
- Votre race n'aura jamais plus aucun espoir. Votre combat s'est achevé il y a un an. Va petit homme va ou est ta place. Dans l'oubli !
- Non, non non!!
- Ah ah ah.... misérable humanité. Allez mes enfants, réveillez-vous, traquez-les, ramener le moi. Jencyo Rêva ne sera jamais un espoir.
[Hrp: J'ai vraiment besoin de vos avis sur ce RP les gens !!!!]