IRL:
Je m'appelle Paul.
J'ai quinze ans.
Je vit en France, dans les alentours de Caen (en Normandie).
Je serais en première S à la rentrée des classes.
Expérience:
Mes références en Rôle-play :
Petit, mon père m'a initié au jeu de rôle et de stratégie sur table ; plus tard, après avoir commencé à jouer à des jeux vidéos sur ordinateur, je trouvai, sur Warcraft III, des cartes où l'on pouvait créer une histoire avec les différentes races et personnages de ce même jeu. C'est ainsi que j'ai commencé les jeux de rôle en communauté.
Par la suite, je commençai à faire la même chose avec un seul personnage sur World of Warcraft et sur Minecraft, dans des serveurs dédiés à cela.
Anciens serveurs Minecraft visités, et causes de mon abandon :
Terradragon, un serveur dit Rp qui ne s'avéra n'être qu'un serveur de construction, bien que je m'y sois bien plu les premiers temps, je l'ai quitté pour son manque de Rp et de membre.
Amasya, ce serveur m'a séduit par ses fonctionnalités de race, de compétence ainsi que pour son histoire ; malheureusement, cette dernier est devenue trop compliquée et ne m'a plus attiré. De plus, le PvP ou JcJ sauvage et non Rp, était bien trop présent sur ce serveur pour ma part.
Les qualités, que je pense nécessaires, pour être un bon rôliste :
Savoir rester dans son rôle.
Savoir jouer de sa créativité pour construire une vie à son personnage.
Comment j'ai trouvé le serveur d'Akatéa: J'ai découvert votre annonce sur le site
www.serveurs-minecraft.org/ alors que je recherchait un nouveau serveur Rp.
Pourquoi je voudrai rejoindre votre serveur : La présentation de votre serveur m'a été fort sympathique ; l'histoire, les factions, le lien avec les dieux et les constructions que j'ai pu apercevoir dans la vidéo de Biloulette m'ont donné envie de vous rejoindre.
Les règles : Quel dommage que l'on ne puisse édifier de gros carré de pierres brillantes pour marquer notre passage

; bien sûr, le reste des règles me convient parfaitement.
Rôle-Play ; votre personnage :
Prénom et nom de mon personnage (ainsi que sa date de naissance) :
William Tranchètre (né en 1558).
Faction que je voudrai rejoindre :
Je souhaite rejoindre le peuple Amranéen pour son indépendance, sa rébellion face à l'empire et les possibilités d'histoires qui en découle grâce leurs liens avec les dieux et la nature. De plus, le fait de n'avoir qu'un seul métier ne m'enchante guère.
Ville que je voudrai rejoindre :
Je convoite la place d'habitant de Racine-courante pour son lieu forestier.
Introduction de l'histoire de mon personnage (je vous souhaite une bonne lecture):
Salutation, je me nomme William Tranchètre, et ceci est mon histoire.
Mon père, Harold Tranchètre, est issu d'une grande famille de bûcheron, d'où le nom de ses aïeux. Ma mère, quant à elle, se prénomme Caroline et a possédé le nom de Cycléipramil, ce qui signifie « fierté de Cycléis » en vieil Akatéen.
Caroline Cycléipramil vivait autrefois à Haut-Chêne où elle était fille de noble. Mais, après la mort de son père, elle rencontra le mien et choisit de s'installer dans la ferme de mon paternel, à Rouge-prés ; où je naquis.
Quand j'atteignis mes deux ans, mes parents m'ont enseigné la prière pour la grande Cycléis ; lors de mes cinq ans, ma mère et moi sommes allés au temple de cette même déesse, quel magnifique endroit !
Peu après, en cette pareille année, ma mère, qui, comme je l'ai sous-entendu précédemment, avait été bien instruite, m'apprit de nombreuses choses au niveau intellectuel et littéraire, l'une d'entre elles fut l'existence d'anciens récits des vieilles époques d'Akatéa, une chose qui m'intéressait considérablement à mon jeune âge. C'est ainsi, qu'en ce jour d'automne de l'année 1563, je me décidai à trouver ces textes antiques.
Arriva ma dixième année où je devins l'apprenti au maître scribe Thylos Oeil-d'eau, qui ne l'empêchait pourtant pas de voir chacune de mes erreurs dans ses rangements de parchemins. Il m'apprit les rudiments de l'ancien langage Akatéen, me révélant ainsi la traduction du nom familial de ma mère.
J'entendis, dans les rues, de rudes paroles sur une peuplade nommée « Amranéen », on m'expliqua que c'étaient des fanatiques, des ennemis de l'Empire.
À dix-huit ans, on m'envoya à Mont-Brumeux afin que l'on m'enseigne le maniement des armes ; avant de le quitter, maître Oeil-d'eau me dit de rechercher le bibliothécaire Arthur Rougefeuille et me révéla que celui-ci m'expliquerait plus minutieusement l'ancien Akatéen.
J'arrivai des jours plus tard, je vis tout d'abord la citadelle de la capitale impériale, puis j'aperçus des fissures et des cassures dans la muraille entourant la ville. Je demandai la raison de leur présence à un garde qui me répondit que ces dégâts furent causés lors de la bataille de l'horrible Alistair face à l'alliance des Impériaux et des Amranéens.
On m'installa dans un dortoir où se trouvait d'autres jeunes hommes venus pour les mêmes raisons que moi.
Le lendemain, nous nous sommes tous présentés au maître d'armes, nous commençâmes par le combat l'épée de bois, il évalua nos compétences en nous combattant chacun notre tour ; je fus particulièrement ridicule, mais, à ma grande satisfaction, je ne fus pas le seul. Le jour suivant, nous dûmes subir le même exercice. Mais cette fois-ci, je réussis à esquiver certains de ses coups avant de, à nouveau, mordre la poussière.
La matinée qui suivit, nous utilisâmes une nouvelle arme, un arc, et, avec beaucoup de surprise, je me montrai particulièrement adroit avec cet objet. Mais, quelques heures après que Cycléis eu été au zénith, nous recommençâmes les leçons de lames où, de nouveau, mon talent laissait à désirer. Le maître d'armes vint me voir après ce cours, il me dit que je n'étais pas fait pour les combats rapprochés, il valait mieux donc privilégier les leçons matinales où les flèches sifflaient ; il me dispensa alors des enseignements d'armes de corps à corps. Me laissant ainsi mes après-midi de libres.
Les jour suivants furent bien plus agréables que les premiers, bien que coupé de mes compagnons de dortoir pendant les leçons d'armes, je me plus à augmenter chaque matins mon habileté à l'arc, et chaque fins de journée à découvrir une nouvelle parcelle de l'immense cité.
Puis, je me remémorai les paroles de mon ancien maître de calligraphie et alla à la bibliothèque, j'y trouva Arthur Rougefeuille qui termina, après deux semaines et demi, ma formation à la compréhension et à l'écriture de l'ancien Akatéen. Mais, même après cela, je continuai d'arpenter la bibliothèque pour, ces fois-ci, trouver des livres comme me parlait ma mère.
Je pus m'en procurer, et tous furent bien intriguant ; mais j'en découvris un qui fut des plus mystérieux, caché au fin fond des étagères, l'ouvrage poussiéreux en question n'avait plus de nom. Il s'y trouvait de nombreux sujets, lieux et personnages mais cinq, en particulier, apparaissaient fréquemment : le premier était celui de notre bien-aimée Cycléis, le suivant était un certain Tran, dieu des montagnes, puis arriva celui du seigneur des océans Sinrir, le prochain était Naranaé, maîtresse de la nature, et finalement, vint celui du sage et noir Nodens. Il était écrit que ces quatre derniers était les enfants de la déesse de la lumière et du jour. Je me demandai pourquoi je n'en avais jamais entendu parler.
Après l'avoir dérobé à sa place initiale, je relus le livre sans titre des dizaines de fois. Je questionna enfin le bibliothécaire, avec qui j'étais devenu plus un ami qu'un élève, à propos des quatre divinités inconnues, il me prévint que ces noms « maudits » étaient les « tyranniques » dieux de « nos ennemis exaltés », les Amranéens. Les mots que j'ai cité étaient bien ceux qu'il avait utilisé, je n'avait jamais entendu de paroles contenant autant de haine et de colère. Désarçonné, je décidai de ne plus ouvrir le volume qui aurait été qualifié de « maléfique » par une majorité de la population impériale. Néanmoins, je ne pus me résoudre à brûler cette œuvre de l'histoire comme beaucoup l'aurait fait.
Des questions alimentaient mon incompréhension : pourquoi autant d'hostilité envers ces êtres divins ? Pourquoi et quand avons-nous renié notre histoire ? Mais surtout : Pourquoi mes parents m'avaient-ils caché cela ? Je me sentis irriter par cette pensée. Et me jurai qu'un jour le leur demanderai.
À la fin de l'année 1583, considérant que je m'étais assez exercé à l'art de la guerre, je sortis enfin des murailles, maintenant restaurées, de Mont-Brumeux à la recherche de réponses ; prenant avec moi, mes affaires, le livre source d'interrogations, un carquois rempli de flèches et un arc. Je regagna tout d'abord les miens, dont je n'eus aucune nouvelle pendant sept ans, à Rouge-Prés. Je fis la rencontre de ma jeune sœur de six ans, Agnès Tranchètre, à mon arrivée.
Les questions qui me torturaient ne sortirent de ma bouche que trois jour plus tard. Au début, mes parents furent tétanisés, puis ma mère fondit en larmes. Et, alors que mon père alla la soutenir, ils me révélèrent tout ce qu'ils savaient.
Mon grand-père maternel, Oxrus Cicléipramil, s'était converti aux croyances amranéennes après la mort de sa femme en donnant naissance à sa fille. Il causa beaucoup de tord aux Impériaux en sabotant leurs plans et en les espionnant ; il fut toutefois découvert et exécuté à Haut-Chêne. Je sentis monter la rage en moi, mais je réussis à la contenir.
En continuant, ils avouèrent m'avoir menti car Caroline Cycléipramil avait, en fait, été déchue de son rang à cause des actes de son père. Les Impériaux avaient confisqué toutes les affaires de sa famille, elle ne put sauver qu'un document appartenant à Oxrus. Entendant ceci et me sentant trompé par ma propre nation, je relâchai ma fureur et m'attaquai à tout ce que je voyais, mon père essaya de me retenir mais je le repoussai ; pourtant, je m'arrêtai en voyant l'effroi que j'avais créé dans les yeux d'Agnès, ce qui me calma et me permis de m'excuser.
Après une nuit agitée, je pris mes effets, et me prépara à partir à la recherche des « Fils de la nature ». Harold et Caroline essayèrent de me faire changer d'avis, mais rien n'y put ; ma mère me donna, avec beaucoup de peine, le document qu'elle avait caché aux Impériaux. Il s'avéra être une carte où deux noms étaient entourés : « Eau-Changeante » et « Racine-Courante ». Connaissant le sort de la première ville, je pris la direction de Racine-Courante, en faisant un dernier adieu à ma famille.
Exercice d'écriture (extrait du livre trouvé par William Tranchêtre) :
Fragment 1
Amranaé était tombé ; la région où il s'élevait était couverte de Bannis, ce lieu était devenu mortel et maudit. Le clan Fleuve-noir, impuissant, fut horrifié quand l'arbre divin s'écroula ; occupant à cette époque l'île au milieu du lac placé au Sud-est de celui-ci, il ne fut pas tout de suite touché par les malfaisants effets engendrés par l'acte impie de Brutus l'Immense. Toutefois, en s’étendant, la désolation amena avec elle les Bannis jusqu'aux rives Ouest de l'étendue d'eau des Fleuve-noir.
Après avoir délibéré, les membres du clan gagnèrent la berge Est de leur lac et se séparèrent en deux groupes, un partit vers le Sud et l'autre se dirigea vers le Nord.
Ce dernier traversa une vaste forêt, un immense désert et un marais nauséabond avant d'arriver devant un mur rocheux. Tout le long de leur voyage, ils avaient prié les Dieux pour qu'ils leurs accordent leurs protections, mais aucun ne semblait se soucier d'eux car la maladie gagna les anciens, les provisions commençaient à manquer, la Malédiction s'approchait dangereusement, et maintenant les montagnes leur barraient le chemin ; ils désespéraient. Heureusement, quelques jours plus tard, ils trouvèrent l'entrée d'un défilé, ils crurent à un signe des Dieux.
Mais, quand ils allèrent s'y aventurer, une horde de Bannis les attaqua. Ceux qui résistèrent furent massacrés, démembrés et dévorés, beaucoup avaient fuis en entrant dans le passage, certains réussirent à se cacher dans des grottes, d'autres coururent autant qu'ils le purent avant de se faire tuer. Il ne restait que très peu de survivants, principalement des enfants, des femmes, plus ou moins mûres, et des jeunes hommes. Les autres, plus âgés, avaient essayé de les protéger avant de trépasser. Ce jour là, les prières furent surtout adressés au dieu Nodens pour que les défunts passent son antichambre. Ceci fait, le petit groupe de Fleuve-noir reprit sa route en suivant le défilé.
Ce que je pourrai apporter à Akatéa :
Tout d'abord, pour sa communauté, un nouveau membre.

Quant à l'univers du jeu, cela dépendra d'où en est l'histoire entre les Impériaux et les Amranéens, et de l'évolution de mon personnage.
Merci d'avoir lu ma candidature.