IRL :
- Prénom: Nicolas
- Âge 23 ans
- Pays et ville : Lens en France.
- Activité actuelle: Je vais reprendre mes étude à 42 l'école informatique.
Expérience :
- Vos références Rôle-Play => Je suis un roliste sur table convaincu, et je fait aussi des RP forum. J'ai déjà essayer d'autres serveurs minecraft RP et je les quitte justement car le RP de ces serveurs empèchent de jouer à Minecraft. L'univers et les possiblitée de base sont très propices au RP, je ne comprend pas l’excès de restriction qu'on trouve ailleurs...
- Quels sont vos anciens serveurs Minecraft ? Pourquoi êtes-vous parti ?
J'ai été sur Aquilon et MC-FR, j'ai déjà expliqué plus haut les raisons de mon départ.
- Quelles sont les qualités requises pour être un bon rôliste ? => L'imagination débordante, le sens de l'humour et de l'improvisation et savoir se détacher lui même de son personnage.
- Avez-vous lu les règles du serveur ? Vous conviennent-elles toutes ? => Oui j'ai tout lu, rien de très original et rien qui m'ait déplus. J'ai même trouvé amusant qu'on puisse pourrir les maisons des admins.
Rôle-Play :
- Nom et Prénom: Elganora Royvas
- Quelle faction voulez-vous rejoindre ? Pourquoi ?
Les Amranéens: Parceque j'ai mis du temps à savoir le prononcer, je ne poudrait pas l'avoir fait pour rien. Parce que l'avis de mon personnage concernant la pomme d'or correspond à la vision des Amranéens.
- Quelle ville voulez-vous rejoindre ? Pourquoi ?
Morne Colline. Parceque je n'aime pas le verts comme couleur dominante.
- Introduction RP de votre personnage
Je suis bourreau de profession à Mont-Brumeux. Ho je ne suis pas méchant vous savez, torturer les gens je fais ça bien mais c'est juste mon travail. Je torture les prisonniers Amranéens, toute les personnes qui cachent des informations dont l'empereur à besoin et j'applique les autres sentences et exécutions. Je ne prend pas plaisir à briser les gens, je ne sais pas si mon âme aura le droit au repos. J'ai fais ce métier à cause de mon visage ingrat et de mon boitillement. Je ne pouvais être ni commerçant, ni soldat, ni faire de travail physique. J'aimerai bien qu'on me considère comme n'importe qui d'autre. Le bailli, la boulangère, tout le monde me fuit et me déteste sans vraie raison. Même Hans le fossoyeur, finalement une personne qui travail dans un domaine proche, m'évite. Je ne sens pas le bannis quoi!
Il n'y a qu'Elganora, un joyaux de petite fille, le trésor de ma vie, ma poupée de cristal, ma petite fille à moi, qui m'aime. Sur le plan physique, elle tient tout de feu sa mère, son visage est pure, ses cheveux dorées et ses yeux verts émeraudes. Pour le caractère elle a un tempérament beaucoup plus doux. Sa mère était une vrai teigne, j'ai mis des jours pour lui faire avouer ou elle planquait ses larcins et jusqu'à ce que je lui arrache la lèvre inférieur elle s'évertuait à me cracher dessus dès que je l'approchais. Bref elle m'a donnée beaucoup de travail sa mère et elle a eue droit à un traitement tout particulier...
Ma fille, c'est le trésor de ma vie. Elle aussi parfois les gens la regarde mal car son père torture des gens, elle ne s'en rend pas compte car elle a la candeur de son age, mais j'ai peur qu'elle en souffre plus tard.
Au début ça a été très difficile de m'occuper d'elle. Quand elle était bébé je ne pouvait pas payer une nourrice. Je devais l'avoir près de moi tout le temps même au travail. Je réchauffais son lait dans le même feu que celui des tisonniers. J’avais d'un coté son berceau et tout pour m'occuper d'elle de l'autre ma table de travail et mes outils, ce n'était pas facile à gérer. Elle s'est vite habituée aux cris. Je m'y retrouvait, quand elle se souillait je bâillonnait mon client avec les langes le temps de la changer, ça me permettait de ne pas relâcher trop la pression. J'ai été un bon père, je pense. Pour être bourreau il faut avoir des rudiment d'anatomie et de psychologie et ça aide.
En grandissant, ma petite fée a continué à être très proche de moi. Elle venait me regarder travailler.
Le seul vrai interdit que je lui ai imposé fut de ne pas toucher à mes outils, il faut dire que je ne lui interdisait pas grand chose. J'étais aussi faible avec elle que dur avec mes clients. Elle me posait des questions sur mon travail, la seule à s'y intéresser un peu et sans faire une mine dégoûtée. Je ne voulait pas qu'elle suive ma vocation mais je lui répondait de mon mieux.
« Cet outil là ? Il sert à couper le globe, la partir transparente de l’œil de façon à ce que ça ne s'infecte pas. Ensuite, un peu de sucre provoque une inflammation très douloureuse, sans pour autant perdre la vision de cet œil. L’œil gonfle tellement qu'il sort facilement de l'orbite. Au bon moment je met une grosse claque dans l'oreille et le choc désoriente et fait partir l’œil. Le nerf derrière se tire d'environ cinq centimètre mais ça varie beaucoup selon les personne. Un courant d'air frôlant ce nerf représente déjà une douleur intolérable. Inutile d'en faire trop. Les outils qui touchent une partie interne doivent toujours être désinfectés avec de l’absinthe. Je m'arrange pour que juste après la baffe le client voit son propre visage. La douleur c'est une chose à laquelle on peut apprendre à résister. Mais pas la terreur. »
Je lui montrait tout en expliquant et elle semblait aimer me voir à l’œuvre et retenir ce que je lui disais sur l'anatomie. Je sais, ce n'est pas très saint, mais je n’avais rien d'autre pour briller au yeux de ma fille. Finalement je lui ai appris pleins de choses, les rudiments de la forge, de la médecine, de la psychologie, savoir poser les bonnes questions, reconnaître les menteurs... A force de voir des menteurs souffrir, elle a d'ailleurs apprit à ne pas mentir. Je suis fier de ça. Tout le monde ment. J'ai horreur de ce monde où tout le monde ment.
Vint ensuite l'adolescence. Tout le monde a eue une crise d'ado mais pour elle ça me l'a chamboulée. Elle n'avait pas vraiment d'ami. Elle ne flirtait pas non plus, je l'aurais sus sinon. Enfin elle est devenue difficile à approcher, même pour moi. Puis un jour je l'ai vue, ses affaires rangées et elle m'a annoncée qu'elle partait. Ma colombe s’envolait là ou on ne la connaissait pas. Où elle aurai une chance d'être quelqu'un d'autre que le fille du bourreau. Je croyait connaître la souffrance sur le bouts des doigts, j'ai bien souffert ce jours là, d'une façon que je n'imaginais pas. Mais je lui ai donnée ma bénédiction, elle serai partit de toute façon. Elle m'a promis de m'écrire. Depuis un mois j'attends encore sa première lettre mais je sais qu'elle arrivera.
[Hrp: Pour ceux qui sont un peut lents, c'est le père de mon personnage qui parle.]