Dans la vie de tout les jours:
Bonjour,
Je m'appelle Thibault, dix huit ans, en classe de terminale, j'habite à Toulon dans l'endroit que tout le monde appelle "le Sud", j'aime lire (Mon auteur préféré est David Gemmel pour le fantasie-médiévale et même en général je dirai) et bien sur je joue aux jeux vidéos sinon je ne serai pas là.
Expérience :
Vos références Rôle-Play
Mon expérience Rôle-play est quasiment proche du néant. Mais il faut toujours commencer quelque part.
Quels sont vos anciens serveurs Minecraft ? Pourquoi êtes-vous parti ?
J'étais sur un serveur PvP-Faction qui s'appelait Galaxia et je suis resté quatre années dessus (Une très longue histoire qui pourrait faire un livre) et je suis parti suite à sa fermeture. Ensuite j'ai parcouru moult serveur avec ce qui restaient des membres de ce serveur jusqu'à ce que tous arrêtent et moi de même, puis j'ai repris il y a peu et j'ai trouvé votre serveur.
Quelles sont les qualités requises pour être un bon rôliste ?
N'ayant jamais fais de Role-Play je ne peux décrire qu'une vision imaginative de ce que c'est, bref: Incarner son personnage et ne faire qu'un avec.
Comment avez-vous connu notre serveur ?
L'annonce de Savety sur Jeuxvidéo.com
Pourquoi Akatéa ?
Je ne sais pas encore, mais mon instinct me dicte Akatéa donc je viens sur Akatéa.
Avez-vous lu les règles du serveur ? Vous conviennent-elles toutes?
Lu et approuvé.
Rôle-Play ; votre personnage :
Nom et Prénom:
Eria Hélysiel (L'amour de la neige en Akatéen, si ça ne se dit pas comme cela veuillez m'en faire part s'il vous plaît)
Voulez-vous rejoindre l'Empire ou les Amranéens ? Pourquoi ?
Impériaux car mon personnage est un impériale.
Quelle ville voulez-vous rejoindre ? Pourquoi ?
Mont-brumeux (Cf-épreuve d'écriture)
Introduction Rôle-Play de votre personnage
Eria Hélysiel est un personnage sans grande compétence physique et intellectuel, mais il aime apprendre de nouvelle chose. Il n'en reste pas moins que ce n'est pas un héros, c'est un simple fermier, l'un de ceux oublié par l'empire au profit des héros qui manient l'épée aussi bien que lui la houe. Il n'est pas totalement analphabète mais il rêve d'apprendre à lire.
Il adore s'asseoir dans la nature et rêver un monde différent, un monde où il ne serait pas victime des barbarie et où il pourrait cultiver ses pommes de terre en paix.
Ses origines, il n'en parle pas souvent, son père adoptif, celui qui aime sa mère vie avec elle dans les champs de Haut chêne.
Quant à son vrai père aucune idée, il savait juste qu'il avait violé sa mère profitant de son rang pour assouvir sa perversité et profité ainsi d'une jeune femme paysanne analphabète. Il était ainsi né, se rappellant à chaque instant qu'il est le fruit du chagrin des femmes et de la violence des hommes.
Mais sa mère l'avait quand même aimer et élever jusqu'à l'âge où il avait acheté une terre...
Epreuve d’écriture
Je me réveillais en sursaut comme souvent après avoir vécu ce cauchemar, ce grand cube lumineux au milieu des plaine enneigées de Mont-brumeux et l'image de mère gravée dessus. Je me voyais emprisonné dedans le regard vide de sens et de partout autour de moi tourbillonnaient des mots.
Ses mots que j'avais lu et relus mais dont je n'arrivais pas à saisir le sens mal grès mes efforts, je n'avais que ce vieux livre chez moi en même temps, un livre qui me faisait rêver.
Je me réveillais ainsi quasiment chaque matin pensant exactement à la même chose, l'un des deux moment où mon esprit pouvait penser un peu et où celui-ci enviait jalousement ces nobles et ces prêtres qui pouvaient comprendre ces mots, tout comme ce titre "A.....nnnnaé", que je tentais de prononcer chaque jour après l'avoir entendu dire par une personne lisant une affiche.
Je commençais ainsi à verser des larmes dans mon désespoir, j'avais maintenant vingt cinq année et cela en faisait cinq qu'entre mes tâches à la ferme je tentais de lire ce texte.
Et puis il fut l'heure, et je me rappelais que c’était le grand jour!
Je me levais donc de pied ferme essuyant les quelques larmes qui avait zigzaguées sur mes joues et je m'habillait, comme d'habitude d'une modeste ou plutôt dirais-je pauvre et décadente tunique de paysans.
Ce grand jour donc, que j'attendais tant! Je l'avais minutieusement préparer depuis six mois car si je le loupais, j'aurais été ruinée et aurais perdu mes terres...
Je me dirigeais donc vers ma grange en marchant rapidement car une très longue journée de labeur m'attendais pour réaliser l'investissement de six mois qui allait me permettre de m'acheter enfin de nouveaux habits et surtout de quoi me chauffer l'hiver venu.
J'ouvris donc la grande porte usée tenant à peine sur ses gonds, une porte de bois noir sur une grange plutôt clair, et cela à cause d'une tempête l'hiver dernier qui avait ravagé celle-ci.
Dans la grange je saisis ma houe et je ressortis.
Je sentis à ce moment que j'allais être un héros, houe à la main je rouvrit cette porte et le soleil pénétra dans mon regard me cachant la vue des champs et déterminé, houe à la main tel un guerrier avant la bataille, j'étais enfin prêt pour la fameuse "RECOLTE DES PATATES" m'écriais-je.
Six mois à les soignées! Six mois à me lever même malade pour ces patates car je savais qu'elle comptait plus que tout pour moi, si la récolte était trop lente je savais que je risquais de mourir et qui m'aurait aidé? Les seigneurs... trop occupés à guerroyer et à s'amuser dans leurs richesses décadentes. Tout sa pour un nom de famille... Mon nom à moi, Eria Hélysiel, un nom triste sans aucune prestance, sans amour justement, mal grès que ma mère m'ait élever elle ne pas aimer et mon père adoptif ne me prêter aucune attention, voyant en moi le fils d'un bâtard.
J'allais donc dans les champs et à ce moment, je m'en souviendrai toujours, mon sourire s'est d'abord effacé de mon visage puis mes yeux se sont plissés et les larmes ont recommencé à couler, puis au final je suis tombé à genoux.
Six mois de travail pour rien, le champ était vide, on m'avait volé jusqu'à la dernière pomme de terre.
Mes bras me lâchèrent et tombèrent aussi mes mains s'enfoncèrent dans la terre et la rage en moi montait, je me sentais bruler de l'intérieur, mon cœur, se cœur aimant qui avait aidé des gens dans la rue qui en avait même accueillit certains, il n'était que feu ardent s'asséchant en pleurant sa colère.
Mon visage plein de boue maintenant continuait de pleurer, je ne pouvais m'arrêter car je savais que désormais j'allais mourir et je n'avais plus qu'un choix à faire, mourir dans la nature en m'enfuyant pour ne pas payer mes impôts où mourir ici en attendant qu'on vienne me saccager ma maison et prendre mes terres pour ensuite se débarrasser de lui, n'ayant plus aucune utilité.
Quel choix faire quand le seul chemin est la mort?
Cette nuit là, je ne dormis pas. La récolte des impôts approchaient à grand pas et je savais qu'ils me tueraient pour "faire un exemple", sans pitié, sans chercher les causes. Après tout je n'étais qu'un membre du bas peuple comme ils sont si fier de le dire, qu'un fermier ne jouant aucun rôle dans ce monde si ce n'est les nourrir.
Je me lamentai comme cela toute la nuit, tournant sur moi même, mon corps faiblissant sous les émotions qu'imposent les évènements.
Dans un dernier élan de courage je choisis la mort par la nature, je rassemblais quelques affaires mais je savais que mes chances étaient moindre dans cette nature vicieuse, des légendes de bannis pour effrayais les enfants étaient comptaient par toutes les mères paysannes de Haut-chêne et je n'y avais pas échappé.
Mais personne n'en avait encore jamais vu parmi mes proches qui n'avait par ailleurs jamais dépasser la muraille.
Je pris donc mes affaires emballant quelques pain chaud fait la veille avec les quelques kilos de blé qu'il me restait, quelques pomme aussi et je prenais quand même un couteau de cuisine pour me défendre même si je me serais fais tuer par le premier homme venu étant donner ma maîtrise en la matière.
Où j'irais, je ne le savais pas, peut être la capitale Mont brumeux si je mourrais pas avant.
Je partais donc pour Mont brumeux, devenu un homme sans terre et désespérer de vivre.
Je marchais, traversant plaine, et forêt je n'appréciais pas la vue, je me demandais seulement quand es que j'allais mourir.
Cela faisait deux jours que je marchais et j'atteignis enfin la Porte Sin'Deral, immense et magnifique, une merveille construite à cause de la haine entre les hommes. Mais j'étais tellement fatigué que je m'effondrait devant les portes, les mains gelées, privé de mouvement. Mes paupières tombèrent doucement, me voilant ma vision, je ne pus apercevoir que la silhouette flou de deux gardes s'approchant de moi.
Ce qui se passa ensuite, je ne sais pas, si ce n'est que je suis resté trois jours inconscient et que je me réveille là dans la taverne de Mont-brumeux, la destinée ne m'ayant pas tué, je décide maintenant de reprendre à vie et de continuer à rêver de ces Amranéens qui vivent en frère et qui sont les seuls qui accepteront peut être de m'apprendre enfin à lire et à apprécié les mots de...
Mon corps retomba instantanément, je resterai triste à jamais car j'avais perdu ce livre...
Et mes lèvres se mirent en mouvement et répétèrent ce mot doucement, comme un son doux et apaisant dans l'air: "Anaé"
Que pensez-vous pouvoir apporter à Akatéa, que ce soit à sa communauté, à son univers ou en jeu ?
Je ne sais pas, je ne peux rien offrir si ce n'est ma présence...