Bienvenue,
Invité
|
|
SUJET : Journal d'un akatéen - Angmare
Journal d'un akatéen - Angmare 05 Jan 2012 16:31 #5527
|
Journal d'un akatéen.
Né le 28è jour de la seconde décade lors de la saison du bois mort en 1554, mon nom est Angmare. J'ai vécu au sein d'une famille sous le joug de l'Empire dont Mamoru Kunbe est le dirigeant depuis l'an 1507, soit la mort de Jirdahan II. La première lettre de ce journal, qui aura pour but de laisser une trace de ma vie à mes descendants quelconques, est écrite en l'année 1564. Par conséquent mon enveloppe charnelle et ma conscience ont actuellement 10 années. Qu'ai-je fait lors de ces 10 années ? Soutenu ma famille afin de passer les épreuves les plus difficiles de la vie et exprimé mon refus d'obéissance à l'Empire. Pour que vous compreniez le pourquoi et le comment, je vais vous transcrire certains passages décisifs de mon existence. Il se peut cependant que je ne possède plus assez de recul pour être certain de ce qui va être écrit concernant mes pensées vis à vis de ce qui m'entourait alors. 15-4-4 année 1558: Rencontre avec un homme poursuivi. Aube naissante, aube florissante... que de jolis mots qui signifient le travail dans les champs et la possibilité de manque d'eau. Cycléis la belle, Cycléis la créatrice, elle ne s'occupe plus de ce monde ou du moins ne fait que tourner autour de lui mais pourtant c'est elle qui, par sa lumière et son éclat, fait briller nos blés mûrs au précédent de la récolte. Que dis-je ?! Elle ne fait qu'apporter un soupçon de beauté à la création sublime et parfaite de Naranaé et pourtant nous sommes obligés, pour une raison de hiérarchie, de ne penser qu'à la Dame des Saisons. Ce matin là j'avais quatre ans, ma santé se portait bien malgré quelques entailles sur mon corps dues à mes escapades dans les champs et les bois lorsque la surveillance de ma personne se relâchait. Quatre ans ? C'est à cet âge que nous voulons partir et découvrir les terres accueillantes et hostiles d'Akatéa. C'est à cet âge là que l'envie nous prend de saisir un bâton et d'y attacher un foulard rempli de vivres puis de quitter la famille en quête de créatures et artefacts extraordinaires ! Et tout ça à cause de bouts de papiers sur lesquels sont écrits des histoires fantastiques qui font rêver les enfants. Moi c'était mon cas, mais avec la milice impériale patrouillant aux frontières et près des villages pour assurer leur protection, notre liberté ne pouvait être totale. C'est pourquoi je me contentais des nuits monstrueuses pendant que les "Bannis", comme on me disait de les nommer, apparaissaient en masse et fascinaient ma curiosité chercheuse de fantaisies. Ces créatures de l'ombre, d'origine divine et conséquences d'un acte commis par un seul et unique homme, j'y voyais toujours un visage, méconnu de ma mémoire. On racontait qu'ils incarnaient des, autrefois, vivants. Malheureusement ils tuaient et pillaient les villages et je ne pouvais donc pas me joindre à eux sans risquer d'y perdre la vie. La température matinale était déjà élevée, mes parents travaillaient aux champs, tôt, et cependant rien n'était prêt pour l'arrivée, au lendemain, de mon petit cousin. En tant qu'homme de la maison c'était à moi de m'en occuper, s'il n'y avait personne. J'entreprenais donc de préparer sa partie de chambre afin qu'il puisse s'y installer confortablement malgré l'étroitesse de la pièce dans laquelle nous devrions passer un certain temps ensemble. Je cherchais un oreiller par-ci, une couette par-là. Mais tout ceci n'est pas important, passons donc à la suite des événements. Lorsque Cycléis se trouvait très haut dans le ciel, bien au dessus de nos têtes mortelles, mes parents revenaient pour nous préparer le repas du midi. Je leur prêtais main forte comme tout jeune garçon qui se respecte et une fois que tout était prêt, nous nous étions installés. Le déjeuner s'était très bien passé, je n'avais pas boudé pour une raison moindre et mes parents ne m'avaient pas disputé pour mon initiative précédente. Cependant, lors du rangement de la table, quelqu'un frappait à la porte. Mes parents étaient occupés et par conséquent j'allais voir qui se tenait au pas de notre porte pourtant si modeste et indigne d'invités. J'ouvrais la porte tout en voyant un homme vêtu de vert et de brun sombre, on aurait dit un voyageur des temps anciens où les habits n'étaient pas aussi riche et raffinés qu'à notre époque. J'étais surpris de voir un tel homme en face de moi, il était grand, musclé mais non sans un air de vivacité physique et mentale. J'avertissais mes parents alors que l'invité inattendu entrait sans signaler et fermait la porte brusquement. Je ressentais en lui une tension, inhabituelle dans cet endroit, qui avait l'air de le tenir en alerte au cas où une menace viendrait à lui porter atteinte. Mes parents étaient surpris de voir un étranger dans leur maison, qui plus est un homme qui ne correspondait en rien à un impérial qu'ils avaient l'habitude de voir en ville ou aux frontières. L'invité s'était adressé à mes parents mais, parce qu'il haletait, nous n'avions rien entendu. Avant même qu'il ait réessayé de parler je lui proposait de s'installer sur une de nos si pitoyables chaises encore résistantes au temps qui passe afin qu'il reprenne son souffle et puisse nous faire part de ces propos dans le calme et la sérénité. Il s'asseyait donc et nous réclamait le plus grand silence ainsi qu'un peu d'eau nécessaire pour humidifier sa gorge, sa langue et ses lèvres. Nous acceptions donc et il nous déclarait son envie de fuir sa famille qui le poursuivait pour le marier à une femme dont les revenus pouvaient être conséquents, moi bien sûr j'y croyais mais maintenant quand j'y pense, je vois là un mensonge destiné à nous cacher la vérité pour ne pas nous impliquer dans un scénario dangereux. Il désirait de notre part l'autorisation de le cacher mais mes parents étaient partagés entre vouloir dénoncer aux miliciens impériaux la présence d'un homme à l'air rebelle et le cacher dans le cas où son histoire serait véridique. En conséquent ils acceptaient de l'abriter deux jours puis de lui demander de partir le délai passé. Cependant, l'affaire était plus grave qu'une simple fuite pour la liberté de l'amour, il s'agissait en fait d'un homme recherché par l'Empire car il n'était autre qu'un armanéen infiltré. La milice était partie fouiller chaque habitation pour trouver le soit disant ennemi à la personne divine qu'est l'Empereur. La notre n'y faisait pas exception, c'est ainsi que l'armanéen fut découvert et dans notre incapacité à le défendre il fut emmené et on ne le revit plus jamais. 22-2-7 année 1564: Actes et pensées rebelles Cela fait six années que l'amranéen a été emmené. Nous sommes à la saison de la nuit débordante, par conséquent je prends plus de temps pour observer les Revenants puisque les nuits sont plus longues, et malheureusement plus froides. Hier et avant hier des combats opposant Bannis et impériaux ont fait rage pendant un certain temps, plus long que d'habitude. Il m'a semblé avoir vu un ou deux morts du côté de la milice, une chose est sûre, tous les Représentants de la Grande Malédiction ne s'en sont sorti. J'éprouve du dégoût pour ces défaites, pourquoi doivent-ils nous massacrer sans pitié alors qu'essayer de nous comprendre serait tellement plus respectueux ? Nous ? Il m'arrive de parler comme si j'étais l'un d'eux... un de mes ancêtres... mort ou banni puis revenu pour servir la cause des Dieux. Depuis peu je commence à m'opposer aux idées impériales qui nous sont imposées. Je me fais à l'idée qu'il est inadmissible d'envoyer dans les limbes des hommes d'autrefois pour notre sécurité. Il est possible de vivre avec eux en prenant des mesures moins meurtrières et ainsi d'être plus proche de nos divinités, comme pendant l'avant Sacrilège. Au sein de nos divinités, je n'exclus pas même Cycléis, sans elle nous n'existerions pas et même si elle n'a pas directement participé à la création de notre terre, elle a crée son support et ses Décorateurs. Ce faisant j'essaye toujours d'aider les Bannis en restant toutefois à l'écart pour éviter la mort. Il m'arrive par exemple de leur envoyer de la nourriture, pour la plupart empruntée et que je me suis promis de rembourser un jour. Je n'ai encore jamais rencontré de Bannis portant le visage d'une des fleurs de mon arbre généalogique mais cela ne m'empêche pas d'éprouver de la peine pour les autres fleurs. Parfois je ressens la présence de quelqu'un derrière moi. Je me demande qui cela pourrait être. Mon cousin, arrivé comme prévu l'année 1558, j'espère, ne me suis jamais. Ma mère a dû nous confectionner des vêtements chauds et rembourrer nos couettes. Le blé qui loge dans nos matelas a refroidi, nous dormons mal mais chaudement. Aujourd'hui je suis allé rencontrer des soldats impériaux, ils voulaient savoir si j'étais apte à les rejoindre. Que nenni ! Ils n'auront ni ma vigueur ni mon courage ! Je leur en ai fait voir de tous les colorants ! Tout d'abord en mordant un doigt de mon accompagnateur, qui est devenu rouge, ensuite en tirant une flèche au pied sur un symbole impérial, les soldats alentours sont devenus bleus, après j'ai tenté de m'échapper lors du parcours d'endurance et enfin j'ai crié le nom de Trans à côté du prêtre de Cycléis qui a hurlé comme un cochon égorgé pour que j'arrête ce blasphème. Finalement j'ai été ficelé comme un saucisson et posé dans un cagibi en attendant la fin de la journée. J'ai été excusé grâce à mon jeune âge. Pff ! Quels naïfs ces soldats ! Comme si un gamin de dix années ne pouvait pas avoir de pensées mûres ! Quand je suis revenu, mes parents étaient furibonds ! J'ai eu cette impression de voir ces Bannis, verts et instables de l'intérieur, exploser dans leurs yeux ! J'ai couru dans ma chambre, que j'ai fermée à clé, puis je suis sorti par la fenêtre pour éviter la raclée du mois. Je me suis rendu dans mon abri, celui-là même où j'écris maintenant, et j'ai pris un peu de repos jusqu'à maintenant. Je crois qu'il va falloir que je prenne une décision un jour ou l'autre... je ne supporte plus cette vie ! J'espère juste que mon cousin comprendra. 28-2-6 année 1569: Un choix depuis longtemps réfléchi mais exécuté dans le sang et l'explosion. J'écris ce passage le 30-2-6 en l'an 1569, soit deux jours après l'exécution de ma décision qui consistait en le choix de partir chez les Hommes de l'Arbre ou bien de rester avec ma famille en servant la majesté Impériale. Ce jour là on fêtait mon quinzième anniversaire ! Enfin... fêtait... c'est un bien grand mot. J'avais juste le droit de ne rien faire, pour une fois, et de me rendre en ville pour choisir mon cadeau parmi les prix les plus bas. Non pas que j'étais malheureux, je n'arrivai juste pas à accepter cette façon de vivre. Nous aurions pu aller dans la forêt faire un pique-nique et jouer à cache-cache dans les arbres et enfin nous serions allés à la maison près du feu à joueur aux devinettes... Non, je devais me reposer pour la suite et me trouver quelque chose de symbolique. J'ai donc demandé à avoir un livre, la lecture me convenant plus qu'un objet prouvant une certaine richesse. Exempté de travail, j'ai passé la journée à lire le livre dans ces moindres détails. C'était une banale histoire mettant en scène des Bannis et des Impériaux, laissant quelque fois intervenir un amranéen. Bien sûr elle était niaise et laissait passé des morales explicites et implicites concernant le mal que représentaient les amranéens pour l'Empire. Le soir, pas de feu de bois dans le foyer. Juste un repas dans le froid et la mauvaise humeur. Seul mon cousin était content, vraiment content. Il avait entendu dire que cette nuit un affrontement peu important aurait lieu non loin d'ici. J'étais tellement blasé que je n'avais pas tout de suite compris de ce dont il s'agissait. Un combat entre impériaux et amranéens !? Il fallait, par n'importe quels moyens, que j'aille voir son déroulement et, si l'occasion se présentait, que je fasse quelques vilains tours aux miliciens. C'est ainsi que dans la nuit, froide et dangereuse, habillé tout de gris et de noir, j'allais au plus près de l'événement qui marquerait mon anniversaire ! Traversant buissons, épineux, branches d'arbres et ramassis de cailloux, j'arrivais enfin au lieu du combat, je remercie d'ailleurs mon cousin pour avoir entendu les ragots de la boutique, et pouvais assister à des duels plus impressionnants les uns que les autres. Un impérial, dans sa lourde armure de fer, tenait tête à deux amranéens qui virevoltaient dans tous les sens pour porter atteinte à la santé de l'ennemi. En retrait du groupe, j'apercevais un archer, vêtu de mousse et autres composants naturels favorisants la discrétion, qui décochait flèche après flèche à une vitesse incroyable ! Les miliciens, grâce à leur carapace, y résistaient mais ne sachant pas d'où elles venaient, s'affolaient quelque peu. J'étais au summum de l'extase quand une explosion dans mon dos se fit entendre, un armanéen avait activé une TnT, proscrite par l'Empire à cause d'un événement inattendu en 1460 lorsque Mont-Brumeux vit entrer en elle une cohorte de Bannis suite à une explosion phénoménale, et ainsi causé d'énormes dégâts dans les troupes impériales, surprises par l'utilisation d'une telle arme dans un chaos sans nom. Moi même avait été pris dans le souffle de l'explosion, mon bras gauche était à sang, une branche y était enfoncée. La douleur m'étreignait mais je ne voulais pas crier afin de ne pas me faire repérer. C'est seulement lorsqu'un impérial en armure scintillante, inventée en l'an 1357 ou 1358 selon comment on interprète le travail du diamant par Graveïr Sousenclume, venait sur moi, me croyant amranéen de par mes vêtements, je pense, que j'ai laissé échappé un cri atroce. Ce cri a rameuté plusieurs amranéens qui ont fondu sur l'impérial, il a préféré prendre la fuite plutôt que de combattre. Un acte bien louable, il valait mieux rapporter les actions du combat plutôt que de mourir pour en emporter un plus grand nombre dans les limbes. Ainsi, un Homme de la Souche Tranchée m'a pansé le bras puis ramené chez moi. En apprenant ce qu'il c'était passé mes parents n'ont pas voulu que je reste et comme je ne pouvais pas aller en ville sans être arrêté par les gardes à cause du fait que les amranéens m'aient défendu, j'ai dû en fin de compte repartir avec ces derniers. Les rebelles venaient de Morne-Colline, où je suis actuellement. Sur le chemin du retour je me suis évanoui. C'est seulement à mon réveil qu'on me proposa réellement de rester au sein de la rébellion. Grâce à mon cri, j'avais apparemment permis la survie de plusieurs combattants qui se trouvaient près de moi. Je n'ai donc pas souffert pour rien. Je dois avouer que je ne regrette pas. Je pensais tout de même que ce choix aurait été réalisé dans un moment plus calme et où la réflexion aurait été plus longue. [HRP: Je compléterai au fur et à mesure, pour l'instant je n'ai rien fait de mémorable (qui ait été écrit par moi) et il faut que je fasse mon premier véritable RP pour pouvoir continuer la biographie.] |
Dernière édition: 05 Jan 2012 16:32 par Angmare.
L'administrateur à désactivé l'accès en écriture pour le public.
Cet utilisateur a été remercié pour son message par: Sideara
|
Re: Journal d'un akatéen - Angmare 05 Jan 2012 20:05 #5563
|
[Hrp : j'aime bien l'appellation les Hommes de l'Arbre... Me permet tu de la reprendre?] :beard:
|
L'administrateur à désactivé l'accès en écriture pour le public.
|
Re: Journal d'un akatéen - Angmare 05 Jan 2012 20:21 #5566
|
[HRP: Que ne pourrais-je permettre au Guide Suprême hormis le droit de vie et de mort sur ma personne et mon âme ? Bien évidemment que tu peux la reprendre, il faut diversifier parce qu'amranéen ou rebelle finissent par perdre leur charme lorsqu'ils sont utilisés souvent. J'encourage d'ailleurs tout le monde à utiliser des appellations plus poétiques pour les amranéens ET impériaux.]
|
L'administrateur à désactivé l'accès en écriture pour le public.
|
Re: Journal d'un akatéen - Angmare 06 Jan 2012 21:47 #5623
|
4-5-1 année 1569: De joyeux camarades en compagnie d'une immense mine !
Ce soir la Lune Rouge est à sa plus belle forme, elle éclaire par son éclat rougeâtre et m'envoie un sentiment de paix alors que mes compagnons se préparent à livrer bataille. Je suis trop épuisé ce soir pour autoriser à mon jeune corps une activité physique intensive et potentiellement mortelle. Je reviens d'une exploration minière qui a duré au moins quatre journées. Je n'étais pas seul, j'avais bonne compagnie qui participait avec moi à la fouille minutieuse des murs, sols et plafonds d'une mine gigantesque. C'est en allant, au hasard, dans un désert que j'ai découvert un petit fossé qui recelait quelques minerais de charbons. Cette découverte ne m'était évidemment pas suffisante ! J'ai donc décidé de creuser, à quelques profondeurs, un tunnel ayant la forme d'une gemme. Arrivé à un certain niveau j'ai fait la rencontre de plusieurs Bannis que j'ai pu aisément bloquer pour éviter la mort. Ils se trouvaient dans une caverne qui ne m'avait pas paru très grande... jusqu'au moment où j'ai découvert une des entrées des vestiges d'une mine abandonnée. Je ne me suis pas décidé à y entrer tout de suite, j'ai d'abord fait le tour des quelques grottes environnantes afin d'y récupérer le fer et le charbon présents puis je suis remonté à la surface d'Akatéa afin de proposer à mes camarades amranéens une aventure souterraine digne d'intérêt. C'est ainsi que je me suis retrouvé accompagné du Shaman Maxylos, de l'Innovateur Diabolo, et du tout frais venu Nerfav. Une fois le rendez-vous donné, aux portes de Morne-Colline, l'équipement préparé, il s'agissait de torches, de pioches, de nourriture, d'épées et d'armures, nous sommes allés jusqu'à la mine et avons descendu les marches taillées dans la pierre qui mènent jusque dans les profondeurs d'Akatéa. Quand nous sommes arrivés face à l'entrée des vestiges, un souffle nous est venu au visage, j'ai interprété ce souffle comme étant le signal d'une longue exploration, puis nous avons débuté l'aventure qui nous a valu un bon nombre de richesse, loués soient les Divinités. En plusieurs heures, nous n'avions réussi qu'à descendre au fond d'une crevasse qui passait au travers des vestiges, tant de temps par ma faute, à cause de mon jeune âge je ne pouvais tenter un saut jusqu'au fond comme l'ont fait Diabolo et Nerfav, j'ai donc installé à la force de mes bras un escalier de pierre pour descendre de façon sûre, seul Maxylos est resté à mes côtés, je pense pour m'aider en cas de danger. Par la suite nous avons découvert un moyen bien plus simple que le passage par cet escalier. Lorsque j'ai atteint le fond, nous sommes tous partis un peu partout puis notre noble Shaman a découvert un mur prévenant une salle de donjon. De part notre respect voué aux Bannis nous avons creusé un trou, j'y suis d'ailleurs tombé en ayant pour excuse sa vérification, qui allait servir à enfermer nos Ancêtres pour nous permettre de nous introduire dans le donjon et empêcher leur infini réapparition et l'obtention des trésors cachés dans les coffres. Nous avons fait de cette salle notre campement improvisé dans lequel nous avons, durant ces quatre jours, posé toutes nos richesses découvertes. Par la suite, en grimpant assez haut, j'ai découvert un second donjon que nous avons fouillé de fond en comble tout en sauvant les Bannis de leur Malédiction. Cette exploration n'a tout de même pas été aussi calme qu'une petite séance de minage, Nerfav a sombré dans la lave et est mort dans une douleur certainement atroce, il nous a témoigné avoir creuser sous ses pieds puis avoir vu le sol s'effondrer sous ses pieds pour l'amener dans cette source de haute chaleur liquide. Diabolo a aussi côtoyé la mort de par les coups répétés et puissants d'un Banni à forme humaine lors de la prise du premier donjon. Bien heureusement Cycléis la belle nous permet de revenir à la vie et ainsi donc de corriger nos erreurs, raconter nos mésaventures et continuer nos exploits. [HRP: Je finis après mais je post maintenant pour permettre à mes compagnons de lire ce RP et de me corriger si besoin.] |
Dernière édition: 06 Jan 2012 21:48 par Angmare.
L'administrateur à désactivé l'accès en écriture pour le public.
|
Re: Journal d'un akatéen - Angmare 07 Jan 2012 08:26 #5626
|
[HRP: super bien raconté, et oui, nous sommes bien morts dans ces conditions. Rien à redire, bien joué... enfin.... bien écrit.]
|
L'administrateur à désactivé l'accès en écriture pour le public.
|
|
Temps de génération de la page : 0.436 secondes