Serveur Full-RP Francophone

La soirée avait commencé tôt à la taverne de Eau-Changeante, il faisait maintenant nuit noir et à l'intérieur, assis à une table, entouré des jeunes membres de son clan, le Shaman Tuzzu, quelque peu imbibé, commençait à conter son histoire :

Autrefois, j’étais second sur le navire du Capitaine Ardranar, sûrement le plus grand pirate de tout les temps, il était cruel, sanguinaire et sans pitié. Il était immense, ses muscles reflétaient ses talents de bretteur et ses yeux ne brillaient que lorsque le sang coulait. Il portait toujours le même long manteau de cuir rouge sombre, le même chapeau surmonté d'une longue plume ainsi que les mêmes bottes de cuir noir.
Son navire, l'Ouragan, semait la terreur sur les mers, les vents le précédait et une tempête déchainé l'entourait. Lorsque nous n’éperonnions pas nos cibles nous les canonnions avant de les aborder. Le Capitaine n'aimait pas prendre de prisonnier, son second changea cela ...

Je tiens à précisé que ce fut mon époque la plus sombre et je me suis depuis repenti de mes crimes.

... sur mon conseil, le capitaine lança les "jeux de la mort", jeux pendant lesquels les prisonniers s’affrontait lors de duel à mort. Chacun était équipé d'une armure et d'une épée de fer lors de ces combats. Le meilleur gagnai sa liberté et parfois rejoignais l'équipage, les morts eux allaient tenir compagnie aux poulpes.

Le Shaman contempla l’assistance, guettant toute question.
HRP:je vais faire plusieurs poste pour plus de lisibilité.

Constatant qu'aucune question ne taraudait ses frères Tuzzu continua son histoire:

Il ne fallu que peu de temps pour que ces atrocités arrive aux oreilles de l’Empereur et bientôt tout sa flottille se lança a nos trousse. Lorsqu'ils nous trouvères, une bataille titanesque s'engagea, les coques explosaient, les mats tombaient et les hommes mourraient.
Moi, j'ai eu la malchance d'être jeté à la mer par l'impacte d'un boulet, la malchance de voir mon navire fuir à travers la tempête et enfin la malchance d'être repêché par un galion Impérial. Je fut sans ménagement envoyé au bagne avec la promesse d'y rester le reste de ma vie, condamné à casser des cailloux du début à la fin du jour.
Puis un jour se présenta une occasion inespéré : des Séparatistes attaquèrent le bagne, tentant de libéré leur compagnons de lutte. Je profitai du chaos ambiant pour tuer un garde afin de récupérer les clés de mes chaines et quelques armes.

Savourant ma liberté, ruminant ma vengeance, je marchai, traversant montagne et foret, neige et rivière, je ne fut arrêté que par un grand déserte aride, alors, souffrant de déshydratation je m'écroulai.

"étranger!", une voie , grave, calme et profonde. "étranger!", la voie était plus forte cette fois puis alors que les limbes m'entourai je senti un liquide tomber sur mon visage.
Un peu de ce liquide coula dans ma bouche, il était saler et tiède, on me pissai dessus, aussitôt je me relevai pour retomber de suite. "Ah, enfin un signe de vie." fit la voie, on me versai, en même temps de l'eau dans la bouche. Ensuite le trou noir.

Dans ma bouche l'humidité d'une eau bu sans m'en apercevoir, a mes oreilles les pas d'un Homme résonnant dans une pièce caverneuse, dans mes narines l'odeur d'un feu de bois, sur ma peau la douceur d'une couverture de laine. Enfin j'ouvris les yeux et bougeai lentement pour observer ce qui m'entourai.

"Tu est réveillé?" demanda la voie que j'avais entendu dans le désert. je tournai alors la tête dans sa direction, l'homme qui l'avait vraisemblablement sauvé se trouvai devant un fourneau sur lequel chauffait de l'eau. cette homme était encapuchonné dans un vêtement ample qui ne suffisait pas à cacher sa grande prestance.