[Et oui, je me tente à la création d'un nouveau perso, la raison est simple je m'ennuie énormément avec Senkatsu et ce depuis plusieurs mois j'ai donc pensé que changer de faction et me tenter à un nouveau départ serait une bonne idée !]
- Nom : Syldur
- Prénom : Irae
- Âge : 28 ans en 1586
- Faction : Amranéenne
- Physique : Syldur mesure environ 1m70, et avec une carrure somme toute classique pour un amranéen il est parfaitement capable de grimper dans un arbre ou d'escalader une falaise. Il a pour ainsi dire un visage d'adolescent avec de profonds yeux marrons et auncune trace de pilosité sur le visage, la seule petit touche de fantaisie dans son physique sont ses épais cheveux frisés qu'il refuse de couper, et ce depuis sa tendre enfance. Il possède également une cicatrice peu reluisante au bras qu'il ne s'empêchera pas de montrer.
- Caractère : Syldur est une personne douce et calme que l'on pourrait qualifier de rêveuse, bien sûr il est très attentif à tout ce qui l'entoure mais il restera toujours ailleurs, ce qui est une qualité il est capable d'exécuter des tâches ingrates sans sourciller et peut aisement exécuter plusieurs tâches à la fois. Il également très curieux et tentera d'aider de toutes les manières possibles, pour lui les vies des personnes sont plus des énigmes que des réels parcours. Malheuresement il reste que son comportement enfantin n'est sans défauts bien au contraire il ne réfléchit vraiment pas avant de parler et cela lui cause énorméments de torts, il est également maladroit et déteste par dessus tout ne rien faire...Si l'on devait lui redonner quelques qualités cela reste quelqu'un d'optimiste et joyeux ?
- Idéologie : "La fin justifie les moyens"
Voilà sa devise, pour lui qu'importe les échecs, les contretemps ou même les pertes, tout ce qui compte est le résultat, pour lui la cause amranéenne est noble alors cela lui autorise le meurtre, la torture et la manipulation cependant il garde un code d'honneur bien à lui et il serait incapable de blesser une femme ou un enfant. Religieusement parlant, il tient de son père malgrès sa mère très croyante il ne croit qu'aux lois impitoyables de la vie et de l'univers mais il respecte cependant toutes les traditions amranéenne, épargner les bannis compris.
Eté 1568, dans la forêt aux alentours de Racine Courante
J'avais 10 ans à l'époque, j'étais avec mon père à son poste de sentinelle, à cette époque les tensions étaient vives les embuscades se multiplaient et les Impériaux se faisaient menaçants, rien ne nous laissait présager cependant la chute d'Eau-Changeante une année plus tard...
Nous étions tous les deux ensembles, camouflés parmis les feuilles, c'était vraiment amusant et beaucoup de gamins impériaux seraient jaloux de la vie que j'avais à ce moment là, mon père et moi étions vraiment proches contrairement à ma mère qui constamment voulait me faire lire des livres sur les divinités, m'apprendre à faire des offrandes, je ne comprenais vraiment pas l'intérêt à cette époque, et toujours pas aujourd'hui. Bref, mon père et moi discutions, enfin il se contentait plutôt de me réprimander, selon lui je n'avait rien à faire ici, en cas d'escarmouche je pourrais y laisser ma peau et j'étais unique fils blablabla... Mais finalement il était heureux que je soit avec lui, c'était un sacré bordel à cette époque et mon père ne s'entendait avec personne. Pendant les longues heures de sa garde il m'a raconté les histoires de guerriers amranéens se battant non pas par avidité mais pour la liberté, une vision bien idéaliste de nos frères cela dit ça laissait le jeune moi penseur et rêveur devant tant de pseudo héroisme.
Jusqu'au moment où notre passionante conversation fut interrompue par un bruissement de feuille suspect, mon père saisit son arc et descendit de l'arbre mais je voulais à tout pris attraper ce chien d'impérial.
Mon père regardait avec insistance, il voulait que je rentre, c'était hors de question, cet homme était à moi et j'allais l'assommer en lui sautant dessus ! Mon père était prêt à tirer quand soudain la forme sortit des broussailles je lui ai sauté dessus de toute mes forces et mon père à tiré sans penser que j'aurais pu sauter, sa flèche n'a pas tué le cerf ce soir là, mais à bien faillit me coûter mon bras et une belle bosse sur la tête.
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