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SUJET : [Biographie]Arimav Grantz
[Biographie]Arimav Grantz 26 Juil 2013 16:30 #14208
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Fiche D'identité d'Arimav
- Nom: Grantz - Prénom : Arimav - Age : ~20-22 ans - Faction : Empire - Fonction/Métier : Mineur/Forgeron, Noble, Propriétaire de Sothot-Helaù. - Physique : Arimav est n'est pas très grand , environ 1 m 70. Il n'est pas non plus très musclé, mais il garde une bonne forme physique malgré tout. Il a des cheveux mi-longs noir et des yeux verts. Lorsqu'il ne mine pas il porte un veste longue par dessus une chemise à jabot bleu, une culotte courte et des bas blancs. Il porte aussi des chaussures noires à talon.(petit talon) - Caractère : Arimav est plutôt réservé, il ne montre pas vraiment ce qu'il peu ressentir. A cause de certains points de son passé il a du mal à faire confiance au gens, et , bien qu'il n'en laisse rien paraître, ressent un dégoût profond des femmes. Arimav a toujours été attiré par les hommes, il s'en cache car il sais ce qui arrivera si son secret venait à être découvert. - Idéologie : Arimav est un impérial fidèle, avide d'argent et de pouvoir, mais loyal envers sa faction. Pouvant parfois flirter avec la limite de la légalité, il n'agirai jamais de façon à pouvoir potentiellement nuire à l'empire. Etant plus jeunes il détestait les Amranéens, aujourd'hui il ne les portes pas dans son coeur mais est plus calmes lorsqu'il est obligé d'en cotoyer. |
Can I simply never have existed ? ...
Dernière édition: 27 Juil 2013 22:40 par Arimav Grantz.
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[Biographie]Arimav Grantz 27 Juil 2013 22:40 #14216
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Je suis né dans une famille pas comme les autres. Depuis des générations, notre nom était connu dans toutes les villes impériales. Mon père était un grand médecin, ma mère quand à elle n'avait pas de travail à proprement parler. Elle se contentait d'organiser les dîners et les réceptions, elle se montrait, complimentait les invités et riait à leurs blagues par politesse. Tout petit déjà ils préféraient laisser mon éducation à d'autres, je ne les voyais que quelques fois par jour. Lors de ces fameux repas, on me faisait m'asseoir dans un coin de la pièce, et je ne devais pas en bouger durant des heures. Ces soirées étaient particulièrement éprouvantes pour moi, tout ces gens me répugnaient, ils s’empiffraient comme des porcs. Ils se cachaient derrières leurs « bonnes manières », mais ils n'étaient pas mieux que le reste de la populace. Je les ai toujours vu comme ils étaient, des rapaces qui se tournaient les uns autours des autres, attendant que l'un d'entre eux ne faiblisse pour se nourrir de leur échec. C'est dans ce milieu que j'ai grandi. J'ai pu m'identifier à d'autres personnes que ces gens-là grâce à la famille de mon ami Klaus. C'est eux qui m'ont permis de m'échapper de ce monde qui ne me correspondait pas, certes je devais toujours le côtoyer, mais les moments avec eux me permettaient de me changer les idées.
Ensuite lorsque je fus en âge d'aller à l'école, tout mon petit monde se brisa. D'abord petit à petit, puis violemment. Tout d'abord, je me suis rendu compte de mes sentiments pour mon ami. Je savais déjà à l'époque que ce genre de relation n'était pas acceptable pour la société. Le fait de devoir le cacher aux autres et à lui me détruisait petit à petit. Mais une chose bien pire arriva, Klaus fut assassiné à ma place, une nuit où nous avions fugué tout les deux. Je ne me suis jamais vraiment remis de ce traumatisme. Encore aujourd'hui il ne se passe pas une nuit sans que j'y repense. Après, comme si cela n'était pas assez pour moi, la vie de mon frère fut prise lors d'une attaque amranéene. C'est à se moment que je me suis décidé à rejoindre l'armée, contre l'avis de mon père et de ma mère. L’entraînement y était dur mais j'étais motivé pour y arriver. Malheureusement mes aptitudes physiques ne correspondaient pas vraiment avec les critères du métier. Je fut donc recalé durant le test final, bien que mes aptitudes stratégiques furent mis en avant lors de mon examen. J'ai donc dû changer de voie, voulant toujours autant être utile à l'empire dans la guerre contre les rebelles. J'ai donc décidé d'apprendre les secrets du métier de forgeron. Ayant quand même gardé quelques contacts avec certaines personnes de l'entourage de mes parents, je fis en sorte d'être accepté en tant qu'apprenti auprès d'un des plus grands forgeron de l'empire. C'était une personne au caractère très prononcé, il était intransigeant, mais c'est cette même intransigeance qui fit de moi un forgeron digne de ce nom aujourd'hui. J'ai donc passé plus de deux ans à travailler avec lui, puis un jour il m'annonça : « Je n'ai plus rien à t'apprendre, je suis fier de toi ! » Je me suis ensuite installé dans la ville de Falaise-Plongeante, loin de l'influence de mon père. Là-bas je me suis lié d'amitié avec l'enchanteur impérial Senkatsu Durepierre. Une personne que j’apprécie particulièrement, bien qu'il semble parfois ne pas me faire confiance. Mais je passe outre ses remarques, bien qu'elles me touchent parfois bien plus que ce qu'il semble le penser. J'ai tout d'abord tu mon nom, afin de pouvoir me faire ma propre réputation, sans que le nom de mes parents n'influe sur l'avis des gens. Et finalement, au bout de nombreux mois de travail acharné, j'ai amassé assez d'argent et me suis fait assez de contacts pour atteindre le rang de noble. Il y a aussi un jour dont je dois parler, le jour ou nous avons tous été tous convoqués à Haut-Chêne, je ne savais alors pas dans quoi nous nous étions embarqué, ni tout ce qui allait en découler. Suite à cela nous avons pu observer la repousse de l'arbre sacré. Tout le monde était sur le choc, nous ne savions pas ce que cela allait entraîner. Et comment aurions nous pu deviner ce qui se passa par la suite ? Peu de temps après, la ville de Haut-Chêne fut envahie par les bannis. Il y en avait des centaines, je n'avais jamais vu ça. Même si j'ai du mal à l'accepter, sans l'aide des Amranéens, jamais nous n'aurions pu résister à cet assaut. Suite à cette attaque, il fut décidé que les Amranéens et nous, les Impériaux, allions devoir coopérer pour comprendre ce qui s'était passé. Après de longs jours de recherche nous avons finalement trouvé l'indice qu'il nous manquait. Celui-ci nous conduit directement à la ville en ruine d'Âpre-Roche. Son sous-sol abritait des centaines de documents. Les scientifiques et historiens du monde entier travaillèrent à l'étude des livres trouvés lors de la fouille. Bien entendu, l'obtention de ces informations fût difficile, les sous-sols de la ville étaient remplis de bannis qui semblaient venir de nulle-part, et de façon continue. Il y avait forcement un lien entre cet endroit et l'attaque de Haut-Chêne. C'est d’ailleurs suite à la traduction d'un de ces livres, que nous sommes partis sur la piste d'une organisation clandestine qui tirerait les ficelles dans l'ombre. Nous avons trouvés plusieurs de leurs repères et en avons appris un peu plus sur leur intentions. Ces recherches nous ont finalement mené jusqu'au temple de Cycléis. Mais ce fut un cul de sac. Nos recherches n'aboutissaient pas, mais la situation se débloqua lorsque l'on nous annonça le vol de l’artefact exposé dans le mausolée. Les Amranéens et les Impériaux joignirent une fois de plus leurs forces pour rechercher cet Ordre. Nous avons trouvé un monastère qui semblait être l'un de leur repère. Après avoir défait les hommes qui gardaient les lieux, et découvert les mystères qu'il renfermait, nous avons finalement tout compris. Ces personnes étaient les descendants du Grand Annexeur, et leur but était de le ramener à la vie. Nous avons aussi appris l'existence d'une île sur laquelle ils s'étaient exilé depuis des générations. Nos éclaireurs ont trouvés cette île et l'ont cartographiée, suite à quoi nous avons décidé d'un plan d'attaque commun avec les Amranéens. Je fus nommé à la tête des troupes Impériales. Pour moi, qui avait été refusé dans l'armée, ce fut d'une certaine façon une victoire personnelle. Nous avons vaincu l'Ordre et stoppé le rituel juste à temps pour empêcher le retour du Grand Annexeur. Après ça, ma vie repris son cours d'une façon tout à fait normale. Jusqu'au jour ou j'ai remarqué les agissements étranges de mon ami Senkatsu. Celui-ci faisait des aller-retours entre Falaise et Haut-Chêne. Il ne voulait pas me dire ce qu'il en était vraiment, remettant en cause ma loyauté. Froissé par cette remarque, j'ai pris la liberté de faire écouter quelques conversations entre l'enchanteur et le Grand Intendant, ce qui me permit de m'introduire dans les plans de celui-ci. En effet, le régent Aminestas était tombé amoureux d'une éleveuse. Celle-ci avait été malmenée par les Amranéens, et le régent voulait donc la venger. Il me mis dans la confidence de son plan, me demandant de l'aider dans son entreprise. Bien entendu, étant loyal à l'empire, j’acceptais de l'aider dans cette tâche. Nous avons donc préparé des pièges tout autour de la ville de Haute-Cîme afin d'y emprisonner les rebelles. Mais l'opération fût un fiasco. Alors que les rebelles étaient encerclés, nous pensions qu'ils allaient se rendre. Mais, dans une folie sans nom, ceux-ci décidèrent d'effectuer une opération suicide. Il tuèrent la compagne du Grand Intendant. Certains furent tués par les gardes Impériaux, d'autres se jetèrent du haut de la montagne. Peu de temps après, le régent Oshydaka me fit don de terres dans les désert, près d'une oasis. C'est à cet endroit que j'ai décidé de fonder ma ville. Après de nombreuses heures de réflexion, je lui trouvais un nom empli de sens et d'histoire : Sothot-Helaù. Ces mots signifient « Ciel-Étoilé » en ancien Akatéen. En effet, la ville était construite autour de l'oasis où fut inventé le calendrier tel que nous le connaissons. Encore aujourd'hui, les gens y viennent pour observer les étoiles, que ça soit pour la beauté du lieu ou pour des recherches scientifiques. Cette ville sera une ville de culture, ou tout du moins c'est que que je souhaite en faire. J'ai nommé Hakyos, un architecte impérial, à la tête des aménagements de la ville. J'ai une totale confiance en cet homme qui est, comme moi, une personne aimant la connaissance par dessus-tout. |
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