Nickname Minecraft : Phigger
Prénom : Timothée. My return ! C'est moi, Titi, j'ai juste changé de pseudo Minecraft.
Pays : France
Ville : Principalement Houilles
Activité actuelle : collégien
Age : 14ans
Références RP : warhammer, dofus, j'ai voulu faire du jeu de rôle, j'ai été sur un serveur semi-RP et j'ai été sur Akatéa pendant une semaine et demi.
Avez-vous été sur d'autres serveurs RP : Oui, sur Next-Day et j'ai été ban
Comment avez-vous trouvé notre serveur : Via
Minecraft.fr
Quelles sont pour vous les qualités principales d'un bon joueur RP : un bon joueur RP doit s'intégrer dans son personnage et respecter les limitations de son personnage. Il doit aussi considérer les autres personnes de façon RP.
Avez-vous lu les règles du serveur et vous conviennent-elles toutes : Oui je les ai lues et je les agrée tellement que je sens qu'au bout d'un mois les admins s'enfuiront (ou modifieront les règles)
Avez-vous lu les règles du forum et vous conviennent-elles toutes : Oui je les ai lues, je les agrée et je vais vous spamer vos messageries.
Quelle faction voudriez-vous rejoindre : L'Empire car il est structuré, il y a une économie, des murailles et les règles des maisons me conviennent mieux.
Dans quelle ville aimeriez-vous vous installer : Haut-Chêne à cause de ses murailles blanches, parce que c'est la première ville du serveur, elle fait un peu guerrière et les maisons en bois me conviennent plus que celles en pierre.
Introduction RP de Phigger l'arrogant :
Je suis né dans le village de Creux-Montagneux, d'un père noble marié à... sa cuisinière.
Je grandis dans la maison de mon père mais je ne fus pas comme les personnes du cadre social de mon père grâce à ma mère.
Le seul point que je gardais d'eux fut la vanité et l'arrogance.
J'étais une des rares personnes à avoir une épée et je croyais savoir m'en servir. Je me vantais partout d'être un grand guerrier, invincible au combat et invulnérable car je me croyais protégé par Cycleis. Je disais pouvoir faire fi du danger car celui-ci ne pouvait rien contre moi. Il y avait bien quelques niais pour me croire et admirer mes piteuses représentations à l'épée mais la plupart riaient beaucoup de moi et j'avais au moins le mérite d'être à la base de beaucoup de blagues agrémentant beaucoup de soirées.
À 16 ans, j'entrai dans la milice du village tout simplement grâce à mon épée. Je ne me battais jamais car les alentours du village étaient calmes et on s'arrangeait pour que je ne sache rien des petites escarmouches contre quelques bannis.
Un jour néanmoins, nous reçûmes la visite du grand intendant Sideara. Il faisait la tournée des villages accompagné de sa suite. Le maire ne voulut rien entendre et je fus placé dans la haie d'honneur composée de notre maigre milice.
Lorsque le grand intendant arriva, tout était calme. Les villageois l'attendaient avec le plus grand festin que l'on ait pût faire.
Soudain, alors que l'intendant traversait la haie d'honneur, un banni explosif surgit de la forêt alentour. Ne connaissant rien aux bannis, je fonçai sur lui en criant :
"Laissez donc, je m'en occupe"
J'étais confiant en ma fausse force et ma soi-disant protection de Cycleis.
Seuls les soldats de la garde de l'intendant avait remarqué la blessure sur le banni. Moi je lui fonçais dessus lorsqu'il m'explosa en pleine figure. La dernière chose que je ressenti fut une énorme douleur.
Lorsque je me réveillai pour la première, je fus promptement. Je n'avais pût voir qu'un médecin, un homme étrange avec plein de potions et du sang. J'avais aussi eu très mal.
Je me réveillai une deuxième fois et pour un peu plus longtemps. J’eus le temps de voir du sang par terre en train d'être nettoyé avant que l'homme aux potions ne m'administre un somnifère.
Je me réveillai une troisième fois, cette fois définitivement. Je regardai alors mon corps. Il était couvert de brulures. Je ressentis une douleur vive au bras gauche. Baissant les yeux dessus, je poussai alors un hurlement de terreur. Il était amputé jusqu'au coude.
L'homme aux potions vint rapidement me voir. J'appris qu'il s'appelait Theobip, que le banni était explosif car je ne le savais pas et que mon bras irrécupérable avait été amputé pour éviter la perte de sang. Theobip était apothicaire et m'avait sauvé la vie. J'appris surtout que j'étais un imbécile et que je ne savais même pas tenir mon épée correctement.
Il m'apprit aussi que le banni n'était pas là par hasard. Les Amranéens l'avaient attiré là pour essayer de tuer ou de blesser l'intendant. On avait découvert des traces des Amranéens mais on ne les avait pas trouvés parce qu'ils s'étaient enfuis après leur tentative.
Depuis ce jour-là, je vouais une profonde admiration pour Theobip, cet apothicaire capable de ramener quelqu'un d'aussi loin. De plus, sachant maintenant que ma protection divine n'était qu'imaginaire, je priais très religieusement Cycleis.
Alors que je pensais ne plus jamais avoir affaire à des bannis ou à des Amranéens de ma vie, je me pris à contempler mon village. Je vis les villageois si paisibles, discutant entre eux, que me vient l'envie de tous les protéger et d'empêcher qu'il n'arrive à quelqu'un d'autre ce qui m'était arrivé.
Tous les soirs alors, je m'entrainais. Les matins aussi. Mon père ne voyait pas cela d'un bon œil, mais après l'évènement de la parade, il préférait ne pas attirer plus de déshonneur sur lui avec un affrontement publique entre lui et son fils.
Un jour, alors que j'avais atteint un niveau de combat que que je jugeais bon mais qu'un soldat aurait jugé acceptable, je décidai de me rendre à Haut-Chêne. Je me devais d'y aller pour y remercier mon sauveur mais aussi pour mon but suprême.
En chemin, je ne croisai que peu de bannis, et le seul que j'eus à affronter était un vieux zombie ayant fait une mauvaise chute.
Arrivé à Haut-Chêne, je franchis la porte sous le regard des gardes de faction. Je me dis qu'eux accomplissaient mon rêve.
Alors, avant de me rendre chez Theobip pour le remercier, je me dirigeai vers la maison du capitaine Hazhel dans le but d'avoir un minimum d'honneur à présenter.
Ainsi, j'entrai à Haut-Chêne le cœur plein de l'espoir de me faire engager dans la garde impériale malgré mon handicap.
Avec beaucoup d'espoir
